Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 09:53

Cela faisait maintenant 2 mois que j avais cette relation téléphonique de Maître avec cette cochonne de belle sœur qui était me semble t il devenue une bonne salope. Malheureusement, nous habitions trop loin pour la voir régulièrement. Nous avions pris une semaine de congés pour retrouver ma belle famille dans l ancienne ferme familiale. Une fête pour l anniversaire du beau père était prévue, nous allions donc vivre en famille ses quelques jours hormis mon beau frère qui comme chacun le sait les employés de banques sont débordés. Son absence m arrangeait grandement dans mes projets avec ma belle sœur.

 

C est ma belle sœur, Anne, qui est venue nous chercher à la gare. Quel plaisir de la retrouver sur le quai de gare. Elle était superbe comme toujours mais cette fois dans une tenue. Je l avais laissé le choix pour cette fois. J avais juste demander une chose que je ne pouvais vérifier immédiatement. Elle portais des bottes, un collant, une minijupe ample et une petite veste. Après les accolades des sœurs, j ai eu le droit à la bise et j en ai profité pour glisser une main sous sa jupe. Quel bonheur de retrouver son bon gros cul.

 

Installé dans la voiture, je découvrais ses cuisses musclés gainées du collant, la jupe remontant lorsqu elle était assise offrait cette vue magnifique, certainement que de face on pouvait voir sa chatte. Nous roulions dans la campagne et je me suis mis de côté pour les voir toutes les deux. Ma femme à l arrière derrière sa sœur au volant m offrait ses jambes grandes écartées, sa chatte rasée et elle se masturbait comme je lui en avait ordonné l ordre dans le train. Je lui avait fait mettre un plug dans l anus dans le train et maintenant sa chatte était trempée de mouille, elle devait avoir jouie déjà mais elle continuerait jusqu à notre arrivée. Elle se pinçait les seins, jouait avec. Je tournais légèrement la tête et je découvrais sa sœur. Elle avait ouvert sa veste, ses seins pendaient à ma vue, nue et sa jupe était retroussée, sa chatte était visible désormais, les jambes écartées, je pouvais voir une auréole de mouille sur le collant ainsi elle avait bien exécuté mon souhait de se masturber et de jouir dans son collant le matin de notre arrivée. Elle se masturbait le clito. Je les regardais, ma vieille grosse truie à l arrière et sa sœur qui désormais je tenais en main sans qu aucune ne se doute de mon jeu.

 

Il faisait beau et chaud, j ai baissé la vitre, une odeur de mouille avait envahi la voiture. Nous sommes arrivés et nous avons retrouvé la famille mes beaux parents, la fille de Anne et Paul mon beauf frère nous rejoindrait que le lendemain soir pour la fête. Lors de l apéro , j ai pu apprécier les entrejambes de ma femme et de sa sœur à loisir, pour l une s était automatique en revanche j appréciai celui de ma belle sœur qui s offrait à ma vue ainsi. L’après midi, j ai accompagné Anne au magasin, cela été prévu. Sur la route de la zone commerciale, elle conduisait jupe retroussée, petite veste ouverte et se masturber tout en se caressant ses belles mamelles pendantes. L auréole sur son collant s était agrandi, je n avais rien dit ou demandé mais elle savait ce qu elle devait faire après ces semaines dirigés par téléphone. Elle a jouie devant moi tout en conduisant.

 

Nous sommes arrivés aux magasins. Nous avons commencé par les chemisiers préférant les translucides et les transparents soit naturellement soit par le fait des lumières ou du soleil. Puis nous avons choisi des jupe courtes, légère et des petites robes que j ai demandé à faire retoucher malgré les supplications de ma belle sœur. Alors que la couturière venait de marquer deux jupes et que j avais demandé de réduire sérieusement. Je sentais ma belle sœur honteuse, extrêmement gênée, humiliée, un délice. La dame s absenta pour aller rechercher des aiguilles et j en ai profitais pour dire à ma belle sœur qu en faite ce n était pas le manque d aiguilles mais l odeur de sa chatte si près de son nez qui l avait fait fuir. Elle était morte de honte la pauvre. La couturière est revenue et s est remise à marquer la réduction des robes et jupes. Je n intervenais même plus, elle avait compris et trouvait la taille seule. Elle me regarda et me dit avec celle là, je ne peux pas plus sinon on verra l entrejambes de Madame. Je ne crois pas ai je répondu, montrez moi. Elle s exécuta et on découvrit la chatte de Anne et cette grande auréole de mouille sur sa chatte et l intérieur des cuisses. La dame lui regardait sa chatte sans gêne, me l exhibant. Anne était pétrifiée. Oui en effet, faites au mieux dis je.

 

Nous sommes partis dans un autre magasin et là nous nous sommes occupés des dessous, bas, collant, PJ, string, sg et guêpière. Elle m a fait un défilé de tout cela et nous avons beaucoup acheté. Avant de rentrer, je lui ai offert deux paires de boules de geisha qu elle s est placé dans la chatte. Elle découvrait cela et j étais sur que deux paires aller rentrer. Sur le retour, elle avait sa jupe totalement retroussée et la veste bien ouverte. Elle s est branlé comme une damné, je ne l ai pas touché, elle en crevait d envie, cela se sentait mais je me retenais attendant le moment et l ignorant parfois. Le soir, nous avons regardé la TV en famille, j étais à la table avec elle, alors que les autres étaient dans les canapés. Nous étions derrière eux et elle a ouvert sa petite veste , écartées grands les jambes et elle s est branlée ainsi morte de trouille, je sentais sa chatte d ou j étais. Son collant était inondées.

Par Veronique - Publié dans : Le Maître et sa belle soeur
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