Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:01

Babette est ma collègue que je ne côtoies jamais au travail n’étant ni dans le même service ni au même étage. Si vous avez lu Un chien, une chienne… c’est elle qui a deux chiens. Elle a la trentaine, mariée, blonde une vrai, au sexe épilé, une belle poitrine et partage certains vice avec mon Maître qu’elle rencontre dans le cadre du travail.

 

Depuis quelques jours mon Maître ne me parlait plus que d’elle lorsque je rentrais du travail et même le week end. Evidemment, je n’ai pas le droit à la jalousie et donc je me taisais malgré le mal que cela me faisait. Le mari de Babette étant régulièrement en déplacement durant la semaine, elle l’appelait à la maison et il passait des heures à discuter jusqu’à se masturber chacun de leur côté et mon maître le faisait devant moi alors que j’entendais tout de leur conversation. Il m arrivait d’en pleurer et lorsqu’il venait se coucher il ne me touchait plus. J’étais punie, c’était une nouvelle punition pour ne pas progresser assez vite dans mon objectif de devenir une bonne vieille grosse truie.

 

Il continuait à choisir et décider de mes tenues chaque matin mais il ne faisait plus d’achat. Il ne me faisait plus raser ma chatte et mon poil dru avait envahit mon pubis largement. Le poil débordait allégrement des strings, j en étais gênée moi même désormais. Le soir lorsque je rentrais, je ne lui racontait plus ma journée alors qu auparavant je faisais mon rapport pendant qu’il vérifiait l’état de mon entrejambes et de mes mamelles.

 

Alors que j’allais quitter le travail, Babette a débarqué dans mon bureau et a fermé la porte. Elle a retroussé sa jupe et a retiré son string puis elle l a mis dans un petit sachet de congélation et me l a tendu. Je l ai pris ne sachant quoi faire et elle m’a déclaré " Tu donneras cela à ton mari, je lui ai promis, il pourra vérifier que je me suis masturbée trois fois cette journée, que je ne me suis pas essuyé après le pipi ni après mes jouissances ". C’était affreux, j’étais le postier qui allait apporter à mon mari la culotte souillée de ses jus et odeurs de cette femme.

 

De retour à la maison, j’ai donné le petit sac à mon Maître. J’ai vu ses yeux briller et immédiatement prendre le string et l’amener à ses narines. Il l’a humé et poussait de petit cri d’excitation tout en disant " humm la cochonne, oui une bonne cochonne, une bonne mouilleuse " et il se caressait le sexe pendant ce temps là. Elle l a appelé un peu plus tard et bien évidemment il parlait de son string et elle de sa journée à mouiller dedans pour lui. Je l ai entendu jouir fort, j’étais dans mon lit et je pleurais.

 

Le lendemain, le string qu’il m avait préparé était sec et humide de son foutre. Il avait dû jouir dedans tout en reniflant le string de Babette en discutant avec elle. Je l’ai porté mais j’étais jalouse que se soit elle qui ai permis que ce string soit inondée du foutre de mon Maître. En fin d’après midi, elle a recommencé son petit jeu et moi j’ai ramené la culotte du jour à mon Maître. Le lendemain, j ai dû porter le string de Babette qu’elle avait donné en premier et il était encore plein de son sperme et de sa mouille séchée. Il était petit pour moi, il me rentrait dans la chatte, dans la raie, me martyriser le clito et ma chatte sentait le foutre et les odeurs de Babette. C’était humiliant au possible. Cela a duré toute la semaine. Et je portais chaque matin, le string précédent de Babette qu’elle avait abondamment souillée et qu’il avait inondé.

 

Le week end, j’ai dû nettoyer les string de Babette avec ma langue jusqu a les rendre propre. Le lundi soir, elle n’est pas passé au bureau, j en étais très contente que ce manége cesse en revanche elle était là chez moi lorsque je suis arrivée prenant un verre avec mon mari. Je me suis assise avec eux mais ils ne faisaient pas attention à moi, ils discutaient. Elle a retiré sa culotte et l a offerte à mon mari. Ils ont commencé à se caresser, elle a fini juste en bas et il était entre ses jambes à lui lécher la chatte avec gourmandise sous les râles de Babette. J’ai quitté la pièce et je suis allée me coucher, je les ai entendu jouir plusieurs fois.

 

Ils sont montés dans la chambre, j’ai dû sortir du lit et me mettre debout à côté du lit. Ils ont baisé longuement devant moi. Babette me disait que j’étais qu une conne que je ne savais pas ce que je perdais, de regarder comment mon mari l’a baisée magnifiquement bien, ils s’embrassaient longuement comme des bêtes en rut , elle ajoutait que si il était si bon c’était parce qu’elle avait 30 ans et qu’elle savait y faire contrairement à la vieille pouffiasse incapable que j’étais. Je pleurais et lui confirmait ses dire. J ai dû dormir au pied du lit comme ses chiens.

 

Au petit matin, elle m a mis mon collier de chienne et la laisse, elle m a emmené au bord du lit et j ai dû sucer mon Maître sa queue avait encore toutes les odeurs de Babette. Puis, elle m a sorti dans le jardin pour mes besoins. Nous nous sommes préparées et je l’ai emmené au travail. J avais toujours le collier et la laisse sur moi, elle ne les a enlevé que sur le parking de l’entreprise. Durant le voyage, elle avait une main sur ma chatte et m a branlé toute la route au point de me faire jouir trois fois alors que de son autre main elle me martyrisait les tétons à travers le SG. Aux portes de l’entreprise alors que nous allions dans des directions différentes , elle m a dit passe chez moi ce soir voir les chiens, ils seront contents et ton mari te pardonnera peut être.

Par Veronique - Publié dans : Vacances
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