Mercredi 6 février 3 06 /02 /Fév 15:05

Cela faisait des semaines que je ne l avais pas vu et j en étais très heureuse ainsi. Simon si jeune, si vicieux, si pervers. Je rentrais du travail, mon maître était absent pour raison professionnel. Ca a sonné et je suis allée ouvrir. J ai tout de suite eu le ventre noué lorsque j ai vu que c était Simon. Il était accompagné d une jeune fille de son âge, habillé de la tête au pied en gothique avec le maquillage qui allait avec.

 

Il est entré m écrasant pratiquement les pieds, je les ai laissé passé. Je n ai pas eu le droit à la moindre présentation ni mot. Ils attendaient dans le couloir. Je suis passée devant eux. C est à ce moment que Simon a retroussé ma jupe et que je me retrouvais à les devancer, mon gros cul à l air ne portant que des bas et un string. Je les emmenais dans le salon mais Simon m a fait signe vers les escaliers et j ai monté les escaliers eux me suivant toujours les fesses à l air. Nous nous sommes retrouvés dans la chambre d amis qui avait été transformé par mon maître pour nos séance sm. Simon connaissait l existence de celle ci.

 

J étais désormais au milieu de la pièce jupe retroussée. Elle s était installé face à moi dans le canapé et lui me tournait autour. Il a commencé à me donner des ordres et je me suis exécutée. Il souhaitait certainement montrer à son amie le pouvoir qu il avait sur moi. " Retires ton chemisier " " Sort tes mamelles du sg " " Vire ta jupe "

J étais maintenant en bas, string et sg avec les seins sorties devant eux. J étais pétrifiée et j obéissais.

 

Il continua " Prends ton string de chaque côté " " tires vers le haut " le string me fendait la chatte et la raie " plus fort " " retires ton sg " "  fouettes ton gros cul " " fouettes ta vieille vulve " " laisse tomber ton sg sur tes vêtements " " retires ta culotte salope " " donnes moi ta culotte " " pisse au dessus de tes vêtements " j ai du me forcer, je n arrivais pas ainsi debout devant eux nue juste avec mes bas. " dépêches toi salope " j ai pissé et le jet inondait mon sg et mes vêtements. Lorsque j ai eu fini " retires tes bas " " essuie tes traînées de pisse sur tes jambes " " mets les bas sur le tas ". Puis, il regarda son amie qui n avait rien dit jusque là et déclara " elle est à toi ". Il reniflait mon string que je venais de retirer et il est sorti de la pièce.

 

J étais seule, avec elle, si jeune, si fine, si bizarre dans sa tenue gothique et son maquillage qui l a rendait encore plus mystérieuse et sadique. J avais si honte d être ainsi devant elle et d avoir fait tout cela. Elle avait remarqué les chaînes et menottes qui pendaient du mur. Elle alla chercher la paire qui était fixé au mur, elle tira sur les chaînes et elle me menottât une cheville et un poignet. Elle alla à l autre mur et idem, je me retrouvais attachée , jambes bien écartées et les bras tendues de chaque côté de mon corps.

 

Simon est réapparu toujours avec mon string au nez et dans l autre main mes culottes que j avais porté ces derniers jours. J avais la tête baissée mais elle voulait voir mon visage et mes yeux. En regardant devant moi, j aurai pu éviter son regard vu sa taille mais je comprenais qu elle voulait me voir. Cela a été affreux de sentir sa main fine sur mon sein. Elle a commencé à le soupeser, le lever et le laisser retomber de tout son poids. Elle s occupait des deux maintenant, les malaxant, les tordant, pinçant les tétons et regardant ma réactions. Elle me les étiraient vers le bas ou le haut et aussi horizontalement.

 

Puis, j ai senti ses mains sur mon corps, elle me palpait, glissait dessus, me pelotant, me malaxant, c était affreux. Elle me claqua un peu les fesses. Puis elle glissa jusqu a mon entrejambes. C était ignoble d être ainsi offerte à cette gamine. Elle me massa la chatte et elle entra un doigt dedans. Elle a été surprise de découvrir que je portais des boules de geisha mais elle continua à me branler avec son doigt. D une main elle déculotta mon clitoris et de l autre elle s est mis à le masturber allant de tant à autre chercher de la mouille de ma vulve trempée. Je portais les boules depuis le matin. Je ne pouvais plus tenir et j ai joui sous ses doigts. Elle ne s est pas arrêtée de me masturber pour autant, je n en pouvais plus j avais le clito en feu mais elle continuais alors que je la suppliais d attendre un peu. J ai joui de nouveau, j avais la chatte inondée. Elle a arrêté.

Par Veronique - Publié dans : Sm
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