Avant de devenir la salope soumise que je suis désormais, j ai toujours eu un secret concernant mon plaisir du crade. Depuis toujours, j aime les chiottes publiques abandonnés sales et odorant des bois, aire de stationnement, des vieilles stations services ou même des parkings au bord de route ou les gens se sont avancés un peu dans la forêt pour se vider.

L excitation monte immédiatement en moi lorsque je sens cette odeur et que je découvre ces excréments et cette pisse, les urinoirs bouchés et les chiottes, turc ou pas, souillés. Je sais que je n en sortirai qu après mettre masturbé et avoir joui très fort. Je visite les chiottes, jupe retroussée, me masturbant à travers ma culotte et choisissant le plus sale. Je m accroupie alors et tout en continuant à me masturber je pisse a travers ma culotte ou parfois je l écarte.

J ai divers plaisir dans ces toilettes et je les vis de façon différentes selon mes envies, le lieu et la saison.

Lorsqu il fait très chaud, j aime y aller, l odeur est si forte à la limite des hauts de cœurs. Je me déshabille complètement et c est nue que je traîne dans ce chiotte abandonné allant de l un à l autre tout en me branlant. J ai la peur au ventre d être dans cette tenue mais l excitation est si forte. Je pisse et défèque tout en me branlant et je jouie toujours très fort. Puis je me rhabille et rentre à la maison. Il m arrive parfois lorsque je trouve un urinoir bouché qui dégueule de pisse de retirer ma culotte pour la tremper dedans puis la remettre. Très excitée parfois c est ma culotte et mon SG qui plonge dedans avant de les remettre.

Il arrive également que j y aille avec dans mon sac un collant et un maillot de bain une pièce très serrant. Je les plonge dans les urinoirs plein de pisse des autres puis je les passe, le collant d abord puis le maillot. Je suis trempée, je passe un manteau et je vais me promener ainsi au alentours. Je passe une main dans la poche décousue pour me masturber tout en me promenant. Je m arrête parfois pour lâcher ma vessie , sentir le collant et le maillot s imprégner, me couler le long des jambes et repartir. Il arrive également que je m arête pour pousser et je défèque dans le collant et maillot. Je sens alors mes étrons glisser le long de ma raie et faire un pâté. Je retourne alors dans les chiottes pour me finir et jouir puis je me déshabille , je nettoie comme je peux le collant et me rhabille sagement pour rentrer.

C est lors d une de ces séances que j ai rencontré ce black. Je revenais de ma promenade en collant et maillot de bain trempée de pisse des urinoirs et que j avais abondé de la mienne tout ça sous mon manteau et en me branlant. J étais dans le chiotte, j avais retiré le manteau et je me caressais tout le corps trempé tout en me masturbant le clito à travers cette tenue. J étais prête à jouir quand j ai senti un jet sur mes fesses. Je me suis retournée et j ai découvert une queue de black qui pisser à travers le trou dans le mur. Son jet atteignait désormais mon bas ventre , ma main et ma chatte. J ai joui comme jamais et j ai aussitôt eu la peur de ma vie.

Je ne me suis pas changée cette fois , j ai remis mon manteau et je suis sortie à toute vitesse fonçant vers le parking. Arrivée à ma voiture, il m avait rattrapé. Il m a déclaré qu il m avait vu tremper mes affaires dans les urinoirs puis il m avait suivi discrètement et qu il avait remarqué que suite à mes arrêts, il y avait des petites flaques d urine. Il s excusa de son comportement dans les chiottes mais il n avait pas pu se retenir et il semblait que j avais apprécié. J étais transis de peur. Je ne savais pas quoi répondre. Il finit par me dire qu il était voyeur et que côté uro il aimait donner. Il m a donner sa carte pour que je le rappelle au cas ou. Je l ai prise et je suis partie. J ai mis du temps à retourner à mes petits jeux mais l envie est si forte que j ai recommencé. A chaque fin de séance, je ne pouvais penser à autre chose qu a sa queue lorsqu il m avait pissé dessus et je jouissais mais moins fort que cette fois là.

Quelques mois s était passé lorsque j ai retrouvé sa carte dans mon sac à main. Je ne sais pas ce qui m a pris mais je l ai appelé. Nous avons discuté, il regrettait de ne plus me voir, il insistait sur son côté juste voyeur et donneur. J ai fini par lui donner rdv. Nous nous sommes retrouvés là bas, j ai fait comme a mon habitude lui était dans l autre toilette désormais puis nous sommes allés nous promener et à chacun de mes arrêts j écartais le manteau pour qu il me voit pisser dans mon collant et maillot. Puis retour aux chiottes chacun de son côté, je me masturbais, je voyais sa queue et lorsqu il démarra à pisser, j ai présenté mes fesses et lorsque je me suis retournée il m inondait abondamment la chatte et je jouissais vite et extrêmement fort. Nous nous retrouvions régulièrement pour nos petites séances toujours à ma demande.

Nous étions très complices dans ma déviance. Nous passions parfois longtemps au téléphone à discuter de tout et de rien et d imaginer des scénarii sur ses fantasmes de voyeur et les miens de pisseuse et de receveuse. Nous avons donc fait évoluer notre relation. Toute la journée , j avais été anxieuse et excitée de le retrouver après le travail. Je portais des bottes, un collant, une culotte, un sg, un chemisier et une jupe. Je m étais surprise à penser à lui ou du moins au scénario que nous avions prévu et plusieurs fois je m étais caresser la chatte sous la jupe au bureau.

Il était l heure. J étais très excitée et j avais peur à la fois. Je sentais que ma culotte était mouillée de mouille. J ai fermé ma porte de bureau, j ai retiré ma jupe et mon chemisier. J ai mis mon imperméable et je l ai rejoins. Je lui avais donné rdv au dernier sous sol d un parking dans les escaliers peu utilisé par les chauffeurs mais ou il puait la pisse. Il était là. J ai retiré mon imper et je suis apparue en bottes, collant, culotte et sg. J ai commencé à me caresser debout devant lui me tournant et je pissais. Lorsque j ai eu fini de pisser, il a commencé sa contribution sur mes fesses, je me tournais pour recevoir partout sur ma chatte, mon bas ventre et mes cuisses. J ai joui très fort encore une fois. Nous avons été d accord que la prochaine fois mes seins seraient inondés également. Il avait une très grosse vessie et il m inondait abondamment.

Nous nous étions encore une fois mis d accord sur un scénario. C est ainsi que j ai pris dans un seau de pisse que j avais récupéré d un urinoir, un collant et un sg qui y baignaient depuis la veille. Je les ai passé avec une paire de bottes mais sans culotte et mon imper. C était la première fois que je portais un collant sans culotte. J étais gênée et excitée mais surtout trempée. En marchant, le tissu du collant me frottait le clito et ma mouille commençait à tacher le collant. Je l ai rejoins en ville dans cette tenue mortifiée de peur et d excitation. Nous avons pris le métro. A un moment, il était derrière moi. J ai senti un jet sur mes fesses, il avait écarté l imper et il me pissait sur les fesses doucement. J avais la main dans la poche me caressant pendant ce temps. Cela me coulait sur le cul, dans la raie, vers ma chatte et le long de mes jambes. Une marre se formait entre mes jambes. Il s est arrêté. Quelques minutes plus tard, nous avons repris le métro dans l autre sens et là, j ai écarté l imper pour qu il pisse sur ma chatte, mon ventre et mes cuisses. Nous sommes revenus à la surface et nous sommes allés derrière une église au coin des plus nauséabond. J ai ouvert mon imper et j ai commencé à me masturber, j étais très excitée, je pissais devant lui, il a sorti sa queue mais il n a pu me donner que les quelques derniers jet. Il s était totalement vidé dans le métro sur moi et je ne lui en voulait pas mon excitation était à son comble. Il se caressait néanmoins et il a vite bandait, c était la première fois que je le voyais bander et se branler. J ai laissé faire. Je commençais à jouir lorsque j ai vu ses longs jets de sperme sortir de sa queue et venir s abattre sur mon collant au niveau de mes doigts et de ma chatte . J ai fini de me branler avec son sperme à travers le collant et j ai jouie comme une folle.