le blog grandeplantureuse

Comme chaque jour, je découvrais après la douche la tenue que mon Maître m’imposait pour la journée. Je m’étais maquillée et j arrivais nue dans la chambre. J’avais la chatte fraîchement rasée de la veille en ce lundi. En effet, mon Maître me faisait raser intégralement la chatte chaque dimanche par notre voisin veuf et à la retraite.

J’apercevais là une paire de bottes, un collant, deux paires de boules de geisha, une minijupe, un SG en dentelle noire, un chemisier blanc et une petite veste. Pas de culotte ni de string cela faisait parti des règles lors du port du collant mais si j avais le droit au collant c’était que la minijupe était franchement courte.

J’ai donc placé les deux paires de boules de geisha dans ma vulve. Puis, j’ai passé le collant, il me gainait les jambes, les cuisses, m écrasait mon sexe lisse, me moulant les fesses. Puis, j ai mis le SG, les bretelles étaient comme d’habitude lâche ainsi le Sg ne faisait que couvrir mes mamelles mais il les laissait pendre et ballotter à leur gré. J’ai passé la minijupe en effet elle était des plus courte puis le chemisier dont la fermeture était des pressions bien plus pratique afin d’être utiliser que les boutons d’après mon Maître et enfin la petite veste et les bottes.

Un blouson court par dessus, j’ai pris la voiture pour me rendre au travail. En effet, avec cette jupe et en position de conduite, je n’avais pas à réfléchir ou à retrousser la jupe, ma chatte compressée dans le collant était facilement visible. Du parking au bureau, je sentais les boules faire leur travail, mon sexe s’humidifiait et par la force des choses mon collant également.

9H comme chaque lundi, je suis allée rejoindre mon chef afin de préparer l’ordre du jour de notre réunion de services de 10h. Assise devant lui, il pouvait à loisir regarder mes jambes croisées laissant apparaître mes cuisses gainées jusqu’à la fesse et lorsque je décroisais c’est mon entrejambes qu’il avait en direct. Lorsque j’ai eu fini de noter l’ordre du jour, j ai fait le tour de son bureau pour qu’il puisse relire mes notes. Debout à ses côtés, il me passait une main sur les jambes puis entre et remontait pour me palper, me caresser, il glissait sur mes fesses, sur ma fente, pinçant mon clito et étalant doucement ma mouille sur le collant. Il avait tiré sur le chemisier, les pressions s'étaient ouverte et mes mamelles recouvertes de dentelles apparaissaient sous la veste et le chemisier. Puis, il m’envoya taper cette note pour la réunion.

10h nous étions réunis pour cette hebdomadaire réunion. J’étais assise à une place stratégique défini par mon chef depuis qu’il avait découvert mes changements ainsi d ou il était il avait la possibilité de voir mon entrejambes à chaque instant. La réunion finie, je le suivais dans son bureau.

A peine la porte fermée, je me tournais, il était installé dans son fauteuil, le sexe et les couilles sorties, je retirai ma veste, tirais sur le chemisier pour que les pressions lâchent, je sortais mes mamelles du SG et c ‘est ainsi que je venais m’agenouiller entre ses jambes. Sa grosse queue demi bandante et ses grosses couilles m’attendaient. Je le prends alors en bouche et je le pompe tout en lui caressant les couilles. Sa grosse bite grossissait dans ma bouche et il me tenait par les cheveux pour aller venir dessus jusqu au fond de ma gorge. Il était prêt, je me suis retournée, il a baissé complètement son siège, il m a retroussé le peu de tissu qui restait à cacher mon cul, il m’a baissé le collant, j’avais les genoux bien serré comme il le souhaitait, j’ai du écarté mes fesses et il m a enculé. Je faisais toujours attention en le pompant de bien saliver sur sa grosse bite.

Il m’a pilonné le cul, me défonçant sans ménagement, me claquant ses couilles contre ma vulve sortant puis entrant de nouveau d’un coup. Il a fini par se coller à mon cul et j ai senti ses longues giclées de foutre me remplir jusqu'à la dernière goutte. Il est sorti doucement puis je me suis retournée pour le nettoyer sa grosse queue encore raide et maculée de foutre. Il débande dans ma bouche et je lui rends une belle bite propre puis je me rhabille et je retourne travailler sans jamais m’essuyer de quoi que ce soit.

Bien évidemment, je lui sers le reste de la semaine.

 

Le lundi également, il y a un commercial qui est au siège et qui a découvert les possibilités que j’offrais. Vers 13h, je mange la plus part du temps un sandwich rapidement. Il reviens alors de déjeuner et c’est souvent désormais que je mange debout alors qu’il me caresse, me palpe, me pelote, me place dans des positions outrageuses, me déshabille et me garde en petite tenue continuant à visiter mon corps. Ce lundi, je n’y ai pas échappé, j’ai fini mon sandwich penchée sur le bureau en appuie sur mes avant bras, une jambe sur siège et les jambes écartées. Je ne portais plus que mon collant et mes mamelles sortaient et pendaient du SG. Il me branlait à travers le collant. Depuis le matin mon clito était irrité de frotter sur la matière, les boules avaient leur travail, j avais une auréole qui s’était formé sur le collant et cela commencé à s’étaler sur l intérieur de mes cuisses.

Il m a allongé sur le bureau, la tête dans le vide et il m a fourré sa grosse bite au fond. Longuement, lentement, il m a ramoné, me faisant avaler son gland au fond de la gorge. Il pouvait durer longtemps ainsi. Puis, il a commencé à répandre son liquide sur mes mamelles pour finir dans ma bouche. Il s est essuyé sur mon SG. Je me suis rhabillée et j ai repris le travail.

Avant de rentrer chez moi, mon chef m a appelé, collant baissé, il m a pris en levrette sur le bureau malgré les boules dans ma chatte. Il m a fourré ainsi se vidant dans ma chatte. Il a essuyé sa queue gluante sur mes seins avant que je lui nettoie sa queue.

Je suis rentrée chez moi ainsi.

Mer 13 déc 2006 Aucun commentaire