Chienne

Mercredi 13 juin 3 13 /06 /Juin 15:02

J avais du retirer ma petite robe et j’étais désormais complètement nue sur ce chemin de forêt. Nous avancions ainsi avec mon mari désormais mon Maître. A chaque pas, je m éloignais un peu plus de ma robe et de la voiture.

Nous sommes arrivés dans une prairie , il y avait là un cheval. Nous nous sommes approchées et mon maître lui donnait des trucs à manger alors qu il me demanda de le caresser. Il m appelait durant tout ce chemin la jument. Je caressais donc ce cheval lorsque d un coup j ai vu son sexe se déployer, il n en finissait de s allonger et de pendre.

 

Mon maître m a invité à caresser ce sexe énorme tant en longueur qu en épaisseur. Je n y croyais pas quand je l ai pris en main c était démesuré. Je passais ma main sur toute la longueur et je le branlais comme mon maître le souhaitait. Puis, j ai du passer ce gros tuyau sur ma chatte et je me limais la chatte pour que mon maître voit ma mouille sur cette bite. Mais cela ne suffisait et j ai du m accroupir pour le lécher. J ai ouvert la bouche en grand et j ai mis cette bite disproportionnée dans ma bouche alors que je continuais à le branler. J avais si honte de moi de faire cela, j en avais des larmes aux yeux.

 

Au bout d un moment, j ai reçu son foutre, j ai failli me noyer de tout ce sperme , j en ai reçu sur le visage mais mon maître voulait que je le reprenne en bouche ce que j ai fait. J ai avalé ce que je pouvais mais il y en avait tant que cela me débordait de la bouche, des giclés sur le visage et sur mes seins m inondaient. J ai pu arrêter que lorsqu il a eu de nouveau sa queue aussi propre que lorsque j avais commencé à le caresser.

 

Je n ai pas eu le droit de m essuyer le visage, ni les seins, j avais du sperme partout. De retour à la maison toujours nue et désormais à 4 pattes, j étais redevenue la vieille grosse truie. Mon maître ramassait le sperme que j avais sur moi avec sa bite et il me la donnait à lécher. Il a souiller sa queue du reste de sperme, il bandait comme un cheval, il m a fait me tourner et il m a enculé d un coup, le sperme du cheval servant de vaseline. Il m a baisé comme un sauvage, défoncé le cul, j ai jouie ainsi que lui très fort et il m a remplie le cul. Il est sorti de mon cul et je l ai léché pour le nettoyer. Sa queue avait le goût de son foutre et de l animal.

Par Veronique - Publié dans : Chienne
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Mardi 30 janvier 2 30 /01 /Jan 13:44

Cette confidence est la suite de " un chien, une chienne, un chien " et de " torture psychique ".

Babette est une salope née. Elle est extrême et adore me faire baiser par ses chiens, m humilier, me rabaisser et me considère vraiment comme une truie rien qu une vieille grosse truie. Elle est dure et adore baiser avec mon mari pardon mon maître. Ils ont les mêmes vices et se les partagent magnifiquement surtout, je pense, en ma présence.

 

Mon maître m ignorait depuis plusieurs jours. Certes, il choisissait toujours mes tenues mais de retour du travail il ne souhaitait plus connaître mon rapport ni me toucher. Il considérait que je ne progressais pas assez vite, trop lente et en plus Babette lui permettait de me passer de moi. Nous étions samedi matin, il était parti pour la matinée et m avait laissé à la maison pour faire le ménage. J étais totalement nue.

 

C est ainsi que j ai reçu le facteur. Je l ai vite eu en bouche et très rapidement il est venu m enculer sans ménagement ni autre préparation. Il s est vidé dans mon cul me lâchant des mots crus à la pelle depuis qu il était entré. J ai du le sucer pour le nettoyer et il est parti mais il demanda l heure du retour de mon maître et dit " Je vais t envoyer de la bite, vieille truie ". Quelques minutes plus tard, un homme du village arriva, je le branlais alors qu il me pelotait, me palpait, me flattait le cul et il m a pris la chatte. Il me bourrait la chatte sur la table de cuisine quand un autre homme est entré. Il est venu naturellement dans ma bouche. Je me suis faite remplir ainsi, j étais la grosse truie du village. Un peu plus tard c est un jeune qui est venu, j ai du le branler et le sucer et il m a joui sur les seins. Un autre enfin est venu, je l ai pompé et il a joui sur mon visage.

 

Lorsque mon maître est rentrée, j avais du sperme plein le visage, les seins, la bouche et le goût de queues également, ma chatte et mon cul remplie. Il m a regardait et m a déclaré " je vois que tu fais des efforts " " mais propose moi quelque chose où tu me montreras que tu progresses en tant que vieille grosse truie ". Jusqu alors, il m ordonnait parfois m invitait à essayer et j obéissais toujours mais cette fois c était à moi de proposer et montrer ce que je pouvais faire en vieille grosse truie. Je suis allée chercher le gros collier de chienne et la laisse, je les ai mis, je me suis mise à 4 pattes, tête baissée et honteuse de ce que j allais déclarer. J ai dit " je souhaite les chiens de Babette ".

 

Il m a pris en laisse et je suis allée grimper dans le coffre de la voiture à 4 pattes. Babette a été ravie de nous voir arriver et particulièrement moi, " cette vieille grosse truie dans son état naturel souillée comme j aimais l être" comme elle a précisé. Elle a sorti ses chiens et ils nous ont promené dans le jardin. J étais toujours à 4 pattes, genoux écartées, j ai pissé et déféqué devant eux ainsi. J étais dans un état second pour faire cela mais ils voulaient de la vieille grosse truie, je leur en donnais, plus de limite pour moi, du moins à ce moment là. Nous sommes rentrées, Babette et mon maître se caressaient, se branlaient. Quant à moi, j ai pris les choses en main, l un des chiens me lapait la chatte et le cul alors que j ai commencé à sucer l autre.

 

Le premier m a vite grimpé et il a trouvé ma chatte. Je continuais à sucer le second. J arrêtais parfois de sucer pour encourager le chien qui me limé. Babette et mon Maître n en croyais pas leurs oreilles. J étais si si … qu’ils ont arrêtaient de baiser et ils m ont regardé. Après avoir eu la chatte remplie et la bouche, j ai continué avec les chiens le second est venu derrière moi et je l ai placé dans mon cul. Je suçais celui qui m avait pris la chatte. Je nettoyais sa queue gluante qui sortait de ma vieille chatte de truie. J encourageais l autre à me démonter le cul. Ils ont joui ainsi et moi également.

Par Veronique - Publié dans : Chienne
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Mercredi 20 décembre 3 20 /12 /Déc 11:25

Je revenais du travail, mon mari m attendait. Nous étions attendu chez des amis pour prendre l?apéritif. Il ne m?a pas laisser prendre de douche malgré la chaleur qui était désormais présente. J?ai eu le droit juste de me changer. C?est ainsi que j?ai passé un petit chemisier et une minijupe légère ample sans culotte ni SG. Dans la voiture, j?avais la chatte à l?air et je lui ai demandé si il ne trouvait pas que je sentais un peu. Il m?a juste répondu qu?en effet, je sentais la chienne. J?étais honteuse.

 

Arrivé chez nos amis, nous nous sommes retrouvés dans le jardin autour d?une grande table ronde. Alors que nous prenions l?apéro, leur chien est arrivé. Nous étions venu le chercher car ils partaient pour le week end et nous allions le garder durant ce temps. Il était passé sous la table et très vite il est venu entre mes jambes reniflés. J?étais pétrifiée et bien évidemment il devenait sentir bien plus fort que les autres l?odeur de ma chatte humide et souillée d?une journée dans la chaleur.

 

Mon mari s?en ai aperçu, il profita de l?absence de nos amis l?espace d?un instant pour passer une main sous la table et m?écarter le genoux, il ajouta " laisses faire ". C?est ainsi qu?au retour de nos amis, j avais désormais les jambes grondes écartées et la truffe du chien sur mon clito et ses coups de langues sur ma chatte. Je me suis avancée sur la chaise, cela a remonté ma minijupe mais j avais la chatte au bord du siège et plus de risque de mouiller la minijupe de ma mouille ou de sa bave.

 

 

Plus il léchait et plus je mouillais, il était à la limite de me dévorer la chatte et je me suis mordue les lèvres à certains moments lorsqu il attrapait ma chair entre ses crocs. J?ai joui en silence la situation était affreuse et mes amis s?étonnaient de ne pas m entendre, je parlais bien plus habituellement mais que pouvais je tenir comme conversation. Je m imaginais bien dire votre chien me bouffe la chatte, je mouille comme une chienne et je viens de jouir devant vous.

 

Je ne tenais plus et j?espérai éc?urer le chien ainsi. J?ai lâché quelques petits jets de pipi, je lui pissais à la gueule et cela tombait dans la pelouse. Mais bien mal m?en a pris , il a redoublé ses coups de langues et j?ai joui une seconde fois. Je n?en pouvais plus, je lui offrais désormais ma chatte et ma raie grande ouverte, je m abandonnais totalement à lui. Nous sommes enfin parti, mon mari avait fait tomber les siège arrière du break pour que le chien ai de l?espace. Quand à moi, de la table à la voiture, je sentais ma mouille et sa bave abondante me couler le long des cuisses.

 

A peine démarré, mon mari m?a passé une main entre les jambes, il a été surpris et déclara " mais c?est inondé sale chienne, c?est plus une chatte, c?est un seau de mouille jusqu au cul " puis il ajouta " fous toi à poil sale chienne ". J?ai retiré mon chemisier et ma minijupe. Il s?est arrêté sur la bas côté de la route, il est sorti, a ouvert ma portière, m a mis mon collier de chienne et la laisse et m a sorti de la voiture. J?étais à 4 pattes au bord de la route. Il a ouvert le coffre et a déclaré " la chienne avec le chien, grimpes vite ". J?ai grimpé dans le coffre et j?ai reçu une claque très forte sur le cul à m en marquer la fesse.

 

Il a repris le volant. Le chien a recommencé à me lécher, il était allongée et mon maître m?a ordonné de le sucer. J?étais en 69 avec ce chien , sa grosse queue rouge et raide si dur en bouche à lécher. Mais mon maître ne voulait pas que je le fasse jouir.

Je l?ai informé à un moment que je sentais qu?il allait jouir et j ai du arrêter de le lécher. Il a arrêté la voiture dans un chemin de forêt et il nous a sorti les deux du coffre en laisse. Le chien m?a vite grimpé et sa queue est rentrée immédiatement dans ma chatte inondée. Il m a sailli ainsi rapidement comme une bête j?étais prise et il m a rempli en abondance. Lorsqu il est sorti son sperme me coulait le long des cuisses, ma chatte dégoulinait. Mon maître nous a remis dans le coffre mais alors que j'avais les bras dans le coffre, il m a arrêté, ordonné de sucer le sexe du chien encore tout poisseux et il m a enculé sans ménagement. Lorsqu il a eu fini de me remplir, il a essuyé sa bite sur mes fesses, fermé le coffre et nous sommes rentré à la maison.

Par Veronique - Publié dans : Chienne
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 13:40

Ce matin là, je n avais pas eu le droit de me doucher. J’avais passé la matinée à faire le ménage dans la maison entièrement nue. Cet après midi, mon Maître m’avait mis un collier de chien bien serré et une laisse et il m avait appris à me déplacer à 4 pattes tenue en laisse, les genoux bien écartées pour laisser bien visible ma raie, mon anus et ma chatte luisante et odorante. Mes mamelles ne pouvaient pas pendre plus dans cette position de chienne et je sentais l odeur de mes aisselles avec cette chaleur et le travail de ce matin.

 

Il me promenait ainsi dans la maison, je lui avais fait part de mon envie d’uriner plusieurs fois mais il ne semblait pas décider à me laisser aller aux toilettes. Il avait une longue cravache qu’il faisait glisser sur mes fesses, sur ma raie, sur ma chatte, mes cuisses et mes mamelles et parfois il donnait un petit coup sec. Il m a dit " Tu aimes les surprises et tu adores ta nouvelle condition, n’est ce pas ? " J’ai répondu oui absolument au deux. " Alors tu vas en avoir une et tu me remercieras plus tard ". Il m a mis un bandeau sur les yeux.

 

La sonnette retentit et il m emmena avec lui dans le couloir. Il me tenait toujours en laisse et il ouvrit la porte. Là, j’entendis " Bonjour c’est nous " , c’était la voix d’une femme. Je connaissais cette voix mais je ne savais pas à qui la mettre, à quelle femme elle appartenait mais je la connaissais. Je me suis faite bousculée non par elle mais par par deux chiens de ma taille enfin dans cette position ils étaient aussi haut que moi. Elle devait les tenir en laisse, elle entra et ferma la porte. Mon Maître m emmena, il annonça " je dois la sortir " à quoi elle répondit  " les miens ont juste à l instant de hors " " vous avez une belle chienne " " Merci répondit il les vôtres sont magnifiques ".

 

J étais désormais sur la pelouse et ils attendaient que je pisse dans cette position à 4 pattes en laisse devant eux. J’avais tellement envie depuis longtemps que malgré la honte, j ai fait pipi alors qu’elle déclarait à oui c’est bien une femelle elle pisse dru dites donc tout en retenant ces chiens qui cherchaient à me renifler. Lorsque j ai eu fini, nous sommes rentré dans le salon. Là, elle a proposé à mon Maître de nous laisser faire connaissance. Il a lâché la laisse ainsi que elle j imagine et j ai senti ses grosses truffes venir me renifler et me laper partout sur le corps. J’étais figé à 4 pattes au milieu de la pièce je ne pouvais que les laisser faire. Ils me léchaient la raie, la chatte, les aisselles, les seins, je mouillais malgré tout et plus je mouillais et plus ils léchaient.

 

Oh regardez dans quel état, elle l’est à mis dit elle. Il est temps ne pensez vous pas ? ajouta t elle. Attendez répondit mon Maître. Il m a attaché, je ne pouvais plus fuir. Puis, j ai senti qu elle reprenait un de ses chiens en laisse. Elle l’a emmené derrière moi et lui dit de grimper au bout de la troisième fois il m a grimpé dessus et j ai senti sa queue sur mes fesses. J ai essayé de fuir malgré mes efforts je n arrivais à accepter cela et j ai commencé à dire " non pas ça non " et je suppliais mon Maître , je me dandinais et me penchais en avant au point que le chien descende de mon dos.

 

Mon Maître s’est approché de moi et m a donné une série de coup de cravache sur les fesses tout en disant à cette femme " Donnez moi votre culotte " à peine avait il fini de dire cela qu’il me fourrais ce string inondée de mouille et goût au fond de la bouche. C’est sa première saillie vous comprenez dit il. Elle présenta de nouveau son chien et elle plaça sa queue dans ma chatte. Il m a enfilé et m a limé rapidement , sauvagement et j ai senti cette grosse queue de chien me fourrer la chatte et se vider en moi. J en pleurai sous mon bandeau. Il sortit et elle présenta le deuxième mais cette fois sa queue contre mon anus et il m encula aussi vite et aussi sauvagement que le premier. Elle demanda si je pouvais nettoyer leur queue et mon Maître de répondre oui je pense qu'elle est dompté désormais. Il m a détaché les mains et les chiens étaient allongés devant moi. On me plaça une main sur chaque queue et il me tira la tête par les cheveux pour que ma bouche trouve ces queues.

 

J’étais écœuré de moi, de ce que je venais de faire mais j’ai pris de plus en plus d’attention à les sucer pour les nettoyer. Leur queue encore raide, grosse et visqueuse de foutre. Mon Maître a considéré qu’il pouvait désormais me détacher complètement avilie et docile. J étais entre les chiens les suçant, l un d entre eux est venue me lécher l entrejambes.

 

Elle s’est penchée et m’a retiré le bandeau. Je découvrais cette queue de chien que je suçais et en levant les yeux cette femme le débardeur relevé, les seins à l’air , la jupe retroussée qui s’empalait la chatte sur le sexe de mon Maître. Elle était blonde et épilée. Celui qui était derrière m a grimpé de nouveau. J allais lui placé sa queue en moi quand elle a dit qu il t a déjà prise ta chatte de chienne mets le dans ton gros cul sale chienne. Je me suis exécutée et il m a enculé. Je suçais donc celui qui m avait enculé. Ils ont joui pratiquement les trois ensemble. J ai du venir lécher la chatte de cette femme, puis le sexe de mon mari alors que le deuxième venait pour la deuxième fois mais cette fois il avait droit à ma chatte. J ai léché ces chiens avant qu ils ne partent.

 

Au moment où elle m avait enlever le bandeau et que j avais levé les yeux, je l avais reconnu et en effet je connaissais cette voix ? C’était celle d’une collègue de travail qui travaillait dans un autre service et à un autre étage mais nous étions de la même société et je savais pour mon Maître avait des relations commerciales avec plus plus que j en avais entre collègue. J’étais honteuse, humiliée, détruite.

Par Veronique - Publié dans : Chienne
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