Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 12:48

Maintenant que ma vieille grosse truie le sait, je peux partager avec les lecteurs du blog de ma grosse vieille truie, cette histoire avec ma belle sœur.

 

Depuis toujours, j ai eu un faible pour ma belle sœur et son physique. Mais lorsque je suis arrivé dans la famille, elle était déjà prise et de 5 plus âgée que ma future femme. Nous nous sommes toujours bien entendu et restait chacun à sa place dans son couple. Mais étant devenu depuis 5 ans un maître avec sa vieille grosse truie de soeur, je l a regardé désormais avec envie. Dernièrement, lors d une réunion de famille, je lui avais mis plusieurs fois la main aux fesses et caressait sans qu elle ne dise mot. Elle portait des bottes et évidemment je lui ai dit " elle avait des bottes, elle avait des bottes mais pas de … " ce à quoi elle m a répondu " oui bien sur ".

 

Nous prenions l apéritif et j étais subjugué par elle. Elle avait croisé les jambes et sa jupe découvrait haut sa cuisse, un délice. Puis elle décroisa et là j ai découvert que sous son collant en effet elle ne portait pas de culotte. Je ne savais pas si elle se rendait compte du spectacle qu elle m offrait mais j avais du mal à regarder ailleurs, tout cela dans le brouhaha des conversations. A la fin du repas, nous étions seul, la famille dispersée dans la maison, j étais assis, je la regardais, je ne sais plus ce que j ai dit mais elle m a répondu il faut t en remettre et elle a pris mon bras, l a soulevé et je me suis retrouvé avec la main sous sa jupe sur sa vulve. Elle était brûlante. Elle m a relâché le bras et elle est allée rejoindre les autres. C est ainsi que cela c est fini. Nous sommes repartis le lendemain chez nous.

 

Durant plusieurs jours, je ne pensais plus qu’à elle et ce que j avais vu et senti. J ai commencé à lui téléphoner régulièrement au travail en cachette de ma truie tout comme elle de son mari. Au début pour prendre des nouvelles gentiment, discuter de tout de rien puis de ses tenues, de ses plaisirs , de nos plaisirs entre nous. Je n avais en tête que la vision de notre dernière rencontre et je l imaginais à chaque appel ainsi. Elle m avoua que ce que j avais vu était exceptionnel, elle ne savait pas non plu pourquoi elle avait fait cela avec moi.

 

Habitant loin l un de l autre, je me suis calmé et j ai espacé puis arrêté les appels. C est elle qui a repris les appels me disant que nos discussions lui manquaient. J avais repris tous mes esprits et je ne pouvais pas faire cela avec elle, ma belle sœur pas en famille. Mais j ai craqué lorsqu elle m a annoncé qu elle portait la même tenue que lors de notre dernière rencontre. Je me suis lâché et j ai exigé que désormais elle porterait le plus souvent des bottes et en achèterait de nouvelles paires, évidemment qui porte des bottes n a pas de culottes, d être le plus souvent en jupe mi cuisses au plus long, de ne plus s essuyer la chatte de toute la journée, de sortir ses seins du SG lorsqu elle me téléphonerait et qu elle se branlerait à chaque fois jusqu a la jouissance. Elle a tout accepté sans rechigner. Dés cet appel, alors qu elle était au travail, elle a sorti ses seins du SG sous son chemisier et elle s est branlée, un délice à entendre et à l imaginer.

Par Veronique - Publié dans : Le Maître et sa belle soeur
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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 12:46
Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mardi 26 juin 2 26 /06 /Juin 12:45

Je sentais fort cet après midi, des effluves de mouille et de sperme me remontait de ma minijupe. J avais si honte, j avais évité tout rapport avec mes collègues. Il était temps de rentrer, je reprenais donc la route avec cette camionnette. On pouvait voir mes bas et ma culotte facilement lorsque j étais assise au volant. La pauvre culotte était dans un état lamentable, ma chatte et mon cul toujours plein de ce foutre de la veille.

 

Mon maître m attendait, j ai retiré le chemisier, la minijupe et la culotte. Je n avais plus que mes bas souillés, ma chatte était des plus odorantes. Mon maître m a mis un collier de chienne. J ai demandé pour faire pipi mais cela m a été interdit. Il a attaché la laisse à l arrière de la camionnette, j étais désormais à 4 pattes et il a pris le volant. Je ne voyais pas la route, c étais des plus instable ainsi derrière. Je suis même tombée une fois pratiquement à m en étrangler.

 

Puis il a ralenti, la route était des plus mauvaises. Il s est enfin arrêté. Il est sorti, j attendais morte de peur, qu avait il encore inventé ? Puis, j ai entendu les portes de derrière s ouvrir. Des hommes parlaient mais je ne connaissais pas leur langue. Un premier est monté et j ai senti sa queue sur mes fesses. Cela ne devait pas être évidemment pour lui car il devait être pencher pour jouet avec sa queue sur mes fesses mais très vite, il a trouvé mon cul et j ai senti sa queue me perforer l anus.

 

Il me prenait comme une bête alors qu un second est monté et il est venu fourrer sa bite dans ma bouche. Je ne pouvais pas bouger, ils m utilisaient comme ils le souhaitaient. Ils ont joui et ils ont été remplacés par d autres mon cul, ma chatte encore plein de la veille se faisaient de nouveau remplir. Mon odeur semblait plus les exciter que les répugner. Ils me tenait la tête et ils me défonçait la bouche jusqu a la gorge.

 

4 hommes venaient de me passer dessus lorsque je me suis prise une queue énorme dans le cul. Enorme et très longue, je gueulais tout en suçant, je ne pouvais plus tenir, j ai pissé mais cela ne les a pas arrêté. Un grande flaque de pisse entre les jambes, les cuisses pleines de traînées de pisse et de mouille ainsi que de sperme, les genoux dans l urine, ils continuaient à se remplacer et à me baiser.

 

Ils ont été une 10aine à me baiser ainsi. Mon maître m avait vu jouir malgré moi. Nous sommes repartie à la maison.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Vendredi 22 juin 5 22 /06 /Juin 12:46

Ma voiture était au garage et ils m avaient prêté une camionnette durant les réparations. Je suis arrivée à la maison. Mon mari m attendait pardon mon maître. Cela faisait 2 semaines qu il ne m avait rien ordonné. Il m avait interdit de me caresser et d avoir des relations sexuelles avec qui que ce soit ou quoi que ce soit. Alors que lui continuait à baiser avec Babette et Claudie. Je reconnais que cela commençait à me manquer. Pas d être soumise quoi que mais juste de jouir. Lorsqu il m a vu dans cette camionnette, il a eu un sourire.

 

Il m a envoyé chez notre voisin, mon barbier attitré afin qu il me rase intégralement la chatte et il m a autorisé à le remercier comme de coutume. Je m y suis rendue et je me suis mise nue devant lui comme d habitude lui offrant mon string afin qu il puisse l humer. Puis je me suis allongée sur la table, jambes écartées. Il m a barbouillé le pubis de mousse et à commencer à raser. Tout en rasant, il me doigtait la chatte et le cul sans ménagement, s arrêtant de raser par moment pour sentir ma culotte de sale vieille grosse truie. Lorsque j ai eu la chatte intégralement lisse, je me suis agenouillée et j ai pris son sexe en bouche. Il bandait à moitié et je l entreprenais afin qu il bande dur et vienne me gicler au fond de la gorge comme il aimait. Lorsqu il a eu fini de jouir et que je lui rendait une bite bien propre, j ai remis ma jupe et mon chemisier, mon soutien gorge à la main et laissant là mon string que je récupérerai quelques jours plus tard souillé de sperme séché et que je porterai peut être ainsi si mon maître le souhaite.

 

De retour à la maison, mon maître avait prévu une tenue des plus légère. Cela tenait en une minijupe plissée et un chemisier noir transparent. Je l ai passé sans culotte ni Sg. Puis il m a déclaré que j étais vraiment mauvaise, il m avait testé ces deux semaines et je ne lui avais rien proposer en tant que bonne soumise, que je n étais même plus apte à porter le nom de truie, de vieille grosse truie. Je le décevais énormément. Je n avais qu un choix à faire pour le mériter comme maître et tout à prouver. Tout en souriant, il me dit " tu as une camionnette et une camionnette ça se fait bourrer à l arrière des 38T alors va y ".

 

J ai pris la clé de la camionnette et je me suis rendue sur le parking des camions. Evidemment alors que je les doublais les camionneurs pouvaient voir mes cuisses et ma chatte ainsi que mes mamelles lourdes et pendantes à travers le chemisier. J avais des appels de phares à chacun de mes dépassements. Si ils savaient que dans quelques minutes, si ils s arrêtaient au bon parking , ils pourraient profiter de la truie que j étais. Cela n a pas manqué, juste avant la sortie, l un m a fait des appels alors que je m étais mon clignotant pour sortir. Il m a suivi et il s est garé juste à côté de moi. Il est descendu rapidement et il est venue à la portière.

 

Il n en croyais ses yeux de ma tenue. Je ne lui cachais rien, il a demandé pour toucher et j ai accepté. Il m a peloté les mamelles , les cuisses et très vite la chatte. Je suis sortie pour qu il fasse cela plus aisément. J ai pris quelques poses pour lui et je suis allée à l arrière de la camionnette. Il a sorti sa queue et je l ai branlé pendant qu il me pelotait et me doigtait. Sa queue était raide, il a sorti ses couilles et il a demandé à ce que je le suce. Je me suis accroupie et je l ai sucé, j avais désormais le chemisier ouvert. Puis, il m a fait me pencher dans la camionnette et il m a prise en levrette mais mon cul le tentait et il a fini par m enculer. Il m a défoncé le cul et je l ai senti jouir puissamment et en grande quantité au fond de mon cul.

 

Lorsqu il m a ressorti de la camionnette , il y avait deux autres hommes avec la queue au garde à vous. Celui qui venait de m enculer, m a tiré les cheveux pour que je me penche et nettoie sa queue, les deux autres l un pénétrait la chatte alors que l autre visitait mon corps, mes cuisses, mes seins tout en se branlant. Lorsque j ai eu fini de nettoyer le premier et il est venu prendre sa place. Je me suis faite baisée ainsi, il y avait toujours un homme pour en remplacer un autre certains jouissant sur moi, sur mon visage, mes seins , mes fesses, mes cuisses s en m avoir pénétrer. Je me suis faite remplir ainsi et recouverte durant un long moment, je ne pouvais connaître le nombre qui m avait prise ou giclé dessus.

 

Je suis rentrée ainsi à la maison, souillée de sperme de la tête aux genoux et les trous pleins. Mon maître m a fait me mettre nue et il appréciait la truie qui se présentait à lui. Il m a fait passer une paire de bas qui s est immédiatement imbibé de tout le foutre que j avais sur les cuisses et une culotte qui comme les bas a été tout de suite inondée du foutre que j avais sur la chatte, les fesses, le pubis. Il m a ordonné de me branler à travers la culotte. J ai du lui raconter précisément tout ce que je venais de faire dans le détail alors qu il ramassait le sperme que j avais sur le corps et le visage évitant mes mamelles pendantes souillées et m amenait ses doigts gluants à lécher.

 

J ai jouie une première fois inondant de plus belle la culotte. Il m ordonna de continuer à me branler. Puis il me demanda si j avais joui avec ces hommes. J ai répondu que oui par deux fois. J en avais pas envie mais à la longue , ces queues qui me bourraient, je n ai pas pu me retenir c est mon corps qui lâchait. Il m a répondu que non, c était la truie que j étais qui avait pris son pied. Il m a obligé de le dire. J allais jouir une seconde fois, je me frottais le clito à travers la culotte et il m ordonna de dire ce que j étais. J haletais comme un animal, me frottant la chatte frénétiquement. Et j ai déclaré : " oui, je suis une vieille grosse truie qui aime le sperme, la queue, se faire baiser en groupe ". Là, j ai joui pour la seconde fois mais il m ordonna de continuer à me branler. Je n en pouvais plus, j étais dans un état second, mes jambes flageolaient.

 

Je me suis retrouvée à 4 pattes, jambes écartées, comme une chienne ou plutôt comme une truie en chaleur, haletant je continuais à me branler. Je n en pouvais plus, il a pris une cuillère en bois plate et il est venu s asseoir derrière moi. Il me claquait les fesses avec, les cuisses et la chatte et je devais continuer à déclarer combien j aimais ce que je venais de faire. J avais la chatte en feu et le clito prêt à exploser. J ai joui une troisième fois finissant en pleure, je n en pouvais plus mais il m a obligé à jouir une 4ème et une 5ème fois.

 

Il m a allongé sur le lit et il m a attaché. Je portais les bas et la culotte et j avais toujours les seins souillées désormais de traînées de sperme séché. Le lendemain, j ai n ai pas eu le droit de me laver hormis le visage et les aisselles. Je portais donc ces bas, cette culotte, une minijupe, un chemisier mais pas de SG pour mes mamelles souillés. Je sentais ma chatte et mon cul encore plein de tout se sperme. Avant de partir, il m a fait me branler devant lui, jupe retroussée jusqu a jouissance à travers la culotte. Je suis allée au travail ainsi.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mercredi 20 juin 3 20 /06 /Juin 12:39

Je dormais depuis un bon moment lorsque j ai été réveillé par des coups sur le visage. Aude me tapotait le visage avec le god ceinture qu elle portait. Elle me dit " j’ai encore envie, Marie dors et je ne souhaite pas la réveiller après tout ce qu elle a fait et jouie " " SUCE SALOPE " Elle me forçait la bouche avec ce gros god, j ai ouvert la bouche et j ai commencé à sucer comme je pouvais ainsi menottait, sur le ventre mais elle s enfonçait dans ma bouche jusqu a la gorge. Je léchais et sentais le goût de la mouille de ma femme.

 

Puis, elle est passé sur moi, elle a écarté le string ainsi que mes fesses et a présenté le god ceinture sur mon anus. Je lui ai dit que je ne voulait pas, je l ai supplié d arrêter là, mais elle n entendait rien et continuer à me forcer l anus. J ai commencé à hausser le temps, à promettre que je crierais. Elle a stoppé et est sortie de la chambre. Je pensais bien m en sortir. Mais elle est revenue avec sa culotte sale qu elle m avait préparé durant trois jours. Elle me la bourrait dans la gueule et est revenue cette fois sans ménagement dans mon cul.

 

Elle me défonçait avec ces grands coups de reins, me traitant de tout les noms les plus bas. J en pleurais, elle me tirait par les cheveux et m annonçait à l oreille que j allais finir par aimer cela. Elle me chevauchait littéralement. Elle m a encouragé à bouger mes fesses sinon Marie me quitterait et je m exécutais tout en pleurant et hurlant dans cette culotte le mal que cela me faisait. Elle a enfin jouie et m a abandonné là pour rejoindre ma femme. J ai réussi à recracher cette culotte dégueulasse et je me suis endormie, mon cul me brûlait.

 

Au matin, c est ma femme qui est venue me libérer. Elle me demanda d aller préparer le petit déjeuner. J y suis allé, je suis allé chercher du pain et lorsque je suis revenu, j entendais à l étage ma femme prendre de nouveau du plaisir. Après un long moment, elles sont descendues et je leur ai servi le petit déjeuner.

Par Veronique - Publié dans : Homme soumis
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