Mercredi 13 juin 3 13 /06 /Juin 15:07

Voici la suite de l article homme soumis 1

 

Cela ne suffisant pas, elle a fait de même dans les réunions de famille et c est ainsi que mon père et mon frère l ont découverte. Vous comprendrez pourquoi nous sommes de plus en plus invité chez eux et combien ma douleur et ma souffrance se développe exponentiellement. Ils passent désormais régulièrement également à la maison seul. Elle a ainsi tout le loisir de s exhiber comme elle veut en mon absence et je les découvre lorsque je rentre. Elle leur montre tout bien évidemment légèrement habillée et toujours de façon exhibe mais indirect. Il arrive alors que je suis assis à côté de mon père ou de mon frère de la regarder comme l autre peu la voir et là de découvrir sa vulve rasée cisaillée d un string entre ses lèvres. Lorsqu il part, elle se met à se caresser et à me raconter le moment passé avec lui, de ce qu ils ont parlé et des positions qu elle a pris et elle me les rejoue devant moi. Elle adore les voir repartir avec une grosse bosse au pantalon. Tout en faisant cela, elle m ordonne de me branler pendant qu elle raconte ce moment et je dois lui jouir sur les seins.

 

Il y a quelques semaines, elle m a déclaré qu’elle avait besoin de bite et de sperme. Je lui ai répondu que j étais là. Elle a éclaté de rire et m a répondu " Non, pas d’une fiotte mais de mâles avec de grosses queues, de grosses couilles et du sperme en quantité. " Je ne pouvais pas l accepter, j en étais incapable, je souffrais déjà assez ainsi, cette idée était impossible à supporter pour moi. Elle m a alors annoncé qu elle accepté à repousser son plaisir à condition qu’elle puisse se faire tripoter par / et branler mon père et mon frère. Elle a tellement été sadique dans ses ordres et son utilisation de mon corps que j’ai accepté sous les pleures.

 

J étais dans le cellier, attaché pied poings, jambes , torses et bras sur une chaise complètement nu, des pinces et des poids aux tétons, un gros plug dans l anus et mes couilles liées, pendantes avec du poids. J avais un bâillon boule dans la bouche. Je voyais par l entrebâillement de la porte et celle du salon le canapé. La sonnette a retenti et j ai vu mon père entrer. Il était dans le canapé, elle s est mise dans un fauteuil voisin , je pouvais les voir tous les deux. Elle portait des haut talons, des bas fins, une guêpière en résille comme le string, un chemisier transparent et une minijupe. La minijupe si courte laissait voir lorsqu elle était assise, le haut de ses bas, la jartelle , sa peau nu jusqu au début de sa fesse alors lorsqu elle ouvrait les jambes vous imaginez. Son chemisier ne cachait rien on voyait clairement la guêpière et ses gros seins lourds débordaient et pendaient. Ils ont discuté tout en sirotant un, puis deux et trois verres. Elle s est rapprochée de lui sur le canapé. Il a commencé à la caresser doucement et ses mains se sont libérés pour aller visiter ses cuisses, son entrejambes, ses seins, ses fesses, sa chatte. Elle a déboutonné son pantalon et elle lui a baissé aux chevilles. Tantôt debout, tantôt dans le canapé , elle se faisait tripoter sans retenu ni tabou tout le corps tout en lui branlant son gros manche désormais raide. Elle a retiré son string et il le humait régulièrement tout en la doigtant. Elle l a fait jouir sur sa chatte et elle jouissait en même temps se frottant frénétiquement la chatte et le clito avec ce sperme abondant. Elle lui a essuyé sa queue sur sa raie. Il a fini son verre et il est parti la bisant comme ci de rien n était.

 

La porte fermée, j ai entendu ses talons sur le carrelage se rapprocher. Elle a ouvert la porte, je la découvre dans cette guêpière, elle est splendide, magnifique femme fatale. Ses gros seins lourds pendent magnifiquement et là oui il faut que je baisse les yeux , je découvre sa chatte rasée, trempée de sa mouille et inondée de foutre, l intérieur de ses cuisses sont souillées également. Je pleure depuis un petit moment. Je n en peux plus et elle déclare " regardez ce petit vicieux, il bande dur, cette fiotte, c est une honte après ce que tu obliges à faire à ta femme ", elle me tord le sexe, me le gifle, le frappe et le pince. Elle tire la chaise vers le sol, je suis attaché regardant le plafond. Elle me retire le bâillon et m enjambe. Elle s accroupie et m ordonne de lécher , de la nettoyer et de ne pas oublier la raie pendant ce temps elle me martyrise la queue. Je lèche et avale sa mouille, le sperme, je lui nettoie bien tout son entrejambe. Lorsque tout a été nettoyé, elle me remet le bâillon boule et redresse la chaise.

 

Elle revient avec un sac plastique de glaçon, elle entoure ma bite dedans et me redit " c est une honte que tu bandes après ce que tu m obliges à faire, sale fiotte " et elle me laisse là. Elle va remettre sa minijupe et son chemisier ainsi que son string. Quelques minutes plus tard la sonnette sonne de nouveau. Elle approche du cellier, ouvre la porte, me retire les glaçons, ma queue est toute pendante et petite. Elle me dit " c est mieux ainsi, là tu as ta queue de fiotte comme d habitude , ah oui , j ai oublié de te dire ton frère passe aussi maintenant " et elle laisse la porte légèrement entrebâiller. Elle s y est pris de la même façon et est arrivée à la même conclusion. Il lui a giclé par deux fois une sur la chatte et la seconde fois sur le cul quant à elle , elle avait jouie fortement les deux fois

 

Malgré ma honte, la douleur de l humiliation et de ma situation ainsi que des poids et du plug, je bandais. Elle était folle de rage de voir mon sexe ainsi. Elle m a giflé, me traitant de tous les noms, me rappelant que j étais qu une fiotte de merde. Elle a remis la chaise à terre comme précédemment, retirée le bâillon et m a enjambée et accroupie j ai du lécher et nettoyer sa chatte et son cul ainsi que sa raie inondée de mouille et de tout ce sperme. Elle me frappait les couilles et me martyrisait la bite pour que j arrête de bander. Enfin propre de la moindre goutte de mouille et de sperme, elle m a libéré de mes liens et de mes gadgets de souffrance. Ma queue douloureuse ne bandait plus.

Par Veronique - Publié dans : Homme soumis
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Commentaires

Voilà un témoignage qui rappelle bien des souvenirs au sous-mâle femellisé que je suis.

ondine
commentaire n° :1 posté par : ondine le: 13/06/2007 à 18h25

Encore mieux que le premier article !! Bravo A moi aussi cela rappelle  des choses ! Beaucoup ! que raconte mon blog  erog.centerblog.net    ... Quel dommage que vous ne publiiez plus depuis 2007 !

commentaire n° :2 posté par : erog. jip.pet le: 12/04/2012 à 14h26

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