Vendredi 22 juin 5 22 /06 /Juin 12:46

Ma voiture était au garage et ils m avaient prêté une camionnette durant les réparations. Je suis arrivée à la maison. Mon mari m attendait pardon mon maître. Cela faisait 2 semaines qu il ne m avait rien ordonné. Il m avait interdit de me caresser et d avoir des relations sexuelles avec qui que ce soit ou quoi que ce soit. Alors que lui continuait à baiser avec Babette et Claudie. Je reconnais que cela commençait à me manquer. Pas d être soumise quoi que mais juste de jouir. Lorsqu il m a vu dans cette camionnette, il a eu un sourire.

 

Il m a envoyé chez notre voisin, mon barbier attitré afin qu il me rase intégralement la chatte et il m a autorisé à le remercier comme de coutume. Je m y suis rendue et je me suis mise nue devant lui comme d habitude lui offrant mon string afin qu il puisse l humer. Puis je me suis allongée sur la table, jambes écartées. Il m a barbouillé le pubis de mousse et à commencer à raser. Tout en rasant, il me doigtait la chatte et le cul sans ménagement, s arrêtant de raser par moment pour sentir ma culotte de sale vieille grosse truie. Lorsque j ai eu la chatte intégralement lisse, je me suis agenouillée et j ai pris son sexe en bouche. Il bandait à moitié et je l entreprenais afin qu il bande dur et vienne me gicler au fond de la gorge comme il aimait. Lorsqu il a eu fini de jouir et que je lui rendait une bite bien propre, j ai remis ma jupe et mon chemisier, mon soutien gorge à la main et laissant là mon string que je récupérerai quelques jours plus tard souillé de sperme séché et que je porterai peut être ainsi si mon maître le souhaite.

 

De retour à la maison, mon maître avait prévu une tenue des plus légère. Cela tenait en une minijupe plissée et un chemisier noir transparent. Je l ai passé sans culotte ni Sg. Puis il m a déclaré que j étais vraiment mauvaise, il m avait testé ces deux semaines et je ne lui avais rien proposer en tant que bonne soumise, que je n étais même plus apte à porter le nom de truie, de vieille grosse truie. Je le décevais énormément. Je n avais qu un choix à faire pour le mériter comme maître et tout à prouver. Tout en souriant, il me dit " tu as une camionnette et une camionnette ça se fait bourrer à l arrière des 38T alors va y ".

 

J ai pris la clé de la camionnette et je me suis rendue sur le parking des camions. Evidemment alors que je les doublais les camionneurs pouvaient voir mes cuisses et ma chatte ainsi que mes mamelles lourdes et pendantes à travers le chemisier. J avais des appels de phares à chacun de mes dépassements. Si ils savaient que dans quelques minutes, si ils s arrêtaient au bon parking , ils pourraient profiter de la truie que j étais. Cela n a pas manqué, juste avant la sortie, l un m a fait des appels alors que je m étais mon clignotant pour sortir. Il m a suivi et il s est garé juste à côté de moi. Il est descendu rapidement et il est venue à la portière.

 

Il n en croyais ses yeux de ma tenue. Je ne lui cachais rien, il a demandé pour toucher et j ai accepté. Il m a peloté les mamelles , les cuisses et très vite la chatte. Je suis sortie pour qu il fasse cela plus aisément. J ai pris quelques poses pour lui et je suis allée à l arrière de la camionnette. Il a sorti sa queue et je l ai branlé pendant qu il me pelotait et me doigtait. Sa queue était raide, il a sorti ses couilles et il a demandé à ce que je le suce. Je me suis accroupie et je l ai sucé, j avais désormais le chemisier ouvert. Puis, il m a fait me pencher dans la camionnette et il m a prise en levrette mais mon cul le tentait et il a fini par m enculer. Il m a défoncé le cul et je l ai senti jouir puissamment et en grande quantité au fond de mon cul.

 

Lorsqu il m a ressorti de la camionnette , il y avait deux autres hommes avec la queue au garde à vous. Celui qui venait de m enculer, m a tiré les cheveux pour que je me penche et nettoie sa queue, les deux autres l un pénétrait la chatte alors que l autre visitait mon corps, mes cuisses, mes seins tout en se branlant. Lorsque j ai eu fini de nettoyer le premier et il est venu prendre sa place. Je me suis faite baisée ainsi, il y avait toujours un homme pour en remplacer un autre certains jouissant sur moi, sur mon visage, mes seins , mes fesses, mes cuisses s en m avoir pénétrer. Je me suis faite remplir ainsi et recouverte durant un long moment, je ne pouvais connaître le nombre qui m avait prise ou giclé dessus.

 

Je suis rentrée ainsi à la maison, souillée de sperme de la tête aux genoux et les trous pleins. Mon maître m a fait me mettre nue et il appréciait la truie qui se présentait à lui. Il m a fait passer une paire de bas qui s est immédiatement imbibé de tout le foutre que j avais sur les cuisses et une culotte qui comme les bas a été tout de suite inondée du foutre que j avais sur la chatte, les fesses, le pubis. Il m a ordonné de me branler à travers la culotte. J ai du lui raconter précisément tout ce que je venais de faire dans le détail alors qu il ramassait le sperme que j avais sur le corps et le visage évitant mes mamelles pendantes souillées et m amenait ses doigts gluants à lécher.

 

J ai jouie une première fois inondant de plus belle la culotte. Il m ordonna de continuer à me branler. Puis il me demanda si j avais joui avec ces hommes. J ai répondu que oui par deux fois. J en avais pas envie mais à la longue , ces queues qui me bourraient, je n ai pas pu me retenir c est mon corps qui lâchait. Il m a répondu que non, c était la truie que j étais qui avait pris son pied. Il m a obligé de le dire. J allais jouir une seconde fois, je me frottais le clito à travers la culotte et il m ordonna de dire ce que j étais. J haletais comme un animal, me frottant la chatte frénétiquement. Et j ai déclaré : " oui, je suis une vieille grosse truie qui aime le sperme, la queue, se faire baiser en groupe ". Là, j ai joui pour la seconde fois mais il m ordonna de continuer à me branler. Je n en pouvais plus, j étais dans un état second, mes jambes flageolaient.

 

Je me suis retrouvée à 4 pattes, jambes écartées, comme une chienne ou plutôt comme une truie en chaleur, haletant je continuais à me branler. Je n en pouvais plus, il a pris une cuillère en bois plate et il est venu s asseoir derrière moi. Il me claquait les fesses avec, les cuisses et la chatte et je devais continuer à déclarer combien j aimais ce que je venais de faire. J avais la chatte en feu et le clito prêt à exploser. J ai joui une troisième fois finissant en pleure, je n en pouvais plus mais il m a obligé à jouir une 4ème et une 5ème fois.

 

Il m a allongé sur le lit et il m a attaché. Je portais les bas et la culotte et j avais toujours les seins souillées désormais de traînées de sperme séché. Le lendemain, j ai n ai pas eu le droit de me laver hormis le visage et les aisselles. Je portais donc ces bas, cette culotte, une minijupe, un chemisier mais pas de SG pour mes mamelles souillés. Je sentais ma chatte et mon cul encore plein de tout se sperme. Avant de partir, il m a fait me branler devant lui, jupe retroussée jusqu a jouissance à travers la culotte. Je suis allée au travail ainsi.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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