Jeudi 26 juillet 4 26 /07 /Juil 14:05

En ce jour de fête, j avais décidé de la tenue de ma belle sœur. Il faisait beau et chaud. J avais choisi ces vêtements dans ceux que nous avions acheté la veille. Une jupe très courte, un string et sg à balconnet et un chemisier devenant transparent selon la lumière. Pour ma femme une minijupe et un chemisier sans culotte ni sg. Ainsi, lorsqu elles étaient assise , elles m exhibaient le charme de leurs entrejambes à volonté.

 

L après midi, j ai demandé à Anne d aller mettre ses boules de geisha dans sa chatte. Je passais de temps à autre ma main sur son cul mais je n allais pas plus loin alors que je sentais qu elle ne demandait que cela. Je me rabattais sur ma bonne vieille truie, toujours prête et humide. Il fallait reconnaître que j avais les couilles pleines et que j attendais vraiment le soir pour en faire profiter ma belle sœur mais pour l instant je la laissais attendre ce qu elle ne savait pas.

 

Mon beau frère est arrivé pour la soirée. Tout le monde avait travaillé pour cette soirée. Les filles sont allés se faire belle mais je leur ai interdit de se laver la chatte. Anne ma belle sœur est arrivée dans la grange lieu de la soirée, magnifique. Elle portait ce que j avais choisi, une petite robe légère, le sg à balconnet avec les tétons sortis, un PJ, des bas fins et un string. Je lui ai signalé que le string n était pas dans le sens que je souhaitait. Aussi, elle l a mis le devant derrière ainsi je pouvais voir sa chatte cisaillée par le tissu. Elle portait toujours ses boules. Quant à ma femelle, elle portait également une petite robe mais sans culotte ni sg en revanche un plug dans son cul et deux paires de boules de geisha l emplissait. Les invités sont arrivés.

 

La fête battait son plein en cette nuit. Ma femme se faisait peloter dans un coin par un oncle assez vicieux. Je lui avait interdit de rejeter les avances de quiconque quoi qu ils fassent ou demandent et l oncle le découvrait en ce moment. J ai emmené Anne à l étage. Elle a retiré sa robe, sortie ses seins complètement du SG, je l ai fait mettre au bord, en appui sur ses avant bras avec vu sur la fête. Les jambes bien écartées, elle s est mise à se branler à travers le petit string. La vue de son cul zébré des jartelles, de ses cuisses gainées des bas, de ses mamelles pendantes tout cela au dessus de la fête m excitait énormément. Sa chatte était trempée et le string inondée, les boules avaient fait leur travail.

 

Pour la première fois, j allais la toucher, j ai sorti ma queue et j ai commencé à la faire glisser sur sa chatte trempée, je m enduisait la bite de sa mouille. Elle m encourageait disait " oh oui, vas y , prends moi, retire les boules et prends moi ". Ma queue était désormais bien huilé de sa mouille. J ai écarté le string et j ai présenté mon gros gland turgescent sur son anus. Elle a protesté, fuyant, refusant, je lui ai dit " c est là, maintenant, ou on arrête tout " je savais que mon beauf n avait pas le droit de la sodomiser, elle était contre. Elle a protesté encore et je lui ai rappelé que c était ça ou tout était fini. Elle s est replacée, je suis entré dans son cul doucement, elle était serrée , un délice. Je l ai limé longuement, sortant et reprenant son cul, elle poussait des petits cris de plainte mais elle a joui trois fois avant que je ne la remplisse de tout mon foutre. C était un bonheur de lui prendre le cul à ce moment, en ces lieux, en voyant tous ses gens dessous nous. Je suis sorti de son cul magnifique et je lui ai placé un petit plug. J ai amené ma queue à sa bouche et elle a fini par la prendre et la nettoyer. Sa formation commençait vraiment.

Par Veronique - Publié dans : Le Maître et sa belle soeur
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 09:54

 

Ils me déposent chez moi. Ils connaissent mon adresse désormais, mon prénom, mon téléphone et ce que je suis. Mon maître m attend, il est ravi de me voir arriver dans cette état. A sa demande, je retire la minijupe et je me présente à lui , recouverte de foutre. Il est assis, je suis debout à ses côtés, je lui montre combien ma chatte et mon cul sont inondés de mouille et de sperme. J ai les jambes écartées, je me branle le clito à sa demande et je commence à raconter mon périple du retour. Il joue avec un god tantôt dans ma chatte tantôt dans mon cul et me le ramène souillée de foutre à la bouche pour que je nettoie. Il l essuie par moment dans un string propre que je porterai plus tard.

 

Je dois prendre mon temps pour raconter les faits et être précises. Je suis proche de jouir et je lui annonce. Il me fait arrêter. Il me mets une pince à chaque téton et des poids. J ai les jambes bien écartées, il prend la cuillère en bois plate et commence à frapper mon clito, sous les coups j explose dans la jouissance. A peine jouie, je dois reprendre le branlage de mon clito et la suite de mon histoire alors qu il reprend le god et continue son jeu. Je vais de nouveau jouir, il me remets des poids, j ai les mains sur les fesses tenant enfoncé le god dans mon cul pendant qu il frappe ma chatte avec la cuillère. Je jouie, je pleure, j ai les jambes qui tremblent. Il me remet des poids au seins. Mes grosses mamelles sont tirées vers le bas au maximum, cela fait mal. Il reprends le god et continue le manège mes trous ma bouche ou dans le string. Je me branle de nouveau tout en continuant à raconter.

 

Je n en peux plus. Je vais encore jouir. Il me remet des poids, c est douloureux. Je tiens le god dans cul. J ai envie de pisser, il m ordonne de faire là alors qu il a repris les claquements sur ma chatte avec la cuillère. Je pisse debout, je sens mon urine tomber, éclabousser mes pieds, mes chevilles, mes mollets, me couler le long des cuisses. Je jouie, je crie, je vacille, je tombe à 4 pattes, je pleure. Il m installe des pinces aux lèvres et au clito et y ajoute des poids.

 

Il s assoit et me tire les cheveux. Il a sorti sa queue, elle est molle mais je vois qu elle suinte . Il a du bander plusieurs fois et être très excité mais il sais également se contrôler et il a déjà débandé pour me la présenter. J ouvre grand la bouche comme il me l ordonne. Il présente son gland sur ma langue et le pose alors que je reste bouche ouverte. Il me déclare " je vais devoir te nettoyer avant de t utiliser " et je hoche un peu la tête en signe d accord.

 

C est alors qu il me lâche un jet d urine que j avale puis un second. Il me met un pince nez, je ne peux plus respirer que par la bouche entre ses jets que j avale. Mais il pisse désormais sans cesse, il me tient la tête et je me noie dans sa pisse, j avale ce que je peux, je respire comme je peux mais cela déborde. Il a enfin fini de pisser et je commence à le pomper toujours avec le pince nez. J entoure bien de ma bouche sa queue et je respire comme je peux. Il me prends la tête en main et maintenant il me baise la bouche à fond. Ouiiii, il finit par jouir et j avale tout comme une bête en rute.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Vendredi 29 juin 5 29 /06 /Juin 09:53

Cela faisait maintenant 2 mois que j avais cette relation téléphonique de Maître avec cette cochonne de belle sœur qui était me semble t il devenue une bonne salope. Malheureusement, nous habitions trop loin pour la voir régulièrement. Nous avions pris une semaine de congés pour retrouver ma belle famille dans l ancienne ferme familiale. Une fête pour l anniversaire du beau père était prévue, nous allions donc vivre en famille ses quelques jours hormis mon beau frère qui comme chacun le sait les employés de banques sont débordés. Son absence m arrangeait grandement dans mes projets avec ma belle sœur.

 

C est ma belle sœur, Anne, qui est venue nous chercher à la gare. Quel plaisir de la retrouver sur le quai de gare. Elle était superbe comme toujours mais cette fois dans une tenue. Je l avais laissé le choix pour cette fois. J avais juste demander une chose que je ne pouvais vérifier immédiatement. Elle portais des bottes, un collant, une minijupe ample et une petite veste. Après les accolades des sœurs, j ai eu le droit à la bise et j en ai profité pour glisser une main sous sa jupe. Quel bonheur de retrouver son bon gros cul.

 

Installé dans la voiture, je découvrais ses cuisses musclés gainées du collant, la jupe remontant lorsqu elle était assise offrait cette vue magnifique, certainement que de face on pouvait voir sa chatte. Nous roulions dans la campagne et je me suis mis de côté pour les voir toutes les deux. Ma femme à l arrière derrière sa sœur au volant m offrait ses jambes grandes écartées, sa chatte rasée et elle se masturbait comme je lui en avait ordonné l ordre dans le train. Je lui avait fait mettre un plug dans l anus dans le train et maintenant sa chatte était trempée de mouille, elle devait avoir jouie déjà mais elle continuerait jusqu à notre arrivée. Elle se pinçait les seins, jouait avec. Je tournais légèrement la tête et je découvrais sa sœur. Elle avait ouvert sa veste, ses seins pendaient à ma vue, nue et sa jupe était retroussée, sa chatte était visible désormais, les jambes écartées, je pouvais voir une auréole de mouille sur le collant ainsi elle avait bien exécuté mon souhait de se masturber et de jouir dans son collant le matin de notre arrivée. Elle se masturbait le clito. Je les regardais, ma vieille grosse truie à l arrière et sa sœur qui désormais je tenais en main sans qu aucune ne se doute de mon jeu.

 

Il faisait beau et chaud, j ai baissé la vitre, une odeur de mouille avait envahi la voiture. Nous sommes arrivés et nous avons retrouvé la famille mes beaux parents, la fille de Anne et Paul mon beauf frère nous rejoindrait que le lendemain soir pour la fête. Lors de l apéro , j ai pu apprécier les entrejambes de ma femme et de sa sœur à loisir, pour l une s était automatique en revanche j appréciai celui de ma belle sœur qui s offrait à ma vue ainsi. L’après midi, j ai accompagné Anne au magasin, cela été prévu. Sur la route de la zone commerciale, elle conduisait jupe retroussée, petite veste ouverte et se masturber tout en se caressant ses belles mamelles pendantes. L auréole sur son collant s était agrandi, je n avais rien dit ou demandé mais elle savait ce qu elle devait faire après ces semaines dirigés par téléphone. Elle a jouie devant moi tout en conduisant.

 

Nous sommes arrivés aux magasins. Nous avons commencé par les chemisiers préférant les translucides et les transparents soit naturellement soit par le fait des lumières ou du soleil. Puis nous avons choisi des jupe courtes, légère et des petites robes que j ai demandé à faire retoucher malgré les supplications de ma belle sœur. Alors que la couturière venait de marquer deux jupes et que j avais demandé de réduire sérieusement. Je sentais ma belle sœur honteuse, extrêmement gênée, humiliée, un délice. La dame s absenta pour aller rechercher des aiguilles et j en ai profitais pour dire à ma belle sœur qu en faite ce n était pas le manque d aiguilles mais l odeur de sa chatte si près de son nez qui l avait fait fuir. Elle était morte de honte la pauvre. La couturière est revenue et s est remise à marquer la réduction des robes et jupes. Je n intervenais même plus, elle avait compris et trouvait la taille seule. Elle me regarda et me dit avec celle là, je ne peux pas plus sinon on verra l entrejambes de Madame. Je ne crois pas ai je répondu, montrez moi. Elle s exécuta et on découvrit la chatte de Anne et cette grande auréole de mouille sur sa chatte et l intérieur des cuisses. La dame lui regardait sa chatte sans gêne, me l exhibant. Anne était pétrifiée. Oui en effet, faites au mieux dis je.

 

Nous sommes partis dans un autre magasin et là nous nous sommes occupés des dessous, bas, collant, PJ, string, sg et guêpière. Elle m a fait un défilé de tout cela et nous avons beaucoup acheté. Avant de rentrer, je lui ai offert deux paires de boules de geisha qu elle s est placé dans la chatte. Elle découvrait cela et j étais sur que deux paires aller rentrer. Sur le retour, elle avait sa jupe totalement retroussée et la veste bien ouverte. Elle s est branlé comme une damné, je ne l ai pas touché, elle en crevait d envie, cela se sentait mais je me retenais attendant le moment et l ignorant parfois. Le soir, nous avons regardé la TV en famille, j étais à la table avec elle, alors que les autres étaient dans les canapés. Nous étions derrière eux et elle a ouvert sa petite veste , écartées grands les jambes et elle s est branlée ainsi morte de trouille, je sentais sa chatte d ou j étais. Son collant était inondées.

Par Veronique - Publié dans : Le Maître et sa belle soeur
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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 15:27

La grande plantureuse que je suis, la grosse vieille truie que je suis devenue, la femme soumise qu il a fait de moi avec mon accord, se retrouvait en pleine campagne ne portant qu une minijupe très courte avec des bretelles. Mon mari pardon mon maître venait de m abandonner dans cette tenue au beau milieu des champs. Nous étions à 5 km de la maison mais je ne pouvais pas rentrer chez moi que par les petits chemins. Il fallait à certains moments passer par la route et donc se retrouver avec des voitures en tous sens et forcément des humains avec des yeux. J avais le ventre nouée, je serrais mes avant bras devant moi afin d essayer de cacher mes grosses mamelles pendantes.

 

Je marchais lentement réfléchissant aux petits chemins les plus discrets pour rentrer chez moi. Puis j ai accéléré le pas, relâchant mes bras et j avais maintenant mes gros seins pendants qui ballottaient à chaque pas. Il faisait beau mais parfois une petite brise fraîche venait me faire durcir les tétons. Je sentais ma mouille souillée l intérieur de mes cuisses. Mon maître m avait fait me caresser à la limite de la jouissance en m emmenant jusqu ici en voiture.

 

Il est arrivé par derrière , je ne l ai pas entendu s approcher, il était en VTT. C était un jeune homme. Lorsqu il m a vu dans cette tenue, il s est arrêté et m a demandé si tout allait bien. J ai sursauté, j ai mis une main devant mes seins mais elle ne cachait pas grand chose et une devant ma chatte mais là j avais encore la minijupe qui cachait ma chatte. J avais tellement l impression d être complètement nue dans cette tenue que le vieux réflexe instinctif s était produit. Je suis devenue toute rouge, je ne savais pas quoi répondre. Il a réitéré sa phrase et j ai répondu " que oui que non ". J ai menti, j ai inventé que je venais de me faire dépouiller de ma voiture et de mes vêtements, voilà la raison de ma tenue particulière. Il m a proposé de l aide, j ai accepté et il a fait demi tour pour aller chercher sa voiture.

 

Des solutions qui s offraient à moi, celle ci était la moins pire. Après tout, qu une personne seulement me voit ainsi c était bien mieux que tous ces gens que j allais devoir croiser sur les chemins et sur la route inévitablement. J ai vu cette voiture arrivée, j étais heureuse le cauchemar aller se finir bientôt. Ce jeune était au volant, il s arrêta près de moi. Mais il n était pas seul, trois autres jeunes l accompagnaient. L un d eux est sorti et m a invité à m asseoir au milieu à l arrière. Evidemment pendant que je m installais ils ont eu tout le loisir de découvrir mes mamelles pendantes et ma chatte. Mon sauveur me déclara qu il les avait emmené pour me protéger et j ai du les remercier. Lui dans son rétro et les trois autres dirigés vers moi, ils me découvraient le corps, ma chatte clairement visible, intégralement rasé et brillante de mouille.

 

Puis mon sauveur a commencé à discuter avec moi. J avais déjà menti pour le vol de la voiture alors que mon maître se faisait un devoir que je dises la vérité toujours, à toutes les questions et qui que ce soit qui me la pose. Il commença :

Lui : Ils sont dingues, ils vous ont même piqué vos vêtements !

Moi : Oui enfin non

Lui : comment ça ? On le voit très bien que l on vous a volé votre tee shirt, votre soutien gorge et votre culotte, Madame !

Moi : en fait non , je ne portais pas tout cela

Lui : Vous étiez dans cette tenue lorsque ça vous ai arrivé ?

Moi : (rouge de honte devant ces jeunes hommes qui me déshabille des yeux façon de parler puisque je le suis alors disons que je sens leurs yeux me toucher sur tout le corps) oui

Lui : Fiiiii, vous êtes exhibitionniste ?

Moi : (morte de honte cette fois) oui

Lui : vous le faites souvent ? On peut regarder clairement alors ?

Moi : non, cela arrive parfois. Oui vous pouvez regarder sans vous gênez.

 

Nous arrivons près d un petit bois, il engage la voiture sur un chemin de traverse et il s arrête. Il se retourne et pose la question fatidique.

Lui : On peut toucher.

Moi : Oui

 

J ai les jambes écartées à l arrière au milieu d eux. Il plonge immédiatement sa main vers ma chatte, la caresse, me branle le clito et commence à me doigter. Alors que les trois autres se sont rués vers mes seins pendants et mes cuisses. Mon sauveur me demande d avancer au bord du siège et de remonter la minijupe. Je n ai plus qu un minuscule morceau de tissu autour de la taille et les bretelles. Il me caresse la chatte , la raie, les autres viennent le rejoindre et mes fesses et mon cul passe au pelotage.

 

Ils ont désormais sorti leurs queues et les deux de derrière m ont amené la main sur leur queue ? J ai une bite vigoureuse dans chaque main, je les branle pendant qu on me caresse, me pelote , me doigte, me branle le clito. Je jouie devant eux comme une folle, me trémoussant comme une chienne qui en redemande. Il continue sur tout mon corps.

 

Le passager avant ne tient plus, il gicle de longue traînées de sperme qui vient s écraser sur mes seins et ma chatte. Ils me font sortir de la voiture, je me penche pour sucer l un des deux de l arrière présentant mon cul aux autres. Ma chatte est vite prise. Mais mon sauveur veut goûter à mon cul et je ne lui refuse pas. Il m encule, il adore ça, c est si bon déclare t il et si rare. Il me gicle dans la bouche et j avale son sperme pendant qu on m encule. Le deuxième de l arrière prends sa place dans ma bouche. Des mains sur tout le corps, une queue en bouche et une grosse bite qui me laboure le cul, je jouie une nouvelle fois.

 

Ils ont tous joui soit sur moi , soit dans ma bouche soit dans mon cul. Mais ils n en ont pas fini avec moi avant de me ramener chez moi. Nous allons sur une table en bois de pique nique. Ils m allongent jambes remontées et écartées. Ma chatte et mon cul sont ainsi bien offert, je me retrouve avec une bite dans chaque main et la dernière en bouche. C est reparti, je branle, on me baise les trous passant de l un à l autre et me bourrant la gorge. Je jouie de nouveau, ils se vident en moi , sur moi. Ils ont les couilles vides et la queue enfin molle. Nous repartons.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Jeudi 28 juin 4 28 /06 /Juin 15:26

 

Elle était devenue accro à nos discussions téléphoniques et je les évitais parfois pour la faire languir . Cela fonctionnait très bien et je pouvais être plus cru avec elle après l avoir fait attendre ou rabrouer quelques jours. Tout comme ma femme , elle est grande et plantureuse. J adore les grandes et leurs formes voluptueuses , j en ai une bien bonne à la maison mais celle là me tentait également, alors que Babette et Claudie ne sont que des partenaires de jeux pour ma chienne et moi.

 

Revenons en à ma belle sœur, cette petite cochonne dont j allais en faire ma salope. Je connaissais son environnement de travail, elle était standardiste dans une boîte, foutue dans un cagibis avec une fenêtre avec store donnant sur la rue. Cela faisait une semaine que lorsqu elle appelait, je lui répondais " est ce fait ? " et elle répondait " non mais attend " et je raccrochais avant la fin de sa phrase. Cette fois, elle a répondu oui. Bien ai je répondu et dis moi tout maintenant.

 

Elle commença comme je lui avais appris :

 

Je porte les bottes noires à talon, un collant fin noir, un jupe courte mi cuisses, un sg noir en dentelle et un chemisier blanc. Je n ai pas de culotte parce qu avec des bottes on ne porte pas de culotte et aussi parce que je suis une cochonne. Mes seins sont sorti du soutien gorge et pendent. Ma main me branle le clito, me caresse la chatte et va me tordre les tétons, je me branle ainsi pour toi. Mon collant est humide de mouille et d un peu de pipi comme tu m interdis de m essuyer. Le collant me frotte le clito a chacun de mes pas et m excite fortement.

 

C est très bien lui ai je dis mais est ce fait ?

 

Oui, c est fait mais c est tellement gênant a t elle répondu.

 

Dépêches toi lui ai je dit ou je raccroche.

 

Il (son mari) n a pas accepté de me raser, il aime ma chatte velue. Mais comme tu m as obligé à la tailler , je l ai plusieurs fois supplier pour des raisons d hygiène ai je même prétexté sinon je le ferai seule lui ai je répondu. Il m a dit de me démerder. Comme tu m avais interdit de le faire seule, j ai demandé à un de nos amis de me faire le maillot et il a tout de suite accepté.

 

Racontes , dépêches toi !

 

Oui, oui , j ai si honte de moi.

 

Vas y !

 

Suivant tes conseils, je l ai reçu chez nous en l absence de Paul (son mari). J étais affreusement gênée, j avais tout préparé. Nous avons bu un verre puis un second parlant de choses et d autres, le matériel était près sur la table. Il fallait que je me décide mais c est notre ami qui m a dit allez on y va. J ai eu une bouffée de chaleur et je suis allée à la table. J ai retiré ma jupe et ma culotte restant en chemisier, sg et bas. C était la première fois que je me montrais ainsi à un autre homme que Paul.

 

Je me suis allongée sur la table, je pensais à toi, je le faisais pour toi, j avais le ventre noué. Il m a dit que cela allait bien se passer. Il a barbouiller ma chatte velue de mousse et j ai senti sa main sur moi. Il a commencé le rasage. J avais la tête qui tournait. Je me suis redressée pour voir la taille du triangle et comme tu le souhaitais je lui ai demandé de retailler vu la taille que tu voulais. J étais de nouveau allongée lorsqu il a posé la question qui tue " on dégage le clito " et j ai répondu " oui " avant de mourir mais non ensuite j ai du répondre et oui pour le rasage de ma vulve ainsi que de ma raie.

 

C est très bien tout ça lui ai je dit, la raie ne sera plus nécessaire, tu porteras désormais des strings, ils te limeront les poils de la raie chaque jour que tu en porteras. Ensuite ? T a t il touché ?

 

Oui, forcément, en me rasant !

 

Oui mais plus précisément, il aurait eu tort de pas en profiter

 

J ai si honte, oui il m a un peu branler le clito, caresser la vulve, et l anus, doigté la chatte et j ai dit non pour mon anus. Lorsque je me suis redressée, il avait une bosse énorme dans le pantalon. Il m a dit je t ai aidé, tu peux m aider à ton tour ? Il a sorti sa queue grosse et raide. Je l ai prise en main et je l ai branlé pendant qu il me pelotait les fesses et la chatte. Il a vite joui sur ma chatte de longue giclée de sperme, il m a inondé le pubis. J e l ai essuyé dans ma culotte lorsque j ai vu par la fenêtre Paul revenir plutôt que prévu. J ai vite remis ma culotte et ma jupe et lui a rangé son instrument. J ai passé le reste de la soirée recouverte sous ma culotte de son sperme.

Oh ooohh je jouiiiiieeee

C est bien ça , rappelles moi demain, même collant, jupe plus courte, tu le sais. Et j ai raccroché laissant ma chère belle sœur trempée de jouissance à son bureau.

Par Veronique - Publié dans : Le Maître et sa belle soeur
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