grandeplantureuse

Mardi 10 juin 2 10 /06 /Juin 15:41














































Mon mari pardon mon maître en déplacement, Beuze a accepté de s occuper de moi en bon maître virtuel qu il est. Cette nuit là via msn, il ne m avait pas épargné et j appréciais sa façon de me traiter, de me maltraiter et de m insulter.

 

Suite à ce traitement de chienne dans les règles, il m avait ordonné mes ordres pour le lendemain enfin plutôt pour les heures à venir vu l heure à laquelle nous nous sommes quittés.

 

J avais du fouiller dans mon tiroir à dessous pour retrouver ce string rouge. Beuze souhaitait que je porte un string rouge. Cela faisait des années que je ne l avais pas porté et soit il avait rétréci dans le tiroir soit j avais peut être pris un peu de forme. Je l ai enfilé néanmoins, il me rentrait clairement dans la vulve, me cisaillant la chatte et la raie. J allais avoir la chatte martyrisée toute le journée. Puis j ai passé des bas noirs comme il l avait ordonné, une minijupe, un sg et un chemisier.

 

Apres deux semaines de temps pourri, le soleil était de retour et la chaleur avec. Les bas n étaient pas approprié avec ce soleil et je faisais plus pute que sexy. La journée ne faisait que commencer, si j avais obéis à la tenue vestimentaire de Beuze, le plus dur allait venir. Ainsi j avais pour mission de sucer un homme que je ne connaîtrais pas tout en laissant son sperme couler de ma bouche et l autre mission me faire enculer au travail.

 

J étais donc au bureau, le string me travaillait la chatte, m écrasait le clito, me martyrisait la vulve et la raie un délice pour maso. Qui allais je aller voir pour me faire enculer ici au boulot. Je me suis rappelée de Monsieur Jean, un collègue, proche de la retraite. Il était très sérieux et assez strict, le comptable de la boîte. Il y a quelques mois alors que nous étions en séminaire, il nous avait surpris lors d une soirée. Lui qui était si réservé, c était lâché. Il n avait pas fait attention et les médicaments qu il prenait ne faisait pas bon ménage avec l alcool même peu qu il avait bu. C est ainsi que nous avions appris certainement choses sur ces plaisirs sexuelles assouvis et surtout non assouvis tel que l a sodomie. Cela nous avait fait beaucoup rire avec les autres filles et nous l avions totalement oublié le lendemain alors que lui présentait ces excuses.

 

Je me suis donc rendue dans son bureau. Nous avons commencé à discuter sérieusement de travail, puis de nous et enfin de lui. Au fur et à mesure de la discussion, j ai laissé remonté ma minijupe, il pouvait ainsi voir mes grosses cuisses gainées des bas, j avais ouvert deux boutons de mon chemisier laissant une vue plongeante sur mon sg et mes mamelles pendantes Puis je croisais et décroisais les jambes doucement laissant voir la dentelle de mes bas, le haut de mes cuisses et le string qui me rentrait dans la chatte.

 

Monsieur Jean avait la soixantaine, petit et bedonnant, mignon et gentil. Je devais passer pour une grosse salope à m exhiber de la sorte devant ce monsieur. Doucement j ai amené la conversation sur la fameuse soirée du séminaire, il en était encore tout gêné et allait recommencer à s excuser. Je lui ai dit que c était bien de sa part d en avoir parlé et que nous avions tous et toutes des choses de ce genre en nous. Il acquiesça. Je lui ai fait part alors que moi même j avais des envies qui n étaient pas simple à réaliser ou qui demandait beaucoup de complexité alors que ce n était que du sexe sans amour juste du plaisir partagé.

 

Il acquiesça de nouveau et il se relâchait désormais, il regardait sans aucune gêne et même avec attention mon petit jeu de jambes. Il me déclara qu il était d accord pour m aider dans les limites de ses possibilités pour que je réalise ce que j avais envie. Je répondais que son plaisir inassouvi de la sodomie me faisait très envie, j étais morte de honte en déclarant cela. Il commença à se caresser le sexe à travers son pantalon alors que j écartais clairement les jambes désormais. J ai sorti mes mamelles du sg, chemisier ouvert et je me caressais les cuisses et la chatte à travers le string comme une vieille vicieuse.

 

Il m a demandé si je souhaitais me faire sodomiser et j ai répondu que oui, c est ce que je recherchais. Il ne tenais plus. Il a fait le tour de son bureau, il a fermé la porte à clé et il m a demandé d approcher proche de la table de réunion. J ai retroussé ma minijupe me présentant en bas et string, les seins à l air. Il a commencé à me caresser doucement flattant mes courbes, ma taille, mes cuisses, mes fesses puis les seins et ensuite la vulve. Je le laissais faire. Il m a fait mettre en appui sur la table et j ai senti sa queue enfin sorti de son pantalon.

 

Une queue normal tant en taille qu en épaisseur mais il bandait dur. Il était trop petit pour m enculer ainsi, il m a fait mettre à genoux sur la chaise, il m avait difficilement retirer mon string. Puis il présenta son gland sur mon anus et il me pénétra sans plus de préparation. Il m écartait les fesses tout en me pénétrant et je l accueillais ainsi au fond de mon gros cul. Il commença les va et viens mais au bout de 4 ou 5 aller retour, je l entendais et le sentais jouir et me remplir de son sperme. C était des plus rapide. Il ne bougeait plus profitant de sa jouissance et moi le cul plein en un temps record.

 

Je le remerciais mais il restait coller à mes fesses, il me demanda d attendre un peu. Puis il commença à me limer doucement le cul et là cela a durer très longtemps, il m a baisé le cul à toutes les vitesses, sortant et me pénétrant sauvagement ou calmement, il m a travaillé réellement le cul sans s arrêter pour enfin jouir une deuxième fois. Quand a moi j avais joui trois fois. Je n en pouvais plus. Il sortait de mon cul, j étais dans un état de vrai truie.

 

Il m a faite allonger sur la table de réunion , il m a relevé les jambes et il m a reprise le cul. Il me limait de nouveau, sale temps pour mon cul, j en pouvais plus mais maintenant ces mains pouvaient utiliser et jouer avec mes mamelles et mon clito. Il m enfonça le string dans la chatte tout en me bourrant le cul. Il était insatiable dans cet orifice. Il me limait sans arrêt, il n avait pas de limite. Il a enfin joui, j avais le cul démonté.

 

Il avait enfin assouvi son plaisir de sodomie et moi j avais rempli ma mission que je n avais pas prévu ainsi. Je me suis agenouillée et je l ai sucé pour le nettoyer. Je suis retournée dans mon bureau le cul plein et défoncé et mon string dans la chatte. Cela avait été très fort.

 

Il est revenu plus tard dans mon bureau pour me remercier. Je lui retournais les remerciements et le félicitais pour son entrain à la sodomie. Nous avons conclu qu il pourrait m enculer régulièrement. Je lui ai fait part de trouver un homme inconnu à sucer et il m a trouvé un de ces amis.

 

C est ainsi que je me suis retrouvée assise sur sa queue par le cul alors qu il était assis dans le break de sa voiture pendant que je suçais un homme que je ne connaissais pas et qui m a joui dans la bouche et sur le visage. J ai reprios la voiture pour rentrer à la maison ainsi.

 

Missions accomplies.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mercredi 26 mars 3 26 /03 /Mars 10:16

Une amie qui préparait son mariage m avait demandé de l’accompagner chez le curé. Ce dernier assez âgé était reconnu très dur voire intégriste au point de porter encore la robe. J avais donc accepté de la suivre à cette rencontre. C était l’été et je portais une petite robe courte et légère , une culotte et un SG que du normal. La réunion s était plutôt bien passé, je trouvais, il faut dire que la famille de mon amie était très catho et impliquée dans la paroisse.

 

Au moment de partir, il me dit qu il souhaitait que je reste pour discuter mais sur un ton que cela était un ordre. Mon amie m a laissé me remerciant et qu elle avait encore mille choses à faire. Il nous avait reçu dans l église et il ferma à clé la porte lorsqu elle est sortie.

 

Suivez moi me dit il et nous avons traversé la petite église pour nous retrouver à l extérieur entre le mur de l église, celui de la salle des fêtes et du presbytère. Il m emmena contre le mur, il faisait chaud et sous le préau cela sentais la pisse. Le lieu était désert en journée et la semaine. Il m expliqua qu à chaque soirée dans la salle des fêtes, nombreux hommes comme femmes venait soulager leur vessie parfois plus dans ce recoin. Cela sentait de plus en plus et provoquait chez moi ce que vous savez. J étais très gênée et je le soutenais dans les faits. Il y avait quelques flaques certainement des restes de la soirée de la veille.

 

Taisez vous m hurla t il. Vous n êtes qu une menteuse. Ce n est pas parce que vous n avez pas votre masque en cuir que vous changez d avis. Vous adorez ces endroits là et ce qu on y fait. J étais pétrifiée, il savait pour ce que j avais eu pour mon anniversaire. Regardez moi comment vous êtes habillée pour venir voir un homme d église. Il attrapa ma petite robe et tira dessus les boutons pressions ont tous sauté et elle tomba. J étais maintenant en sg et culotte devant lui. Regardez moi ça et il attrapa mon sg et tira dessus mes mamelles en sortirent. Il me plaqua une main sur la vulve et déclara votre culotte est mouillé. Puis il la retira. Pissez maintenant c est bien ce que vous êtes venu ici. J osais un mais mais mais je ne savais plus quoi faire ni dire. Allez y pissé. J ai commencé à pisser ma culotte absorbant d abord les premiers jets puis inondés mon jet passé à travers allant s éclater sur le sol, éclaboussant mes chevilles et mes mollets me coulant le long des cuisses.

 

Accroupie ! Accroupie ! Je me suis accroupie. Ferme les yeux ! je me suis exécutée. J ai d un coup senti un jet sur mon visage, il me pissait dessus, il m inonda de la tête au pieds. Relevez vous et suivez moi. J ai obtempéré ramassant ma petite robe trempé et le suivant les mamelles à l air, en culotte et dégoulinant de pisse. Nous sommes revenu dans l église. il me plaqua sur l autel me baissa ma culotte et avec un gros cierge me prit la chatte. Il me ramonait violemment puis il le retira et me l enfonça dans le cul. Il en pris un second et me le fourra dans la chatte. Puis il remonta ma culotte. J étais empalée des deux trous par ces gros cierges. J ai du m agenouiller. Il a remonté sa robe, il m a mis sa bite en bouche et je me suis retrouvée recouverte par sa robe. Il me tenait la tête et je l ai sucé une belle queue bien dur et épaisse. Il a très vite joui et j ai tout avalé.

 

Partez maintenant. J ai remis ma petite robe et je me suis enfuie. La chatte, le cul empalé, les seins hors du sg et trempée de ma pisse de sa pisse.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mardi 25 mars 2 25 /03 /Mars 11:51



















































Mon maître discute depuis quelques temps avec un autre maître plus expérimenté semble t il. Ce dernier considère qu il n est pas assez stricte avec moi et que je ne progresse pas assez vite, que je suis lente et que mon mari est trop bon avec moi.

C est ainsi qu il a conseillé mon mari pardon mon maître me concernant et il en a été d accord.

Jusqu alors mon mari acceptait que je porte des dessous pour aller travailler et en famille même si c est lui qui les choisissez ainsi que mes tenues. Cela vient de changer, désormais les culottes, strings et sg me sont interdit définitivement et en tout lieu sans changer mes tenues pour autant.

L objectif est clair si je suis une truie à la maison, le week end en vacances pour lui, ses ami(e)s et certaines personnes du village, il faut que le commun des mortels sachent que je suis une chienne. Mes mamelles lourdes et pendantes libres et ballotantes facilement visible ainsi que mon gros cul et ma chatte intégralement rasée.

Le lundi je dois porter un plug dans l anus dés le matin et jusque mon retour, le mardi 3 paires de boules de geisha dans ma chatte, le mercredi boules et plug, jeudi les boules, vendredi le plug, week end à discrétion de mon maître.

C est ainsi que mercredi dernier de retour à la maison, j avais passé ma journée en PJ, bas, minijupe moulante, chemisier translucide, petite veste, un plug dans le cul et 3 paires de boules de geisha dans la chatte, mon maître m a fait remplir un sac de mes culottes, strings et sg. J avais eu le cul empalé toute la journée jusqu a la gorge et les boules avait fait leur travail. J avais ma chatte souillée de mouille ainsi que l intérieur des cuisses jusque la dentelle des bas.

Le sac rempli, mon tiroir des dessous vide comme il ne l avait jamais été, mon maître m a emmené l’offrir à une association caritative qui récupérer des vêtements pour les revendre ou offrir au plus démuni. C est moi qui est du entrer dans cette petite salle, seule, j étais gênée à l idée que l on me demande ce que j amenais. Je suis entrée dans cette pièce sombre, il y avait des vêtements sur des cintres partout. J ai tapé sur une table je n entendais pas un bruit. J ai entendu une voix d homme me dire par ici, j ai contourné la table et suis allée au fond de la pièce.

Là, un vieux monsieur assis sur un petit tabouret triait du linge. Il me demanda ce que je souhaitais et je lui ai déposé le sac lui indiquant que j apportais des vêtements. Il m a demandé de les sortir du plastique, j étais morte de trouille à ce moment, j ai du m accroupir, serrant les cuisses mais découvrant mes cuisses gainées jusque la dentelle des bas et les jartelles. J ai commencé à sortir les culottes, les sg et les strings, cela ne le laissait pas indifférent de voir ces beaux dessous pratiquement neuf.

Ma veste s était ouverte, il pouvait voir mes mamelles pendantes à travers le sg. Il m a dit vous n en avez plus besoin ou vous changer totalement votre garde de robe. Je ne tenais plus et j ai du écarté les genoux, il pouvait voir ma chatte et moi de répondre je n en ai plus besoin. Il a pris un string et me le frottait sur ma chatte souillée de mouille de toute la journée. Je me suis redressée mais il m a passé les mains sous la jupe, remontant le long des cuisses et me fouillant désormais la chatte pleine des boules et découvrant le plug que j avais dans le cul. Il m a branlé avec ses doigts le clito et avec le plug l anus. J ai joui. Il s est redressé et a baissé son pantalon, il bandait dur le vieux, je me suis mise à genoux et je l ai sucé et j ai tout avalé.

Je suis partie vite et il m a dit qu il savait qui j étais et qu il repasserait me voir si je ne venais le voir.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Jeudi 13 septembre 4 13 /09 /Sep 15:59

C était tout au début des changements dans notre couple. Mon mari et futur Maître souhaitait faire une expérience, il m en avait parlé et j avais difficilement accepté mais accepté sans savoir si je pourrais le faire réellement.

 

Je rentrais du travail. Je portais la tenue que mon mari m avait préparé le matin c est à dire des bottes, une jupe courte, des bas, un string, un chemisier, sg et une petite veste. Je ne vous dit pas ma surprise lorsque je suis entrée dans la maison et que j ai découvert mon mari nu portant ma culotte et mon sg de la veille attaché pieds et mains au radiateur, un large scotch sur la bouche.

 

Il y avait un homme dans le fauteuil. Il déclara "  Après la salope de mari voilà sa salope de bonne femme ! Approche ! Elle a raison la fiotte, t es grande et plantureuse ! Approche, viens te montrer ! " Je marchais vers lui, j avais terriblement peur, l impression d aller à l abattoir et mon mari dans cette tenue et lié.

 

J étais tout près de lui. Il me plaça une main entre mes genoux et il remonta le long de la cuisse me pelotant et caressant ma cuisse du bas. Il dit "  Humm y a de quoi faire, y a matière avec de telles cuisses, t aimes les écartées, salope ? " Je ne savais pas quoi répondre, j ai balbutié " oui " "  J ai rien entendu salope, t aimes te faire baiser par d autres que ta fiotte de mari ? " J avais du mal à supporter tout cela mais j essayais de jouer le jeu " oui " ai je répondu alors que je n avais jamais trompé mon mari de ma vie.

 

Il remontait sa main sous ma jupe et il arriva à mon entrejambes " Putain, ta culotte est bouillante et humide salope " et il commença à me caresser à travers la culotte me branlant le clito puis glissant sur mes fesses " t as un bon gros cul de salope dis donc " Je voyais que mon mari essayait de se détacher, de parler mais le scotch l empêchait. "  Regardes moi salope, la fiotte est inintéressante, je suis sur que tu meurs d envie de te montrer, salope, vas y retires, ta veste, ton chemisier et ta jupe grosse pute " Morte de honte et de trouille, je me suis exécutée comme un automate.

 

J étais désormais en bottes, bas, string et sg. " Vas y tourne toi, montres moi , ton corps, ton gros cul, écartes les jambes et caresses toi " " Trémousse toi vieille salope " " Sors tes nibards du soustif salope " Mes mamelles étaient hors des bonnets, lourdes et pendantes. "  Approche " et il a commencé à me peloter en règle le corps, glissant sous le string pour me doigter puis bien mouiller me l enfiler dans l anus. il racontait à haute voix ce qu il me faisait pour que mon mari entende bien des fois que la vue ne lui suffisait pas.

 

Il s est assis devant mon mari et déclara "  je suis sur que tu veux me montrer plus, vas y retires ton string et ton soustif vieille pute " Je me suis exécutée. " Bien, continue , montre moi ta chatte, écartes là, ton cul, écartes tes fesses, montre ta raie , offres moi ton anus, tires sur tes pies, t es qu une grosse vache en chaleur, ta chatte est trempée " Toutes les positions que j avais du prendre lui avait offert mes parties les plus intimes à lui et à mon mari qui se débattait avec ses liens et soufflait fort part le nez.

 

Il a ramassé mon string et il l a humé " Putain salope t es odorante humm " et il se leva pour le faire sentir à mon mari " Sens comme elle mouille pour moi, la fiotte " puis il lui mis sur la tête avec le fond devant le nez. Mon pauvre mari dans cette accoutrement était des plus ridicule mais il ne pouvait rien faire. L homme a retiré son pantalon, son caleçon et son tee shirt laissant apparaître une grosse queue longue et demi bandante accompagné d une grosse paire de couilles. " Viens la caresser, grosse vache " je me suis approchée et je l ai pris en main.

 

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mardi 11 septembre 2 11 /09 /Sep 13:23

Je rabaissais ma jupe. J ai remis mon chemisier et mon gilet. Je venais de sucer mon chef et il avait fini par m enculer profondément et sans ménagement. Il gardait mon string.

 

Le chef : Passez voir Jean avant de retourner travailler !

 

Comme à chaque fois désormais qu il abusait de moi, il m envoyait voir Jean, un collègue et son ami. Il me partageait toujours ces fois là. Je suis arrivée dans le bureau de Jean et je me suis assise face à lui, j ai écarté les jambes et il a découvert mes cuisses gainées, les jartelles et ma chatte lisse sans culotte.

 

Jean : Oh toi, tu viens de te faire baiser par le chef 

Moi : Oui

Jean : Comment t a t il prise

Moi : Il m a sodomisé

Jean : Il adore ton gros cul, il t a bien limé

Moi : Il semblerait, il m a défoncé

Jean : Mais tu adore ça, grosse salope

Moi : Oui

Jean : Prends le matériel et rejoins moi

 

C est ainsi que j ai pris dans son tiroir un morceau de manche en bois et que je l ai rejoins au chiotte. Là, j ai ouvert mon gilet et mon chemisier laissant apparaître mes mamelles lourdes et pendantes. Il avait déjà retroussé ma jupe et il me pelotait tout en me passant le morceau de bois sur la chatte. Il me mordillait les tétons, il me tétait les seins et il me plaça le bois sur ma rondelle et il m encula avec. Il me limait le cul avec, mon pauvre cul qui venait de se faire défoncer par le chef et qui était rempli. Il me l enfonça complètement et le bois disparu dans mon cul.

 

Il sortit enfin sa queue et il m a prise la chatte debout un pied sur le toilette. Il me bourrait la chatte tout en me claquant les fesses, mordillant et tétant mes mamelles. Je sentait sa queue glisser sur le bâton que j avais dans le cul. Il me labourait la vulve. Puis il sortit de ma chatte et je me suis agenouillée. J ai pris sa queue maculée de ma mouille en bouche. Comme il le souhaitait je lui tenais et caressais ses couilles. Pendant que mon autre main faisait aller et venir le balai à chiottes sur ma chatte et mon clito.

 

Il me tenait la tête et utiliser ma bouche pour se branler avec. Il m obligeait à avaler son gland à en vomir. Il vérifiait régulièrement si je me frottait fort la chatte avec le balai à chiotte. Il m encourageait à frotter plus fort et à me frapper la vulve avec. Il me baisait la bouche et il est venu jouir bien au fond de la gorge. Je sentais ses longues giclées glissées dans ma gorge. Il est ressorti avec sa queue propre.

 

Je me suis assise sur le toilette jambes grandes ouverte. Il m a pris le balai et c est lui qui maintenant me frottait la vulve avec. Il appuyait fort et les va et vient me brûlaient la vulve. J ai du pisser ainsi devant lui et j ai fini par jouir. Il m a fait prendre sa bite en main et il a commencé à pisser. J ai du diriger son jet sur ma chatte en feu. Lorsqu il a eu fini, j ai du lui passer un coup de langue pour la dernière goutte.

 

Je me suis rhabillée sans m essuyer, le bois toujours dans le cul et nous sommes repartis au travail.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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