grandeplantureuse

Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 09:54

 

Ils me déposent chez moi. Ils connaissent mon adresse désormais, mon prénom, mon téléphone et ce que je suis. Mon maître m attend, il est ravi de me voir arriver dans cette état. A sa demande, je retire la minijupe et je me présente à lui , recouverte de foutre. Il est assis, je suis debout à ses côtés, je lui montre combien ma chatte et mon cul sont inondés de mouille et de sperme. J ai les jambes écartées, je me branle le clito à sa demande et je commence à raconter mon périple du retour. Il joue avec un god tantôt dans ma chatte tantôt dans mon cul et me le ramène souillée de foutre à la bouche pour que je nettoie. Il l essuie par moment dans un string propre que je porterai plus tard.

 

Je dois prendre mon temps pour raconter les faits et être précises. Je suis proche de jouir et je lui annonce. Il me fait arrêter. Il me mets une pince à chaque téton et des poids. J ai les jambes bien écartées, il prend la cuillère en bois plate et commence à frapper mon clito, sous les coups j explose dans la jouissance. A peine jouie, je dois reprendre le branlage de mon clito et la suite de mon histoire alors qu il reprend le god et continue son jeu. Je vais de nouveau jouir, il me remets des poids, j ai les mains sur les fesses tenant enfoncé le god dans mon cul pendant qu il frappe ma chatte avec la cuillère. Je jouie, je pleure, j ai les jambes qui tremblent. Il me remet des poids au seins. Mes grosses mamelles sont tirées vers le bas au maximum, cela fait mal. Il reprends le god et continue le manège mes trous ma bouche ou dans le string. Je me branle de nouveau tout en continuant à raconter.

 

Je n en peux plus. Je vais encore jouir. Il me remet des poids, c est douloureux. Je tiens le god dans cul. J ai envie de pisser, il m ordonne de faire là alors qu il a repris les claquements sur ma chatte avec la cuillère. Je pisse debout, je sens mon urine tomber, éclabousser mes pieds, mes chevilles, mes mollets, me couler le long des cuisses. Je jouie, je crie, je vacille, je tombe à 4 pattes, je pleure. Il m installe des pinces aux lèvres et au clito et y ajoute des poids.

 

Il s assoit et me tire les cheveux. Il a sorti sa queue, elle est molle mais je vois qu elle suinte . Il a du bander plusieurs fois et être très excité mais il sais également se contrôler et il a déjà débandé pour me la présenter. J ouvre grand la bouche comme il me l ordonne. Il présente son gland sur ma langue et le pose alors que je reste bouche ouverte. Il me déclare " je vais devoir te nettoyer avant de t utiliser " et je hoche un peu la tête en signe d accord.

 

C est alors qu il me lâche un jet d urine que j avale puis un second. Il me met un pince nez, je ne peux plus respirer que par la bouche entre ses jets que j avale. Mais il pisse désormais sans cesse, il me tient la tête et je me noie dans sa pisse, j avale ce que je peux, je respire comme je peux mais cela déborde. Il a enfin fini de pisser et je commence à le pomper toujours avec le pince nez. J entoure bien de ma bouche sa queue et je respire comme je peux. Il me prends la tête en main et maintenant il me baise la bouche à fond. Ouiiii, il finit par jouir et j avale tout comme une bête en rute.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 15:27

La grande plantureuse que je suis, la grosse vieille truie que je suis devenue, la femme soumise qu il a fait de moi avec mon accord, se retrouvait en pleine campagne ne portant qu une minijupe très courte avec des bretelles. Mon mari pardon mon maître venait de m abandonner dans cette tenue au beau milieu des champs. Nous étions à 5 km de la maison mais je ne pouvais pas rentrer chez moi que par les petits chemins. Il fallait à certains moments passer par la route et donc se retrouver avec des voitures en tous sens et forcément des humains avec des yeux. J avais le ventre nouée, je serrais mes avant bras devant moi afin d essayer de cacher mes grosses mamelles pendantes.

 

Je marchais lentement réfléchissant aux petits chemins les plus discrets pour rentrer chez moi. Puis j ai accéléré le pas, relâchant mes bras et j avais maintenant mes gros seins pendants qui ballottaient à chaque pas. Il faisait beau mais parfois une petite brise fraîche venait me faire durcir les tétons. Je sentais ma mouille souillée l intérieur de mes cuisses. Mon maître m avait fait me caresser à la limite de la jouissance en m emmenant jusqu ici en voiture.

 

Il est arrivé par derrière , je ne l ai pas entendu s approcher, il était en VTT. C était un jeune homme. Lorsqu il m a vu dans cette tenue, il s est arrêté et m a demandé si tout allait bien. J ai sursauté, j ai mis une main devant mes seins mais elle ne cachait pas grand chose et une devant ma chatte mais là j avais encore la minijupe qui cachait ma chatte. J avais tellement l impression d être complètement nue dans cette tenue que le vieux réflexe instinctif s était produit. Je suis devenue toute rouge, je ne savais pas quoi répondre. Il a réitéré sa phrase et j ai répondu " que oui que non ". J ai menti, j ai inventé que je venais de me faire dépouiller de ma voiture et de mes vêtements, voilà la raison de ma tenue particulière. Il m a proposé de l aide, j ai accepté et il a fait demi tour pour aller chercher sa voiture.

 

Des solutions qui s offraient à moi, celle ci était la moins pire. Après tout, qu une personne seulement me voit ainsi c était bien mieux que tous ces gens que j allais devoir croiser sur les chemins et sur la route inévitablement. J ai vu cette voiture arrivée, j étais heureuse le cauchemar aller se finir bientôt. Ce jeune était au volant, il s arrêta près de moi. Mais il n était pas seul, trois autres jeunes l accompagnaient. L un d eux est sorti et m a invité à m asseoir au milieu à l arrière. Evidemment pendant que je m installais ils ont eu tout le loisir de découvrir mes mamelles pendantes et ma chatte. Mon sauveur me déclara qu il les avait emmené pour me protéger et j ai du les remercier. Lui dans son rétro et les trois autres dirigés vers moi, ils me découvraient le corps, ma chatte clairement visible, intégralement rasé et brillante de mouille.

 

Puis mon sauveur a commencé à discuter avec moi. J avais déjà menti pour le vol de la voiture alors que mon maître se faisait un devoir que je dises la vérité toujours, à toutes les questions et qui que ce soit qui me la pose. Il commença :

Lui : Ils sont dingues, ils vous ont même piqué vos vêtements !

Moi : Oui enfin non

Lui : comment ça ? On le voit très bien que l on vous a volé votre tee shirt, votre soutien gorge et votre culotte, Madame !

Moi : en fait non , je ne portais pas tout cela

Lui : Vous étiez dans cette tenue lorsque ça vous ai arrivé ?

Moi : (rouge de honte devant ces jeunes hommes qui me déshabille des yeux façon de parler puisque je le suis alors disons que je sens leurs yeux me toucher sur tout le corps) oui

Lui : Fiiiii, vous êtes exhibitionniste ?

Moi : (morte de honte cette fois) oui

Lui : vous le faites souvent ? On peut regarder clairement alors ?

Moi : non, cela arrive parfois. Oui vous pouvez regarder sans vous gênez.

 

Nous arrivons près d un petit bois, il engage la voiture sur un chemin de traverse et il s arrête. Il se retourne et pose la question fatidique.

Lui : On peut toucher.

Moi : Oui

 

J ai les jambes écartées à l arrière au milieu d eux. Il plonge immédiatement sa main vers ma chatte, la caresse, me branle le clito et commence à me doigter. Alors que les trois autres se sont rués vers mes seins pendants et mes cuisses. Mon sauveur me demande d avancer au bord du siège et de remonter la minijupe. Je n ai plus qu un minuscule morceau de tissu autour de la taille et les bretelles. Il me caresse la chatte , la raie, les autres viennent le rejoindre et mes fesses et mon cul passe au pelotage.

 

Ils ont désormais sorti leurs queues et les deux de derrière m ont amené la main sur leur queue ? J ai une bite vigoureuse dans chaque main, je les branle pendant qu on me caresse, me pelote , me doigte, me branle le clito. Je jouie devant eux comme une folle, me trémoussant comme une chienne qui en redemande. Il continue sur tout mon corps.

 

Le passager avant ne tient plus, il gicle de longue traînées de sperme qui vient s écraser sur mes seins et ma chatte. Ils me font sortir de la voiture, je me penche pour sucer l un des deux de l arrière présentant mon cul aux autres. Ma chatte est vite prise. Mais mon sauveur veut goûter à mon cul et je ne lui refuse pas. Il m encule, il adore ça, c est si bon déclare t il et si rare. Il me gicle dans la bouche et j avale son sperme pendant qu on m encule. Le deuxième de l arrière prends sa place dans ma bouche. Des mains sur tout le corps, une queue en bouche et une grosse bite qui me laboure le cul, je jouie une nouvelle fois.

 

Ils ont tous joui soit sur moi , soit dans ma bouche soit dans mon cul. Mais ils n en ont pas fini avec moi avant de me ramener chez moi. Nous allons sur une table en bois de pique nique. Ils m allongent jambes remontées et écartées. Ma chatte et mon cul sont ainsi bien offert, je me retrouve avec une bite dans chaque main et la dernière en bouche. C est reparti, je branle, on me baise les trous passant de l un à l autre et me bourrant la gorge. Je jouie de nouveau, ils se vident en moi , sur moi. Ils ont les couilles vides et la queue enfin molle. Nous repartons.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 12:46
Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 12:45

Je sentais fort cet après midi, des effluves de mouille et de sperme me remontait de ma minijupe. J avais si honte, j avais évité tout rapport avec mes collègues. Il était temps de rentrer, je reprenais donc la route avec cette camionnette. On pouvait voir mes bas et ma culotte facilement lorsque j étais assise au volant. La pauvre culotte était dans un état lamentable, ma chatte et mon cul toujours plein de ce foutre de la veille.

 

Mon maître m attendait, j ai retiré le chemisier, la minijupe et la culotte. Je n avais plus que mes bas souillés, ma chatte était des plus odorantes. Mon maître m a mis un collier de chienne. J ai demandé pour faire pipi mais cela m a été interdit. Il a attaché la laisse à l arrière de la camionnette, j étais désormais à 4 pattes et il a pris le volant. Je ne voyais pas la route, c étais des plus instable ainsi derrière. Je suis même tombée une fois pratiquement à m en étrangler.

 

Puis il a ralenti, la route était des plus mauvaises. Il s est enfin arrêté. Il est sorti, j attendais morte de peur, qu avait il encore inventé ? Puis, j ai entendu les portes de derrière s ouvrir. Des hommes parlaient mais je ne connaissais pas leur langue. Un premier est monté et j ai senti sa queue sur mes fesses. Cela ne devait pas être évidemment pour lui car il devait être pencher pour jouet avec sa queue sur mes fesses mais très vite, il a trouvé mon cul et j ai senti sa queue me perforer l anus.

 

Il me prenait comme une bête alors qu un second est monté et il est venu fourrer sa bite dans ma bouche. Je ne pouvais pas bouger, ils m utilisaient comme ils le souhaitaient. Ils ont joui et ils ont été remplacés par d autres mon cul, ma chatte encore plein de la veille se faisaient de nouveau remplir. Mon odeur semblait plus les exciter que les répugner. Ils me tenait la tête et ils me défonçait la bouche jusqu a la gorge.

 

4 hommes venaient de me passer dessus lorsque je me suis prise une queue énorme dans le cul. Enorme et très longue, je gueulais tout en suçant, je ne pouvais plus tenir, j ai pissé mais cela ne les a pas arrêté. Un grande flaque de pisse entre les jambes, les cuisses pleines de traînées de pisse et de mouille ainsi que de sperme, les genoux dans l urine, ils continuaient à se remplacer et à me baiser.

 

Ils ont été une 10aine à me baiser ainsi. Mon maître m avait vu jouir malgré moi. Nous sommes repartie à la maison.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Vendredi 22 juin 5 22 /06 /Juin 12:46

Ma voiture était au garage et ils m avaient prêté une camionnette durant les réparations. Je suis arrivée à la maison. Mon mari m attendait pardon mon maître. Cela faisait 2 semaines qu il ne m avait rien ordonné. Il m avait interdit de me caresser et d avoir des relations sexuelles avec qui que ce soit ou quoi que ce soit. Alors que lui continuait à baiser avec Babette et Claudie. Je reconnais que cela commençait à me manquer. Pas d être soumise quoi que mais juste de jouir. Lorsqu il m a vu dans cette camionnette, il a eu un sourire.

 

Il m a envoyé chez notre voisin, mon barbier attitré afin qu il me rase intégralement la chatte et il m a autorisé à le remercier comme de coutume. Je m y suis rendue et je me suis mise nue devant lui comme d habitude lui offrant mon string afin qu il puisse l humer. Puis je me suis allongée sur la table, jambes écartées. Il m a barbouillé le pubis de mousse et à commencer à raser. Tout en rasant, il me doigtait la chatte et le cul sans ménagement, s arrêtant de raser par moment pour sentir ma culotte de sale vieille grosse truie. Lorsque j ai eu la chatte intégralement lisse, je me suis agenouillée et j ai pris son sexe en bouche. Il bandait à moitié et je l entreprenais afin qu il bande dur et vienne me gicler au fond de la gorge comme il aimait. Lorsqu il a eu fini de jouir et que je lui rendait une bite bien propre, j ai remis ma jupe et mon chemisier, mon soutien gorge à la main et laissant là mon string que je récupérerai quelques jours plus tard souillé de sperme séché et que je porterai peut être ainsi si mon maître le souhaite.

 

De retour à la maison, mon maître avait prévu une tenue des plus légère. Cela tenait en une minijupe plissée et un chemisier noir transparent. Je l ai passé sans culotte ni Sg. Puis il m a déclaré que j étais vraiment mauvaise, il m avait testé ces deux semaines et je ne lui avais rien proposer en tant que bonne soumise, que je n étais même plus apte à porter le nom de truie, de vieille grosse truie. Je le décevais énormément. Je n avais qu un choix à faire pour le mériter comme maître et tout à prouver. Tout en souriant, il me dit " tu as une camionnette et une camionnette ça se fait bourrer à l arrière des 38T alors va y ".

 

J ai pris la clé de la camionnette et je me suis rendue sur le parking des camions. Evidemment alors que je les doublais les camionneurs pouvaient voir mes cuisses et ma chatte ainsi que mes mamelles lourdes et pendantes à travers le chemisier. J avais des appels de phares à chacun de mes dépassements. Si ils savaient que dans quelques minutes, si ils s arrêtaient au bon parking , ils pourraient profiter de la truie que j étais. Cela n a pas manqué, juste avant la sortie, l un m a fait des appels alors que je m étais mon clignotant pour sortir. Il m a suivi et il s est garé juste à côté de moi. Il est descendu rapidement et il est venue à la portière.

 

Il n en croyais ses yeux de ma tenue. Je ne lui cachais rien, il a demandé pour toucher et j ai accepté. Il m a peloté les mamelles , les cuisses et très vite la chatte. Je suis sortie pour qu il fasse cela plus aisément. J ai pris quelques poses pour lui et je suis allée à l arrière de la camionnette. Il a sorti sa queue et je l ai branlé pendant qu il me pelotait et me doigtait. Sa queue était raide, il a sorti ses couilles et il a demandé à ce que je le suce. Je me suis accroupie et je l ai sucé, j avais désormais le chemisier ouvert. Puis, il m a fait me pencher dans la camionnette et il m a prise en levrette mais mon cul le tentait et il a fini par m enculer. Il m a défoncé le cul et je l ai senti jouir puissamment et en grande quantité au fond de mon cul.

 

Lorsqu il m a ressorti de la camionnette , il y avait deux autres hommes avec la queue au garde à vous. Celui qui venait de m enculer, m a tiré les cheveux pour que je me penche et nettoie sa queue, les deux autres l un pénétrait la chatte alors que l autre visitait mon corps, mes cuisses, mes seins tout en se branlant. Lorsque j ai eu fini de nettoyer le premier et il est venu prendre sa place. Je me suis faite baisée ainsi, il y avait toujours un homme pour en remplacer un autre certains jouissant sur moi, sur mon visage, mes seins , mes fesses, mes cuisses s en m avoir pénétrer. Je me suis faite remplir ainsi et recouverte durant un long moment, je ne pouvais connaître le nombre qui m avait prise ou giclé dessus.

 

Je suis rentrée ainsi à la maison, souillée de sperme de la tête aux genoux et les trous pleins. Mon maître m a fait me mettre nue et il appréciait la truie qui se présentait à lui. Il m a fait passer une paire de bas qui s est immédiatement imbibé de tout le foutre que j avais sur les cuisses et une culotte qui comme les bas a été tout de suite inondée du foutre que j avais sur la chatte, les fesses, le pubis. Il m a ordonné de me branler à travers la culotte. J ai du lui raconter précisément tout ce que je venais de faire dans le détail alors qu il ramassait le sperme que j avais sur le corps et le visage évitant mes mamelles pendantes souillées et m amenait ses doigts gluants à lécher.

 

J ai jouie une première fois inondant de plus belle la culotte. Il m ordonna de continuer à me branler. Puis il me demanda si j avais joui avec ces hommes. J ai répondu que oui par deux fois. J en avais pas envie mais à la longue , ces queues qui me bourraient, je n ai pas pu me retenir c est mon corps qui lâchait. Il m a répondu que non, c était la truie que j étais qui avait pris son pied. Il m a obligé de le dire. J allais jouir une seconde fois, je me frottais le clito à travers la culotte et il m ordonna de dire ce que j étais. J haletais comme un animal, me frottant la chatte frénétiquement. Et j ai déclaré : " oui, je suis une vieille grosse truie qui aime le sperme, la queue, se faire baiser en groupe ". Là, j ai joui pour la seconde fois mais il m ordonna de continuer à me branler. Je n en pouvais plus, j étais dans un état second, mes jambes flageolaient.

 

Je me suis retrouvée à 4 pattes, jambes écartées, comme une chienne ou plutôt comme une truie en chaleur, haletant je continuais à me branler. Je n en pouvais plus, il a pris une cuillère en bois plate et il est venu s asseoir derrière moi. Il me claquait les fesses avec, les cuisses et la chatte et je devais continuer à déclarer combien j aimais ce que je venais de faire. J avais la chatte en feu et le clito prêt à exploser. J ai joui une troisième fois finissant en pleure, je n en pouvais plus mais il m a obligé à jouir une 4ème et une 5ème fois.

 

Il m a allongé sur le lit et il m a attaché. Je portais les bas et la culotte et j avais toujours les seins souillées désormais de traînées de sperme séché. Le lendemain, j ai n ai pas eu le droit de me laver hormis le visage et les aisselles. Je portais donc ces bas, cette culotte, une minijupe, un chemisier mais pas de SG pour mes mamelles souillés. Je sentais ma chatte et mon cul encore plein de tout se sperme. Avant de partir, il m a fait me branler devant lui, jupe retroussée jusqu a jouissance à travers la culotte. Je suis allée au travail ainsi.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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