grandeplantureuse

Mardi 16 janvier 2 16 /01 /Jan 15:46

Je rentrais du travail enfin de ma permanence. J’avais du porter la même tenue que la veille. Lorsque je suis arrivée dans la maison, Claudie était là dans le salon. Elle portais un magnifique ensemble bas, guêpière et string noir en dentelle et résille. Elle était là se dandinant et déambulant devant mon mari pardon devant mon Maître. On se bisa et nous nous sommes souhaités une bonne année. Elle précisa de nombreuses et grosses queues pour mes trous et beaucoup de foutre pour moi et d’amour et de sexe pour elle avec mon mari. Elle adorait me rappeler que désormais elle était régulièrement présente avec mon mari alors que moi je vivais avec mon maître et cela pour le plus grand plaisir de mon maître.

Ils avaient largement entamé la bouteille de champagne. Je me suis assise devant eux et j’ai pris la position que mon maître attendait désormais de moi. Claudie semblait très excitée, il est vrai que nous ne l ‘avions pas vu depuis 15 jours et le champagne devait aider.

 Il y avait une coupe deux coupes vides dont une utilisée et la troisième au deux tiers pleine. Elle l a prise, elle a écarté son string et a lâché un jet pour la remplir au grand plaisir de mon maître. Puis elle me l’a tendu et je l ai prise alors qu’elle remplissait les deux autres coupes et qu’elle en donnait une à mon maître. Mon maître a proposé un toast : " A 2007, à ma vieille grosse truie qu’on ne désespère pas de voir devenir une bonne vieille grosse truie et à ma délicieuse Claudie qui sait ce que j’aime et qui m’enivre de bonheur et de plaisirs ". C’est ainsi que nous avons bu cette coupe.

Mon string visible de tous me rentrait dans la chatte et me la cisaillait ainsi que ma raie. Ils ont commencé à discuter de ma chatte et de tout ce poil qui débordait étant donné que notre voisin était en déplacement. Mon maître attendait avec impatience que notre voisin rentre pour me faire raser intégralement comme il aimait. Quoi qu’également, il appréciait aussi tout ce poil débordant des culottes trouvant la vue de cela vulgaire et obscène comme une vieille grosse truie devait se montrer.

Quant à Claudie mon mari lui avait taillé un petit triangle sur le pubis, il lui permettait cela mais elle devait chaque jour se raser autour afin d’être toujours aussi lisse. Chose qu’elle faisait quotidiennement. Il y avait également une condition à cette permission, elle devait le faire au travail dans son bureau, porte ouverte, pour les week ends c’était dans sa véranda et lorsqu’elle partait c’était dans la nature. Elle avait accepté et elle respectait son engagement.

La discussion continuait sur l’état de ma chatte et de son foisonnement. C’est Claudie qui proposa cette solution à mon maître en attendant le retour du voisin. Mon maître était d’accord et c’est ainsi que j’ai du m installer et qu’elle a commencé à me raser. Elle a passé quelques coups de rasoir et je me suis retrouvée avec une chatte multiservice. Ainsi j’avais un petit triangle, une bande lisse de chaque côtés pour mon maître et du poil aux extrémités qui dépasserait des strings ou culottes. J’avais vraiment honte de ma chatte, oui elle est vulgaire et obscène ainsi mais je devais rester ainsi.

J’ai remis ma culotte, le poil débordé largement. Ils ont commencé à baiser et je m approchais régulièrement pour qu’ils me caressent à travers mon string tantôt pour sentir mon petit triangle tantôt à pleine main pour sentir la résille du string et le poil débordant et parfois offrant les bandent lisses. Ils ont jouie comme des fous et je les ai nettoyé ensuite.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mardi 16 janvier 2 16 /01 /Jan 11:00

Nous étions le 2 janvier et je devais aller au travail. Je m’étais dévoué au niveau de mon service pour faire la permanence téléphonique durant deux jours. Durant ses deux semaines, l’entreprise était pratiquement fermé juste une personne par service pour faire la permanence.

 

Je suis donc arrivé au travail, il n’y avait que le gardien. Je portais un petit imper, il faisait si doux. Mon mari, pardon mon maître avait comme chaque jour décidé de ma tenue. Je portais donc des bottes, des bas, un string tout petit, une minijupe plissée si courte que j en étais honteuse et une petite veste. Vu que c’était pour faire la permanence, je n’avais pas eu le droit au SG.

 

Lorsque je me suis assise, la mini est remonté laissant clairement le haut des débats à la vue ainsi que le string qui me cisaillait la chatte et m’écartelait la raie. J’avais la chatte velue, du poil débordait de toute part. Notre voisin étant parti pour les fêtes faire le tour de France de ses enfants, il ne me l’avait pas rasé depuis quelques semaines.

 

C’est donc dans cette tenue que j’ai passé ma première journée de permanence. Je haïssais cet hiver si doux qui permettait à mon maître de m’habiller ainsi.

 

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mercredi 20 décembre 3 20 /12 /Déc 11:39

C’était au début de mes changements. Je revenais du travail. Je me suis approchée de mon Maître et il m’a passé une main entre les jambes. Il me posa la question : " alors cette journée de truie débutante ? " Il attendait que je lui raconte mais je n’avais rien à lui dire. Evidemment il pouvait voir combien j avais mouillé mon string en ayant eu deux paires de boules de geisha dans la chatte toute la journée et je ne m étais pas essuyé après avoir fait pipi mais aucune queue ne m avait pénétré et je n en avais pas branlé non plus. Il était fort déçu. Je le décevais. Il a retiré les boules de geisha de ma chatte et me les a mise en bouche.

Il m’a juste dit " c’est peut être tes tenues imposées pas assez sexy ou toi pas assez ouverte aux autres ou les deux ". Va passer ce qui est dans le carton sur la table. J’y suis allée, il y avait la une sorte de guêpière ouverte devant en latex, un string également en latex le tout d’un rouge vif, des haut talons rouges également et une paire de bas. J ai passé le tout, la guêpière se fermait par devant avec trois petites lanières à serrer. J étais compresser dans ce carcan ainsi que dans le string.

 

Il m a demandé de déambuler devant lui et j ai pris des poses pour voir ce que cela donnait.

 

Pour l une des rare fois, il me demanda ce que j en pensait, j’ai répondu " ça, ça, ça fait vieille pute non ? "

Il acquiesça de la tête et dit " oui , en effet, je te confirme, ça fait vraiment vieille grosse pute ". " Passe t on manteau m’ordonna t il ! " J’ai obéis et j ai du marcher devant lui manteau ouvert.

Puis il m a dit comme tu ne progresses pas en tant que truie et je ne parle même de l’objectif de devenir une bonne vieille grosse truie, tu es peut être faites pour être une vieille grosse pute. Et il m ordonna de monter dans la voiture.

 

Il conduisait et j avais le manteau ouvert laissant apparaître mon corps dans cet ensemble en latex rouge sang. Il m a emmené dans le quartier des putes et il roulait doucement. Je voyais toutes ces putes bien plus belle que moi sur le trottoir. C’est là que tu veux être m a t il dit, je lui ai supplié que non, j obéirai et je progresserai. Bien a t il répondu, j aime te l entendre dire mais je veux que tu le fasses désormais, oui ai je répondu.

 

Sur la route du retour, il m a annoncé qu’a cause de moi, il se retrouvait obligé de me punir et je répondais que je comprenais. Il a pris la sortie d’une plate-forme de logistique immense. Le flot des camions n’arrêtait dans la nuit. Il s’est arrêté sur un parking ou des dizaines et des dizaines de camion étaient stationnés. Il m ‘a déclaré voici ta punition, tu vas aller proposer tes services aux camionneurs, ils ne paieront pas , c est pour essayer, t’essayer, tu en suceras trois, et trois te prendront la chatte , trois autres t’enculeront et tu en trouveras un dernier à branler sur ta poitrine et ta gueule. Sors de la vieille grosse pute et dépêches toi sinon je te laisse là.

 

C’est ainsi que je suis sortie dans cette tenue, manteau ouvert et que j’ai abordé la première cabine effrayée et terrorisée. Deux heures et demi plus tard , j étais de retour à la voiture, j’avais accompli ma punition dans sa totalité. Je revenais les trous rempli de foutre, les seins hors de la guêpière depuis la première cabine et le visage souillé de sperme. Arrivé à la maison, il m a allongé sur le ventre sur le lit, je n avais retiré que mon manteau. Il m a écarté le string pour vérifier combien j étais remplie et dilatée du cul. Il a commencé à me claquer le cul alors que je lui racontais ce qu e ja avais fait cabine après cabine, les unes après les autres sous ses claques je me dandinait en serrer les fesses et ma chatte et j ai jouie très fort alors qu il se vidait abondamment sur mon visage et ma bouche ouverte. J ai du dormir ainsi.

 

Les trois jours suivants en rentrant du travail, j ai du passer cette tenue et il m a envoyé sur ce parking. Je m y rendais seule et je proposais mes services aux camionneurs si ce n est que le nombre dont je devais m occuper augmentait chaque jour alors que le temps allouée restait identique.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mardi 19 décembre 2 19 /12 /Déc 11:14

Suite au service que j’avais rendu à Claudie (lire service à Claudie), mon Maître avait apprécié cette période que j’avais passé avec ces jeunes. Il trouvait que cela faisait très pute qu’une femme comme moi de 45 ans branle, suce, se fasse peloter, baiser et enculer par des jeunes novices. Cela l’excitait qu’une truie comme moi s’offre à ces jeunes corps d’apollon et à l’âme si pur du moins avant d’être passé sur moi. Il ne manquait pas de me rappeler que je pouvais être leur mère voire une grand mère et que la saloperie ce n’était pas eu mais moi.

 

C’est ainsi qu’il en a invité à la maison. Alors que mon Maître était absent ou caché dans une pièce adjacente, je les recevais dans le plus simple accoutrement, nue entièrement ou alors juste avec une paire de bas. J’étais si honteuse d’ouvrir la porte à ses inconnus dans cette tenue. Puis, je posais devant eux, exhibant mon corps de truie et leur demandant ce qu’il souhaitait.

 

Il me pelotait alors que je les déshabillais. Il me palpait, visitait mon corps comme de la marchandise. Enfin nu, je découvrais leur queue raide, si dur déjà, il était jeune et vigoureux. Pour l un, je m agenouillais et je le suçais à fond, il se vidait au fond de ma gorge me tenant la tête, m étouffant de sa queue et me noyant de foutre.

 

Pour un autre, je le pompais et je le faisais jouir sur mon visage et mes seins restant ainsi lorsqu’il était parti.

 

Un autre voulait que je le suce avant de venir m enfourcher sa queue dans la chatte et le chevaucher pendant qu’il jouait avec mes seins.

 

Pour le dernier, il aimait me prendre à 4 pattes juste passer sa queue dans ma chatte pas encore mouillée mais assez pour qu’il m encule.

 

C’est ainsi que je recevais les jeunes invités de mon maître et que je leur vidais les couilles. Ils avaient mon adresse et n’attendais plus d’être invité pour passer à la maison de même que je les rencontrais parfois en ville et que je ne pouvais rien leur refuser. Je me suis retrouvée à sucer, à me faire peloter, à me gicler dessus, baiser et parfois enculer dans des lieux des plus sordides et à la va vite. Cela pour le plus grand plaisir de mon Maître.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:06

C’est au travail que j’ai reçu le message. Je suis donc allée retirer mon SG et ma culotte dans les toilettes, j’étais désormais cul nu aucun dessous sous mes vêtements. J’étais affreusement gênée d’être ainsi au boulot. Je sentais l’air sur ma chatte et mes mamelles pendantes ballottées à chacun de mes pas cela était clairement visible lorsque je marchais mais également assise si grosse et pendante.

 

Je suis allée déjeuner, j’étais honteuse pour mes seins et j’avais l’impression que tout le monde savais que je n avais pas de culotte alors que je faisais très attention. Je sentais que ma chatte s’était humidifiée d’être ainsi.

 

En fin de journée, je n’avais toujours pas réaliser l’ordre. Il fallait que je me décide. Je portais des bas, une jupe, un chemisier et bien évidemment plus de dessous. Je suis allée dans le bureau du stagiaire, il n en avait plus pour longtemps chez nous. Quitte à faire une connerie autant la faire la plus courte possible. Il travaillait sur un dossier et il m’a dit que je tombais bien, il avait besoin de mes conseils.

 

L’occasion était trop belle. Je me suis penchée sur son bureau en face de lui et l’échancrure de mon chemisier s’est ouvert. Il pouvait regarder et voir mes grosses mamelles nues pendre et bouger alors que je discutais du dossier. Puis afin de mieux connaître le dossier, je lui ai pris et je me suis assise en face de lui. Tout en lisant le dossier, j’ai commencé à écarter les jambes. Il pouvait clairement voir mes cuisses gainées des bas, la dentelle et ma chatte nue. Je parlais avec lui mais je ne le regardais.

 

Lorsque j’ai eu fini, je lui ai rendu le dossier. J’ai vu sa grosse bosse sur son pantalon. Le pauvre bandait comme un taureau la dessous. J’ai fixé cette bosse et je lui ai demandé si je pouvais encore faire quelque chose pour lui. Il m’a répondu " si j’osais " et je lui a dit " mais osez " et il a regardé vers sa queue.

Je me suis levée et je suis allée fermer sa porte. " Montrez moi ce dossier " ai je dit. Il s’est levé et a dégrafé son pantalon. J’ai découvert sa belle grosse bite. Je l’ai prise en main et j’ai commencé à le branler. Il a souhaité me toucher mais j’ai refusé. Il m a demandé de voir au moins. J’ai ouvert mon chemisier , il découvrait mes grosses mamelles nues pendantes et j’ai du remonter ma jupe pour qu’il voit ma chatte et mes fesses. Je lui ai passé une main sous ses couilles toutes dures et j’ai senti qu’il allait partir. J’ai reçu ses longues giclées de foutre sur ma chatte, ma jupe. Je lui ai essuyé son gland sur ma fesse et ma main pleine de sperme sur l autre fesse.

J’ai quitté les lieux et je suis rentrée chez moi. J’avais la chatte inondée de son foutre qui me coulait le long des cuisses et sur ma raie en voiture.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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