Mardi 16 janvier 2 16 /01 /Jan 11:00

Nous étions le 2 janvier et je devais aller au travail. Je m’étais dévoué au niveau de mon service pour faire la permanence téléphonique durant deux jours. Durant ses deux semaines, l’entreprise était pratiquement fermé juste une personne par service pour faire la permanence.

 

Je suis donc arrivé au travail, il n’y avait que le gardien. Je portais un petit imper, il faisait si doux. Mon mari, pardon mon maître avait comme chaque jour décidé de ma tenue. Je portais donc des bottes, des bas, un string tout petit, une minijupe plissée si courte que j en étais honteuse et une petite veste. Vu que c’était pour faire la permanence, je n’avais pas eu le droit au SG.

 

Lorsque je me suis assise, la mini est remonté laissant clairement le haut des débats à la vue ainsi que le string qui me cisaillait la chatte et m’écartelait la raie. J’avais la chatte velue, du poil débordait de toute part. Notre voisin étant parti pour les fêtes faire le tour de France de ses enfants, il ne me l’avait pas rasé depuis quelques semaines.

 

C’est donc dans cette tenue que j’ai passé ma première journée de permanence. Je haïssais cet hiver si doux qui permettait à mon maître de m’habiller ainsi.

 

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires
Vendredi 12 janvier 5 12 /01 /Jan 14:36

Il faisait bon en ce début juillet, cela sentait un peu les vacances. Je portais une petite robe estivale sans culotte ni SG évidemment. Mes grosses mamelles lourdes pendaient et ballottées librement depuis le matin. Depuis que mon maître m’avait interdit le sg à la maison, les week ends et les périodes de congés, je trouvais que mes mamelles pendaient de plus en plus mais pas assez à son goût. Il avait commencé à les travailler d’ailleurs rustiquement avec des cordes et des altères mais il comptait investir sur des pinces et des poids.

 

Il m’emmena en voiture dans la campagne proche de chez nous. Il gara la voiture prés d’un chemin au bord de la forêt pour que nous allions nous promener. Mais avant que je ferme la portière il m ordonna de retirer ma robe et j’apparaissais nue en pleine nature. Il ferma la porte ainsi que la voiture. Il me regarda et me dit " la campagne, la forêt, la nature et tu es parfaite comme truie pour cette balade , allons y ".

 

C’est ainsi que je l’accompagnais complètement nue sur ce chemin, j’avais si honte et morte de peur de croiser des personnes ou d’être vu et je n’avais rien pour me cacher aucune possibilité de me vêtir de la moindre chose. Il m’arrêta plusieurs fois pour vérifier l’état de ma chatte et je devais me masturber devant lui mais pas jouir.

Puis il me demanda de poser, de prendre des poses de cochonnes,, de vieille truie et de nouveau de me masturber mais désormais de jouir.

 

J’avais désormais la chatte inondée et ma mouille laissait des traînées le long de mes cuisses. Puis, j’ai du m’accroupir et pisser, me relever et continuer la promenade tout cela n’arrangeait pas l’état de mon entrejambes ni de mes cuisses. J’ai du m’asseoir sur un rocher et il s’est approché pour que je le suce. Je le pompais avidement pressée qu’il jouisse et que nous rentrions à la maison. Mais si il bandait fort il ne semblait pas pressé de jouir il dégustait l instant et la situation.

 

Il a enfin joui, j’avais la bouche grande ouverte pour recevoir ses longues traînées de foutre au fond de ma gorge et il lâcha également quelques jets sur mon visage. J’étais souillée de foutre de la bouche au visage cela me coulait sur la gorge et les seins. Nous avons entendu du bruit des marcheurs arrivés sur le chemin. J’ai fui derrière un bosquet et je me suis accroupie. Il m a rejoins et il se caressait la queue.

 

Je les voyais à travers les buissons, ils sont passés tout prés de nous et il faisait semblant de pisser. Alors qu’ils étaient au niveau du bosquet, ils ont salué mon mari et lui s’est excusé mais on lui a répondu c’est la nature et oui a t il dit. Il a commencé à me pisser dessus, je ne pouvais pas fuir, je recevais son urine sur tout le corps, sur les cheveux et il a fini dans ma bouche ouverte.

 

Nous avons repris le chemin de la voiture. Là, dans l’état ou j’étais, il m a fait monter dans le coffre. Il a pris le Crick, m’a ramoné la chatte avec et il me l a mis dans le cul. Je suis rentrée ainsi dans le coffre, la bouche, le visage plein de foutre, le corps inondé de pisse, la chatte trempée de mouille et le Crick dans le cul.

Par Veronique - Publié dans : Vacances
Ecrire un commentaire - Voir les 6 commentaires
Mercredi 20 décembre 3 20 /12 /Déc 11:39

C’était au début de mes changements. Je revenais du travail. Je me suis approchée de mon Maître et il m’a passé une main entre les jambes. Il me posa la question : " alors cette journée de truie débutante ? " Il attendait que je lui raconte mais je n’avais rien à lui dire. Evidemment il pouvait voir combien j avais mouillé mon string en ayant eu deux paires de boules de geisha dans la chatte toute la journée et je ne m étais pas essuyé après avoir fait pipi mais aucune queue ne m avait pénétré et je n en avais pas branlé non plus. Il était fort déçu. Je le décevais. Il a retiré les boules de geisha de ma chatte et me les a mise en bouche.

Il m’a juste dit " c’est peut être tes tenues imposées pas assez sexy ou toi pas assez ouverte aux autres ou les deux ". Va passer ce qui est dans le carton sur la table. J’y suis allée, il y avait la une sorte de guêpière ouverte devant en latex, un string également en latex le tout d’un rouge vif, des haut talons rouges également et une paire de bas. J ai passé le tout, la guêpière se fermait par devant avec trois petites lanières à serrer. J étais compresser dans ce carcan ainsi que dans le string.

 

Il m a demandé de déambuler devant lui et j ai pris des poses pour voir ce que cela donnait.

 

Pour l une des rare fois, il me demanda ce que j en pensait, j’ai répondu " ça, ça, ça fait vieille pute non ? "

Il acquiesça de la tête et dit " oui , en effet, je te confirme, ça fait vraiment vieille grosse pute ". " Passe t on manteau m’ordonna t il ! " J’ai obéis et j ai du marcher devant lui manteau ouvert.

Puis il m a dit comme tu ne progresses pas en tant que truie et je ne parle même de l’objectif de devenir une bonne vieille grosse truie, tu es peut être faites pour être une vieille grosse pute. Et il m ordonna de monter dans la voiture.

 

Il conduisait et j avais le manteau ouvert laissant apparaître mon corps dans cet ensemble en latex rouge sang. Il m a emmené dans le quartier des putes et il roulait doucement. Je voyais toutes ces putes bien plus belle que moi sur le trottoir. C’est là que tu veux être m a t il dit, je lui ai supplié que non, j obéirai et je progresserai. Bien a t il répondu, j aime te l entendre dire mais je veux que tu le fasses désormais, oui ai je répondu.

 

Sur la route du retour, il m a annoncé qu’a cause de moi, il se retrouvait obligé de me punir et je répondais que je comprenais. Il a pris la sortie d’une plate-forme de logistique immense. Le flot des camions n’arrêtait dans la nuit. Il s’est arrêté sur un parking ou des dizaines et des dizaines de camion étaient stationnés. Il m ‘a déclaré voici ta punition, tu vas aller proposer tes services aux camionneurs, ils ne paieront pas , c est pour essayer, t’essayer, tu en suceras trois, et trois te prendront la chatte , trois autres t’enculeront et tu en trouveras un dernier à branler sur ta poitrine et ta gueule. Sors de la vieille grosse pute et dépêches toi sinon je te laisse là.

 

C’est ainsi que je suis sortie dans cette tenue, manteau ouvert et que j’ai abordé la première cabine effrayée et terrorisée. Deux heures et demi plus tard , j étais de retour à la voiture, j’avais accompli ma punition dans sa totalité. Je revenais les trous rempli de foutre, les seins hors de la guêpière depuis la première cabine et le visage souillé de sperme. Arrivé à la maison, il m a allongé sur le ventre sur le lit, je n avais retiré que mon manteau. Il m a écarté le string pour vérifier combien j étais remplie et dilatée du cul. Il a commencé à me claquer le cul alors que je lui racontais ce qu e ja avais fait cabine après cabine, les unes après les autres sous ses claques je me dandinait en serrer les fesses et ma chatte et j ai jouie très fort alors qu il se vidait abondamment sur mon visage et ma bouche ouverte. J ai du dormir ainsi.

 

Les trois jours suivants en rentrant du travail, j ai du passer cette tenue et il m a envoyé sur ce parking. Je m y rendais seule et je proposais mes services aux camionneurs si ce n est que le nombre dont je devais m occuper augmentait chaque jour alors que le temps allouée restait identique.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
Ecrire un commentaire - Voir les 19 commentaires
Mercredi 20 décembre 3 20 /12 /Déc 11:25

Je revenais du travail, mon mari m attendait. Nous étions attendu chez des amis pour prendre l?apéritif. Il ne m?a pas laisser prendre de douche malgré la chaleur qui était désormais présente. J?ai eu le droit juste de me changer. C?est ainsi que j?ai passé un petit chemisier et une minijupe légère ample sans culotte ni SG. Dans la voiture, j?avais la chatte à l?air et je lui ai demandé si il ne trouvait pas que je sentais un peu. Il m?a juste répondu qu?en effet, je sentais la chienne. J?étais honteuse.

 

Arrivé chez nos amis, nous nous sommes retrouvés dans le jardin autour d?une grande table ronde. Alors que nous prenions l?apéro, leur chien est arrivé. Nous étions venu le chercher car ils partaient pour le week end et nous allions le garder durant ce temps. Il était passé sous la table et très vite il est venu entre mes jambes reniflés. J?étais pétrifiée et bien évidemment il devenait sentir bien plus fort que les autres l?odeur de ma chatte humide et souillée d?une journée dans la chaleur.

 

Mon mari s?en ai aperçu, il profita de l?absence de nos amis l?espace d?un instant pour passer une main sous la table et m?écarter le genoux, il ajouta " laisses faire ". C?est ainsi qu?au retour de nos amis, j avais désormais les jambes grondes écartées et la truffe du chien sur mon clito et ses coups de langues sur ma chatte. Je me suis avancée sur la chaise, cela a remonté ma minijupe mais j avais la chatte au bord du siège et plus de risque de mouiller la minijupe de ma mouille ou de sa bave.

 

 

Plus il léchait et plus je mouillais, il était à la limite de me dévorer la chatte et je me suis mordue les lèvres à certains moments lorsqu il attrapait ma chair entre ses crocs. J?ai joui en silence la situation était affreuse et mes amis s?étonnaient de ne pas m entendre, je parlais bien plus habituellement mais que pouvais je tenir comme conversation. Je m imaginais bien dire votre chien me bouffe la chatte, je mouille comme une chienne et je viens de jouir devant vous.

 

Je ne tenais plus et j?espérai éc?urer le chien ainsi. J?ai lâché quelques petits jets de pipi, je lui pissais à la gueule et cela tombait dans la pelouse. Mais bien mal m?en a pris , il a redoublé ses coups de langues et j?ai joui une seconde fois. Je n?en pouvais plus, je lui offrais désormais ma chatte et ma raie grande ouverte, je m abandonnais totalement à lui. Nous sommes enfin parti, mon mari avait fait tomber les siège arrière du break pour que le chien ai de l?espace. Quand à moi, de la table à la voiture, je sentais ma mouille et sa bave abondante me couler le long des cuisses.

 

A peine démarré, mon mari m?a passé une main entre les jambes, il a été surpris et déclara " mais c?est inondé sale chienne, c?est plus une chatte, c?est un seau de mouille jusqu au cul " puis il ajouta " fous toi à poil sale chienne ". J?ai retiré mon chemisier et ma minijupe. Il s?est arrêté sur la bas côté de la route, il est sorti, a ouvert ma portière, m a mis mon collier de chienne et la laisse et m a sorti de la voiture. J?étais à 4 pattes au bord de la route. Il a ouvert le coffre et a déclaré " la chienne avec le chien, grimpes vite ". J?ai grimpé dans le coffre et j?ai reçu une claque très forte sur le cul à m en marquer la fesse.

 

Il a repris le volant. Le chien a recommencé à me lécher, il était allongée et mon maître m?a ordonné de le sucer. J?étais en 69 avec ce chien , sa grosse queue rouge et raide si dur en bouche à lécher. Mais mon maître ne voulait pas que je le fasse jouir.

Je l?ai informé à un moment que je sentais qu?il allait jouir et j ai du arrêter de le lécher. Il a arrêté la voiture dans un chemin de forêt et il nous a sorti les deux du coffre en laisse. Le chien m?a vite grimpé et sa queue est rentrée immédiatement dans ma chatte inondée. Il m a sailli ainsi rapidement comme une bête j?étais prise et il m a rempli en abondance. Lorsqu il est sorti son sperme me coulait le long des cuisses, ma chatte dégoulinait. Mon maître nous a remis dans le coffre mais alors que j'avais les bras dans le coffre, il m a arrêté, ordonné de sucer le sexe du chien encore tout poisseux et il m a enculé sans ménagement. Lorsqu il a eu fini de me remplir, il a essuyé sa bite sur mes fesses, fermé le coffre et nous sommes rentré à la maison.

Par Veronique - Publié dans : Chienne
Ecrire un commentaire - Voir les 17 commentaires
Mardi 19 décembre 2 19 /12 /Déc 12:49

Après plus de 20 ans de mariage, de femme fidèle et dévouée à sa famille, nous avions eu de longues discussions avec mon mari pour relancer notre couple. Nous étions tombé d’accord sur le fait qu’il devenait mon Maître et moi je m engageais à devenir une soumise ou plutôt une grosse truie avec pour objectif de devenir une bonne grosse vieille truie selon sa définition. Tout cela à 45 ans. J’avais de nouvelles règles de vie et mes tenues étaient désormais imposées chaque jour.

 

Nous étions donc en vacances d’été. J’ai redécouvert les minijupes mais désormais très courtes et sans culotte ainsi que l’absence de SG qui laissait mes grosses mamelles lourdes pendre et ballotter à leur gré. Tout comme mes maillots de bain dont la culotte sans fond et si tendu me moulait la vulve ne cachant aucun des moindre plis de ma chatte, me rentrait régulièrement dans la raie laissant apparaître mes grosses fesses et le haut qui ne tenait rien et en caché encore moi.

 

Mon maître se renseignait désormais des moindres endroits glauques, pseudo plage naturiste, lieu d’exhibe etc… Vous revenions du restaurant, je portais juste une petite robe légère noire sans dessous évidemment. J’avais la chatte intégralement rasée, c’était notre voisin à la retraite qui se chargeait de me raser intégralement chaque dimanche matin avant la messe. Ma vulve était mouillée d’être ainsi, de sentir l’air directement dessus et de marcher sans culotte. C’était très gênant mais cela faisait parti des règles.

 

Il s’est garé sur un petit parking en bordure des dunes et des pins et j’ai commencé à me masturber. A un moment, un black s’est approché de la voiture. J’ai continué à me masturber devant lui, il a sorti sa queue et a commencé à se branler devant moi et le spectacle que je donnais. C’étais la première fois que je voyais une queue de si prêt autre que celle de mon mari depuis des années. Il m a fait signe de descendre la vitre et mon Maître m y a encouragé. Aussitôt fait il a approché sa queue et je l ai pris en bouche.

 

Alors que je le suçais, le pompais, le branlais dans ma bouche deux autres se sont approchés. Ils ont vite sorti leur queue et se sont mis à se branler en regardant le spectacle que j offrais avec cette bite en bouche et mes jambes ouvertes. Le black m’a joui en force dans la bouche et j ai tout avalé sans en perdre une goutte. Il s’est un peu reculé, la portière s’est ouverte et les mains des deux autres sont venu me peloter la chatte et les seins alors que je les branlais chacun leur tour. Ils m ont joui dessus et j’ai reçu de longue giclée sur le visage, ma robe, mes cuisses. J’ai passé un coup de langue sur leur gland gluant et nous sommes parti.

 

De retour au bungalow, mon maître m a fait mettre à 4 pattes sur le lit, il a retroussé ma petite robe. J avais encore tout ce sperme sur moi et le goût du foutre en bouche du black. Il a glissé sa queue sur ma chatte inondée et il est venu m enculer ainsi. Il m a baisé comme un sauvage et nous avons joui ensemble. Il est sorti de mon cul, il m a présenté sa queue poisseuse à la bouche et je l ai sucé puis il sortait de ma bouche pour essuyer les traînées de foutre sur mon visage des autres et me ramenait ces jus en bouche.

Par Veronique - Publié dans : Vacances
Ecrire un commentaire - Voir les 3 commentaires

Images aléatoires

Recherche

 
Créer un blog sexy sur Erog la plateforme des blogs sexe - Contact - C.G.U. - Signaler un abus