Vendredi 12 janvier 5 12 /01 /Jan 14:36

Il faisait bon en ce début juillet, cela sentait un peu les vacances. Je portais une petite robe estivale sans culotte ni SG évidemment. Mes grosses mamelles lourdes pendaient et ballottées librement depuis le matin. Depuis que mon maître m’avait interdit le sg à la maison, les week ends et les périodes de congés, je trouvais que mes mamelles pendaient de plus en plus mais pas assez à son goût. Il avait commencé à les travailler d’ailleurs rustiquement avec des cordes et des altères mais il comptait investir sur des pinces et des poids.

 

Il m’emmena en voiture dans la campagne proche de chez nous. Il gara la voiture prés d’un chemin au bord de la forêt pour que nous allions nous promener. Mais avant que je ferme la portière il m ordonna de retirer ma robe et j’apparaissais nue en pleine nature. Il ferma la porte ainsi que la voiture. Il me regarda et me dit " la campagne, la forêt, la nature et tu es parfaite comme truie pour cette balade , allons y ".

 

C’est ainsi que je l’accompagnais complètement nue sur ce chemin, j’avais si honte et morte de peur de croiser des personnes ou d’être vu et je n’avais rien pour me cacher aucune possibilité de me vêtir de la moindre chose. Il m’arrêta plusieurs fois pour vérifier l’état de ma chatte et je devais me masturber devant lui mais pas jouir.

Puis il me demanda de poser, de prendre des poses de cochonnes,, de vieille truie et de nouveau de me masturber mais désormais de jouir.

 

J’avais désormais la chatte inondée et ma mouille laissait des traînées le long de mes cuisses. Puis, j’ai du m’accroupir et pisser, me relever et continuer la promenade tout cela n’arrangeait pas l’état de mon entrejambes ni de mes cuisses. J’ai du m’asseoir sur un rocher et il s’est approché pour que je le suce. Je le pompais avidement pressée qu’il jouisse et que nous rentrions à la maison. Mais si il bandait fort il ne semblait pas pressé de jouir il dégustait l instant et la situation.

 

Il a enfin joui, j’avais la bouche grande ouverte pour recevoir ses longues traînées de foutre au fond de ma gorge et il lâcha également quelques jets sur mon visage. J’étais souillée de foutre de la bouche au visage cela me coulait sur la gorge et les seins. Nous avons entendu du bruit des marcheurs arrivés sur le chemin. J’ai fui derrière un bosquet et je me suis accroupie. Il m a rejoins et il se caressait la queue.

 

Je les voyais à travers les buissons, ils sont passés tout prés de nous et il faisait semblant de pisser. Alors qu’ils étaient au niveau du bosquet, ils ont salué mon mari et lui s’est excusé mais on lui a répondu c’est la nature et oui a t il dit. Il a commencé à me pisser dessus, je ne pouvais pas fuir, je recevais son urine sur tout le corps, sur les cheveux et il a fini dans ma bouche ouverte.

 

Nous avons repris le chemin de la voiture. Là, dans l’état ou j’étais, il m a fait monter dans le coffre. Il a pris le Crick, m’a ramoné la chatte avec et il me l a mis dans le cul. Je suis rentrée ainsi dans le coffre, la bouche, le visage plein de foutre, le corps inondé de pisse, la chatte trempée de mouille et le Crick dans le cul.

Par Veronique - Publié dans : Vacances
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