Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 10:27

Mon mari pardon mon maître m avait fait porté mon petit string abricot le devant derrière durant toute la journée. Habituellement, il me choisissait toujours des culottes ou des strings qui me moulait fortement la vulve, qui m’écrasait le clito, me rentrait dans les lèvres et me cisaillait la chatte et la raie mais là de le porter ainsi cela amplifié l écrasement et tout le reste. J avais toujours ma chatte Triangle, Lisse, Velue vulgaire et obscène.

 

Il avait préparé ma tenue pour cette soirée chez Claudie et Vincent. Je portais donc ce string, des bas, des bottes, une jupe et un chemisier sans SG. Mes mamelles pendaient lourdes et ballotantes, les tétons regardant mon nombril. Il avait retiré la doublure de ma jupe, celle ci était devenue des plus translucides. J ai contesté, Vincent n était pas au courant de mon état de vieille grosse truie docile et encore moins de la relation de Claudie avec nous. Je n ai eu comme réponse qu un " ta gueule, la truie , tu portes ce que je donne " et j ai passé la tenue.

 

Nous sommes arrivé chez eux et évidemment Vincent n en croyais pas ses yeux lorsqu il m a vu. Quant à Claudie, elle portait la tenue que mon mari lui avait demandé de porter. Si elle avait reçu ses ordres , j avais également reçu les miens. Il faisait une chaleur torride, la cheminée fonctionnait à fond. Alors que nous prenions l’apéro, nous étions installés de tel sorte que Claudie pouvait remplir sa mission, montrer ses cuisses à mon maître.

 

Vincent avait préparé le repas et je l accompagnais régulièrement à la cuisine déjà parce cela faisait parti des règles et qu il était obligée sans cesse de me voir en mouvement et que Claudie pouvait montrer son sein et sa chatte intégralement rasée à mon maître.

Alors que nous allions passé à table, Claudie prétexta un problème sur son ordinateur et mon mari l accompagna dans son bureau à l étage pour voir le problème. Vincent avait lui son bureau au rez de chaussée et il ne connaissait rien à l ordi.

 

Lorsqu ils sont redescendu, Claudie avait la bouche pleine enfin moi je le savais et elle s est ruée sur son entrée. La chaleur et l alcool aidant, les discussions étaient des plus libérées et je continuais à accompagner Vincent en cuisine. Il ne se gênait plus pour me regarder, me frôler et me féliciter sur ma tenue très très sexy qui lui faisait énormément d effets. Quant à moi, j étais de moins en moins gênée à ce qu il me voit ainsi.

 

Entre le plat et le dessert, Claudie et mon maître sont remontés pour voir sui le problème informatique se résolvait, je savais que cette fois , elle allait en prendre plein la chatte. Pour ma part, j avais désormais les jambes grandes ouvertes et le chemisier ouvert devant Vincent, ma petite vengeance de truie abandonnée ou simplement la réalisation de l ordre de mon maître de m exhiber à Vincent. Je me suis rhabillée à leur descente et nous avons pris le dessert.

 

Alors que je débarrassais avec Vincent et que je l aidais à ranger et à nettoyer, il a commencé à me caresser, il n en pouvait plus et moi non plus. Ils sont remontés toujours pour leur pseudo problème d ordi moi je savais qu elle allait maintenant se sodomiser. Il était très excitée au point de m abîmer un collant, je le laissais faire, nous nous embrassions et il me pelotait, me palpait, me branlait comme un fou.

 

J ai sorti sa queue mais elle était à demi molle rien a voir avec la sensation de ses attouchements ni même sa langue fougueuse. Il s excusa, je me suis agenouillée et je l ai pris en bouche mais rien n y faisait elle restait à demi molle. Il semblait gêné, il m a demandé d attendre, il est allé dans son bureau et est revenu avec un plug. Il m a avoué que depuis des années, il ne pouvait plus bander qu avec ça dans l anus. Il m a demandé si cela me gênait, j ai répondu que non. Il a passé un coup de langue dessus et il se l ai placé. Aussitôt, il a bandé dur, très fort, une grosse queue. Je l ai pompé et il m a inonder la gorge, la bouche, me remplissant de longue giclée et en abondance. J ai tout avalé et je me suis relevée. Il a gardé le plug. Nous avons fini de ranger et il m avouait que cela faisait des années qu il ne pouvait plus que bander ainsi. Sa femme ne savait rien, il n avait jamais osé en parler à personne mais il n avait pas réussi à résister à moi et à mon exhibition. Cela faisait trop longtemps qu il se masturbait ainsi en cachette avec un plug en lui. Il savait que sa femme regrettait qu il ne la touche plus mais lui également mais il n avait pas le courage de lui dire. Je lui ai promis que cela resterait entre nous.

 

Claudie et mon mari sont redescendu, le problème d ordi était réglé en clair elle avait rempli sa mission et nous sommes rentrés chez nous. Dans la voiture, j ai du tout raconter à mon maître. Il a trouvé que je devenais une bonne vieille grosse truie, que c était un début. Il a beaucoup apprécié le secret de Vincent et a ajouté " tu te rencontres que sans cette particularité, Claudie ne serait pas ainsi avec nous, quelle chance, nous avons ". Puis, il a ouvert son pantalon et tout en conduisant, je l ai sucé. Sa queue était encore poisseuse de son sperme et de l odeur du cul de Claudie. Il m a raconté les trois montées et ce que Claudie avait fait et comment elle était excitée et avait été si bonne. Je ne voulais pas entendre mais je le devais.

Par Veronique - Publié dans : Claudie
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