Sm

Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:10

Nous étions en congés ce lundi là. Comme tous les jours n’ont travaillé, je ne portais pas de Sg ni de culotte cela m’était interdit. Il m’avait emmené avec lui dans cette grande surface dédiée aux sports et aux loisirs. Je portais un collant avec une minijupe des plus courte, des bottes, un chemisier et une petite veste. Il n’y avait pas grand monde que ce soit en client ou en vendeur. Le lundi à cette heure cela devait être normal. Nous nous sommes rendu dans le rayon équitation et là mon maître regardait et appréciait les différentes cravaches. J’en était honteuse d’être avec lui alors que je savais que c’était pour moi et non pour un cheval qu il cherchait une cravache.

 

Il en a pris une et la tordait, la faisait aller dans l’air. Il me tapota mon gros cul avec et la fit glisser entre mes jambes me tapota la chatte. J’étais affreusement gênée. Une vendeuse passa au bout de l’allée alors que j’étais dans cette position, elle m a vu avec la cravache entre les jambes mais elle continua son chemin. Il m’a fait mettre à 4 pattes, j avais la minijupe remontée sur mes grosses fesses et il me cravacha quelques coups. J’ai bondi et me suis remise debout lorsque j’ai vu de nouveau la vendeuse me regarder. Cette fois, elle avait tourné dans l’allée et s’approchait de nous. Elle devait avoir entre 20 et 25 ans.

 

Elle regarda mon Maître et lui dit simplement " puis je vous conseiller ? " et lui de répondre " oui volontiers ". Mon visage était écarlate.

Puis elle continua " c’est pour elle si j’ai bien compris "

lui " oui en effet "

elle " c’est un premier achat "

lui " oui "

elle me regardant à peine " vous l’avez depuis longtemps "

lui " en mariage oui mais en soumise depuis quelques mois seulement "

elle " elle progresse bien "

lui " lentement "

elle " la cravache va l’aider, je n en doute pas "

 

et là elle partit dans des explications : cravache standard à claquette plus ou moins large, la largeur faisant du bruit mais moins mal, tige plus ou moins flexible, taille de la tige, la cravache de dressage longue, fine et étroite faisant bien plus mal… Elle lui demanda comment étaient mes seins et il me demanda d’ouvrir ma veste. " Oui je vois assez lourd " dit elle et lui " oui lourds et pendants de vrai mamelles ". Elle a choisi deux cravaches et dit je vous conseille celles – ci. Il les a pris et elle nous accompagnait dans les allées vers les caisses.

 

Elle déclara à mon Maître " vous débutez dans le Sm ? " " oui répondit il ".

Elle : " je suis moi même une maîtresse "

Lui " ah "

Elle " si vous souhaitez que nous lui donnions une leçon ensemble et je vous montrerai comment utiliser les cravaches "

Lui " oui volontiers "

Elle " Tenez voici mon adresse, disons ce soir à 19h "

Lui " oui comment dois je l’amener "

Elle " juste un gros collier de chienne et une laisse, c’est tout " " vous avez ça ? "

Lui " oui, oui et bien à ce soir et merci "

Par Veronique - Publié dans : Sm
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:08

En cet fin d’après midi, je rentrais chez moi du travail contente que nous soyons vendredi et en week-end. A la maison, il y avait mon mari pardon mon Maître, notre voisin qui me rasait la chatte chaque dimanche matin et deux inconnus, deux hommes. J’ai très vite compris qu’ils étaient là pour moi. J’ai dû me déshabiller entièrement. J’apparaissais intégralement nue devant ces hommes, plantureuse, mes mamelles lourdes et pendantes, mon gros cul ainsi que ma chatte velue dû à l’absence de notre voisin plusieurs week-end.

 

L’un des hommes me donna un string, ce string afin que je le passe et m’exhibe devant eux. Il me rentrait dans la chatte, entre les lèvres et dans la raie profondément il me faisait un peu mal. Mon poil dépassait de chaque côté. La décision a été prise de me raser, je comprenais la présence de notre voisin dans cette rencontre avec ces inconnus. Ainsi il s’était mis d’accord sur un scénario avec mon Maître. Mon maître et notre voisin voulait me raser intégralement mais les deux hommes préféraient un petit triangle de poil sur mon pubis avec le clito bien dégagé. Je pensais que le choix de mon Maître allait prévaloir mais c’est lui qui accepta de revenir sur son envie et laissa l’honneur de la décision aux invités.

 

C’est ainsi que notre voisin m’a rasé la chatte me laissant un triangle de poil sur le pubis le clito bien dégagé comme souhaité par les deux hommes. Puis, j’ai du remettre le string et la tenue choisi par eux alors que notre voisin nous quittait. Là, j’ai servi à boire et j’ai dû prendre une multitude de pose devant eux et me déshabiller restant qu’en string. Ils avaient sorti leur queue et j’ai commencé à en sucer un. J’avais la bouche grande ouverte lorsqu’il m’a lâché ses longs jets de sperme au fond de la gorge. Mon Maître avait sorti sa queue, il bandait dur du spectacle et il se caressait doucement alors que je prenais la seconde queue en bouche. J’entendais le premier discuter avec mon Maître alors que je pompais le second.

 

Je venais d’avaler tout le foutre du second et je m’essuyais la bouche d’un revers de

main lorsque j’ai tourné la tête et découvert mon Maître. Il était à genoux, le pantalon baissé, ses poignets menottés dans le dos à ses chevilles, une boule à lanière le bâillonnée et il bandait dur sa queue était raide et droite. Le premier m’a attrapé et il m’a dit que les règles avaient changé. Ils n’allaient pas se contenter de mes exhibes et d’une pipe mais qu’ils allaient me baiser tant que mon mari banderait.

 

Ils ont commencé à me peloter, me palper, me claquer les fesses, la chatte, les seins et ils écartèrent le string pour me prendre les trous. Ils m’ont baisé ainsi longuement sans ménagement mon Maître ne débandait pas et lorsqu’ils souhaitaient récupérer ils me travaillaient les trous avec des gods de différentes tailles, ils me martyrisaient le corps et lorsqu’ils rebandaient ils me reprenaient les trous et me baisaient sauvagement me bourrant et me remplissant de leur foutre.

 

Tout à coup, on a vu mon maître jouir sa queue bandante lâchée de longues giclées de foutre dans l’air qui venait s’écraser sur le carrelage. Puis il débanda enfin, enfin j’étais sauvée et les deux se sont calmés. Ils m’ont obligé d’aller lécher à 4 pattes le foutre sur le carrelage, je passais de grand coup de langue dessus pour faire disparaître le sperme puis ils m ont obligé à nettoyer le gland poisseux de mon Maître. Aussitôt que je l’ai eu dans la bouche, il a rebandait et j’ai retourner me faire baiser par eux et les gods. C’est eux qui ont abandonné, ils m ont amené à la queue de mon Maître, j’ai du le branler tout en lui comprimant très fort les couilles, j’obéissais aux ordres des deux hommes et il m a joui sur le visage.

 

Ils nous ont laissé ainsi et ils sont partis. Cela avait duré plus de 3h. J’ai retiré le bâillon, j’ai découvert des larmes sur les joues de mon Maître. Je n’ai rien dit. J’ai libéré ses poignets et ses chevilles et j’ai commencé à lui caresser les couilles que je venais de lui écraser fortement. Je les ai lécher et prise en bouche pour les gober doucement. Il a commencé à pisser sur mes seins, sur mon ventre m inondant le string, je sentais son urine sur ma chatte et couler le long de ma raie. Il est venu se finir dans ma bouche la remplissant à raz bord et me mettant de nouveau ses couilles en bouche. J ai avalé et j ai repris les caresses de ma langue sur cette paire de couille en bouche alors qu’avec une cravache, il me frappait la chatte, la raie, les fesses et les cuisses. Plus j’étais douce avec ces couilles et plus il frappait fort. Il se vengeait sur moi, se vidait de la haine qu’il avait pour eux.

Par Veronique - Publié dans : Sm
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:05

Je suis rentrée à la maison mais le travail n’était pas fini. Comme convenu, je me suis déshabillée et j’ai passé des bas noirs, une guêpière, un chemisier et une minijupe. Mes seins sortaient de la guêpière, ils pendaient lourdement et je n’ai pas mis de culotte. J’ai repris la voiture mon petit manteau court et ouvert, il ne fallait pas grand chose pour que l’on puisse voir mon entrejambes assise au volant et on pouvait voir la dentelle des bas. Lorsque je suis arrivée à destination, j’ai garé la voiture et je suis sortie. Je sentais l’air frais sur ma chatte et mes fesses et mes grosses mamelles ballottées à chacun de mes pas.

Je suis entrée dans ce bar et je me suis installée dans un coin. J’avais la peur au ventre et honte de ma tenue. Extrêmement gênée, j’ai commandé un verre. Il y avait un client un peu plus loin, il me regardait et moi je cherchais à voir loin, à regarder les gens dans la rue. J’avais les jambes croisées, ma minijupe laissée découvrir ma cuisse gainée du bas et la dentelle était visible.

Je sirotais mon verre. Avec le jeu des lumières on apercevait mes seins lourds et pendants sous le chemisier, il devenait translucide sous certaines lumières et ambiances et je le savais. Cela me gênait encore plus. Puis, j ai décroisé les jambes sans tirer sur ma minijupe. J’avais désormais mes deux cuisses découvertes jusqu’à la dentelle. Il fallait que j’y arrive, j’ai commencé à jouer avec mes jambes et à les écarter. Je les refermais régulièrement et les ouvrais de nouveau.

L’homme s’est approché, " vous attendez quelqu’un ? " " Non " " Je peux vous accompagner alors " " oui ", qu’elle conne je faisais je n’avais pas réfléchi à mes réponses et il était installé. Il nous a recommandé un verre. J’avais le visage en feu, horriblement gênée et une peur au ventre monstre. J’avais serré les jambes et les fesses aussi, j’étais complètement contractée.

Nous avons commencé à discuter de tout et de rien. Ces yeux quittaient souvent mon visage pour aller voir mes seins et mes jambes. Son regard était de plus en plus perçant. " Décontractez vous, imaginez que je sois encore assis là bas " m’a t il. J’ai pris sur moi et j’ai de nouveau écarté les jambes. Il pouvait désormais voir clairement ma chatte. Puis ses invitations étaient de plus en plus précises et claires et je répondait par la négative. Il me complimentait ouvertement sur mes seins et ma chatte désormais et il voulait les caresser et donner à boire à ma chatte voire mes fesses si j’étais une gourmande. Je ne tenais plus, je me suis levée et j’ai quitté le bar. Je marchais rapidement dans la rue, il n’avait pas pu me suivre , obligé de régler l’addition. J’arrivais à la voiture et je me penchais pour mettre la clé dans la serrure lorsque j’ai senti une main sous ma jupe directement sur mon cul, un doigt sur ma chatte. La porte était ouverte, je me suis retournée c’était lui. Je l’ai repoussé et j’ai grimpé dans la voiture. Il me regardait, il léchait son doigt. J’ai démarré et j’ai pris la fuite, je conduisais et je ne m’étais pas rendu compte que ma minijupe était remonté que je roulais la chatte à l’air les jartelles et les bas clairement visibles. Je suis rentrée chez moi. J avais la chatte inondée de mouille.

Par Veronique - Publié dans : Sm
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:04

Je suis désolée mais je n’ai pas eu le courage de me connecter hier soir. Vous avez reçu mon premier rapport. C’est ainsi que j’ai passé le reste de la matinée et une grande partie de l’après midi, le cul rempli de foutre et pluggé tout comme ma chatte rempli e également de foutre. Je ne savais pas comment trouver les autres ou je n en avait pas le courage. Je suis allée néanmoins à l’entrepôt et j ai réussi à me faire enculer une seconde fois. Lorsque je suis rentrée chez moi, mon mari m’a demandé que je lui raconte ma journée. J’étais debout au prés de lui lui assis à visiter mon entrejambes et à jouer avec le plug dans mon cul. Il m a juste dit qu il faudrait que j’assume vis à vis de vous et je me suis mise à ses genoux pour le sucer. Puis à 4 pattes, je lui ai présenté mes trous pour que je m empale dessus et souille sa queue et je revenais régulièrement lui nettoyer ainsi que ces couilles. Il a fini par me jouir sur le visage.

Par Veronique - Publié dans : Sm
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:02

Bonjour Maître,

 

Hier, suite à notre entretien, je suis allée retrouver mon Maître, pardon, mon mari. Je pleurnichais encore tellement mes seins me faisaient atrocement mal. Mes larmes avait abîmé mon maquillage et des traînées de rimmels avait coulé sur mes joues. Il m a demandé ce qui c’était passé et je lui ai raconté notre conversation ainsi que la punition que vous m’aviez infligé. Il m’a caressé les seins mais je ne pouvais le supporter même ses effleurements me faisaient hurler.

Il m’a dit " tu comprends pourquoi il faut obéir " et j’ai répondu " oui ". Puis il ajouta " il a eu raison de te punir ainsi " et j’ai de nouveau répondu " oui ". Il a exigé une cravate de notaire et j ai placé sa queue entre mes seins et je l ai fait jouir ainsi entre mes seins meurtris tout en pleurant de serrer mes mamelles sur sa queue. Il m a joui dessus et je n ai pas pu essuyer tellement j avais mal.

 

Ce matin, mes seins sont toujours douloureux et ont gardé quelques marques des coups de règles que vous m’avez infligé. Mais ça va mieux néanmoins. Mon maître, pardon, mon mari m’a préparé ma tenue du jour. C’est ainsi que je porte des talons aiguilles, une jupe courte avec des bas et un chemisier sans culotte ni SG comme vous le souhaitez. Le frottement du chemisier directement sur mes seins me martyrise et j en ai les larmes aux yeux. Mes mamelles lourdes et pendantes ainsi que mes tétons sont irrités à l’extrême. En plus de la tenue, je me suis placée un plug dans l’anus comme vous me l’avez ordonné.

 

A chaque pas, le plug me travaille l’anus et aussitôt que je m’assoies c’est un véritable empalement que je vis. Je suis arrivée au boulot ainsi. Comme chaque matin, je suis allée saluer mon chef. Il a pris l’habitude de me passer une main sous la jupe pour me palper, me peloter et découvrir mes dessous. Car mon " Maître habituel " accepte par décence que je porte des dessous pour aller travailler. Mais aujourd’hui pour la seconde journée , je n en porte pas.

 

" Tu as la chatte déjà humide vieille salope " m’a t il dit et il a découvert le plug " et en plus le cul pluggé, t’es vraiment qu’une grosse pute ". Il a tiré sur le chemisier, les pressions ont lâché et mes seins pendants sont apparu. " c’est quoi ça " a t il dit et j’ai répondu " une punition " " magnifique "  a t il répondu. Puis, il m a allongé sur le bureau et il m a prise la chatte. Il m a bourré comme un damné et je l’ai senti se vider en moi au plus profond. Je me suis redressée et je l ai sucé pour le nettoyer. Il n’était pas encore 9h.

 

Mais mon quota imposé de 5 queues différentes dans la journée est loin d’être atteint. De plus, mon Maître, pardon, mon mari ne peut rentrer dans ce quota. Mon chef était le coup le plus simple. Je suis allée voir un collègue très intéressé par le sexe. Assise devant lui, j’ai commencé à écarter les jambes afin qu’il découvre mes cuisses gainées des bas ainsi que ma chatte nue luisante. Nous avons discuté et il a accepté de m’enculer. Il a découvert mon gros cul pluggé et il a adoré. Il me l a retiré et j ai du prendre le plug en bouche pendant qu’il m’enculait. Il a pris tout son temps et ne m’a pas ménagé la rondelle le salaud. Il m’a défoncé le cul et il m a regardé replacer le plug dans mon cul plein de son foutre. Je l’ai sucé pour le nettoyer et le remercier. 10h14, j’avais déjà subi les assauts de 2 queues mais où trouver les trois autres ?

Par Veronique - Publié dans : Sm
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