Jeudi 13 septembre 4 13 /09 /Sep 15:59

C était tout au début des changements dans notre couple. Mon mari et futur Maître souhaitait faire une expérience, il m en avait parlé et j avais difficilement accepté mais accepté sans savoir si je pourrais le faire réellement.

 

Je rentrais du travail. Je portais la tenue que mon mari m avait préparé le matin c est à dire des bottes, une jupe courte, des bas, un string, un chemisier, sg et une petite veste. Je ne vous dit pas ma surprise lorsque je suis entrée dans la maison et que j ai découvert mon mari nu portant ma culotte et mon sg de la veille attaché pieds et mains au radiateur, un large scotch sur la bouche.

 

Il y avait un homme dans le fauteuil. Il déclara "  Après la salope de mari voilà sa salope de bonne femme ! Approche ! Elle a raison la fiotte, t es grande et plantureuse ! Approche, viens te montrer ! " Je marchais vers lui, j avais terriblement peur, l impression d aller à l abattoir et mon mari dans cette tenue et lié.

 

J étais tout près de lui. Il me plaça une main entre mes genoux et il remonta le long de la cuisse me pelotant et caressant ma cuisse du bas. Il dit "  Humm y a de quoi faire, y a matière avec de telles cuisses, t aimes les écartées, salope ? " Je ne savais pas quoi répondre, j ai balbutié " oui " "  J ai rien entendu salope, t aimes te faire baiser par d autres que ta fiotte de mari ? " J avais du mal à supporter tout cela mais j essayais de jouer le jeu " oui " ai je répondu alors que je n avais jamais trompé mon mari de ma vie.

 

Il remontait sa main sous ma jupe et il arriva à mon entrejambes " Putain, ta culotte est bouillante et humide salope " et il commença à me caresser à travers la culotte me branlant le clito puis glissant sur mes fesses " t as un bon gros cul de salope dis donc " Je voyais que mon mari essayait de se détacher, de parler mais le scotch l empêchait. "  Regardes moi salope, la fiotte est inintéressante, je suis sur que tu meurs d envie de te montrer, salope, vas y retires, ta veste, ton chemisier et ta jupe grosse pute " Morte de honte et de trouille, je me suis exécutée comme un automate.

 

J étais désormais en bottes, bas, string et sg. " Vas y tourne toi, montres moi , ton corps, ton gros cul, écartes les jambes et caresses toi " " Trémousse toi vieille salope " " Sors tes nibards du soustif salope " Mes mamelles étaient hors des bonnets, lourdes et pendantes. "  Approche " et il a commencé à me peloter en règle le corps, glissant sous le string pour me doigter puis bien mouiller me l enfiler dans l anus. il racontait à haute voix ce qu il me faisait pour que mon mari entende bien des fois que la vue ne lui suffisait pas.

 

Il s est assis devant mon mari et déclara "  je suis sur que tu veux me montrer plus, vas y retires ton string et ton soustif vieille pute " Je me suis exécutée. " Bien, continue , montre moi ta chatte, écartes là, ton cul, écartes tes fesses, montre ta raie , offres moi ton anus, tires sur tes pies, t es qu une grosse vache en chaleur, ta chatte est trempée " Toutes les positions que j avais du prendre lui avait offert mes parties les plus intimes à lui et à mon mari qui se débattait avec ses liens et soufflait fort part le nez.

 

Il a ramassé mon string et il l a humé " Putain salope t es odorante humm " et il se leva pour le faire sentir à mon mari " Sens comme elle mouille pour moi, la fiotte " puis il lui mis sur la tête avec le fond devant le nez. Mon pauvre mari dans cette accoutrement était des plus ridicule mais il ne pouvait rien faire. L homme a retiré son pantalon, son caleçon et son tee shirt laissant apparaître une grosse queue longue et demi bandante accompagné d une grosse paire de couilles. " Viens la caresser, grosse vache " je me suis approchée et je l ai pris en main.

 

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mardi 11 septembre 2 11 /09 /Sep 13:23

Je rabaissais ma jupe. J ai remis mon chemisier et mon gilet. Je venais de sucer mon chef et il avait fini par m enculer profondément et sans ménagement. Il gardait mon string.

 

Le chef : Passez voir Jean avant de retourner travailler !

 

Comme à chaque fois désormais qu il abusait de moi, il m envoyait voir Jean, un collègue et son ami. Il me partageait toujours ces fois là. Je suis arrivée dans le bureau de Jean et je me suis assise face à lui, j ai écarté les jambes et il a découvert mes cuisses gainées, les jartelles et ma chatte lisse sans culotte.

 

Jean : Oh toi, tu viens de te faire baiser par le chef 

Moi : Oui

Jean : Comment t a t il prise

Moi : Il m a sodomisé

Jean : Il adore ton gros cul, il t a bien limé

Moi : Il semblerait, il m a défoncé

Jean : Mais tu adore ça, grosse salope

Moi : Oui

Jean : Prends le matériel et rejoins moi

 

C est ainsi que j ai pris dans son tiroir un morceau de manche en bois et que je l ai rejoins au chiotte. Là, j ai ouvert mon gilet et mon chemisier laissant apparaître mes mamelles lourdes et pendantes. Il avait déjà retroussé ma jupe et il me pelotait tout en me passant le morceau de bois sur la chatte. Il me mordillait les tétons, il me tétait les seins et il me plaça le bois sur ma rondelle et il m encula avec. Il me limait le cul avec, mon pauvre cul qui venait de se faire défoncer par le chef et qui était rempli. Il me l enfonça complètement et le bois disparu dans mon cul.

 

Il sortit enfin sa queue et il m a prise la chatte debout un pied sur le toilette. Il me bourrait la chatte tout en me claquant les fesses, mordillant et tétant mes mamelles. Je sentait sa queue glisser sur le bâton que j avais dans le cul. Il me labourait la vulve. Puis il sortit de ma chatte et je me suis agenouillée. J ai pris sa queue maculée de ma mouille en bouche. Comme il le souhaitait je lui tenais et caressais ses couilles. Pendant que mon autre main faisait aller et venir le balai à chiottes sur ma chatte et mon clito.

 

Il me tenait la tête et utiliser ma bouche pour se branler avec. Il m obligeait à avaler son gland à en vomir. Il vérifiait régulièrement si je me frottait fort la chatte avec le balai à chiotte. Il m encourageait à frotter plus fort et à me frapper la vulve avec. Il me baisait la bouche et il est venu jouir bien au fond de la gorge. Je sentais ses longues giclées glissées dans ma gorge. Il est ressorti avec sa queue propre.

 

Je me suis assise sur le toilette jambes grandes ouverte. Il m a pris le balai et c est lui qui maintenant me frottait la vulve avec. Il appuyait fort et les va et vient me brûlaient la vulve. J ai du pisser ainsi devant lui et j ai fini par jouir. Il m a fait prendre sa bite en main et il a commencé à pisser. J ai du diriger son jet sur ma chatte en feu. Lorsqu il a eu fini, j ai du lui passer un coup de langue pour la dernière goutte.

 

Je me suis rhabillée sans m essuyer, le bois toujours dans le cul et nous sommes repartis au travail.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Vendredi 7 septembre 5 07 /09 /Sep 13:05

De retour au chalet, j ai reçu un coup de fil d Anne. J étais debout sur la terrasse ne portant toujours que ma culotte comme il me l avait mise durant son massage, toujours souillée de tout son sperme sur mon corps. Il a pris des pinces à linge et il m en a mis une sur chaque tétons, je n ai pu retenir un petit " aille " alors que Anne me demandait si cela allait, je répondais que " oui " alors que Simon avait pris ma culotte de chaque côté des hanches et me la tirait vers le haut me fendant la raie et la vulve de plus belle. Anne m expliqua enfin qu ils ne rentreraient pas tôt et qu ils allaient dîner au restaurant avant de rentrer. Simon frottait son doigt sur mon clito à travers le maillot de bain trempée de foutre.

 

Il me donna des petits coups de pieds dans les chevilles, je comprenais que je devais écartais les jambes ce que j ai fait. Il m amena les mains dans le dos et je me tenais les mains, doigts croisés. On aurait pu me croire les pieds attachés ainsi que les mains tant la posture et la tenue étaient pornographique mais aucun liens et tout cela sans un mot. Il était d une perversion inimaginable et moi je me laissais faire.

 

Il alla chercher mon portable et me l attacha autour du cou, vers mon visage encore souillé de son sperme. Il chercha un numéro et lança la connexion.J avais la tête baissée. C était le numéro de ma mère. Je priai pour qu elle soit absente mais non elle décrocha. Je commençais à discuter avec elle, espérant qu elle n avait rien à me dire mais il ne fallait pas rêver. Simon avait pris une cuillère plate en bois qu il faisait aller sur mes fesses et sur ma chatte. Il commença à m en infliger des coups. Je me dandinait et j essayais de continuer la conversation. Ma mère entendait les coups et s en étonna , je lui ai menti alors qu il me frappait les seins. Je lui ai promis de la rappeler plus tard et elle a raccroché. J ai joui sous ses coups de cuillère sur ma vulve. Je me trémoussais comme une folle, jouissant si fort.

 

Il alla chercher des bougies, je ne bougeais pas. Il en a pris une, il a écarté mon maillot et me la enfiler dans la chatte, une seconde est venue la rejoindre, une 3ème est allé au fond de mon anus. Je me suis retrouvée la chatte pleine de 5 bougies et mon anus de 3. Je n en pouvais plus. Je suis tombée à 4 pattes, jambes grandes écartées mon maillot me gardant bien entré les bougies dans mes orifices. J ai pissé comme une chienne devant lui. J avais la tête baissé et lorsque j ai eu le courage de la relever, j ai vu sa longue tige fine devant mon visage. Il me l a mise en bouche et je l ai sucé jusqu a ce qu il me jouisse au fond de la gorge. Il était temps de passer à la douche, Anne et mon mari n allait pas tarder.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Jeudi 6 septembre 4 06 /09 /Sep 16:13

Mon chef passe dans les bureaux pour rendre des dossiers. Il a découvert il y a quelques mois mon nouvel état de femme docile et soumise à son mari et maître. Il arrive dans mon bureau et me tend des dossiers. Il découvre ma tenue du jour. Mon maître m a fait mettre des bas, un PJ, une jupe courte, un chemisier et un petit gilet. Ayant le gilet, il n a pas jugé utile de faire porter un sg. Mes grosses mamelles pendent sous le chemisier mais elles sont assez bien caché avec le gilet.

 

Le chef : Belle tenue mais montrez mieux

 

Je sais ce que cela implique aussi je me pousse du bureau et remonte mes jambes sur celui ci . Il découvre mes grosses cuisses gainées des bas et les jartelles ainsi que mon string.

 

Le Chef : Vous passerez d ici 10 minutes dans mon bureau

Moi : Oui, monsieur

 

Dix minutes plus tard, j arrive dans son bureau.

 

Le chef : Retirez votre gilet !

 

Je m exécute puis il continue.

 

Le Chef : Retirez votre chemisier !

 

Je le retire mes grosses mamelles pendantes apparaissent , je mets au porte manteau mon gilet et mon chemisier.

 

Le chef : Approchez !

 

Je fais le tour de son bureau et je suis désormais toute proche de lui, jambes légèrement écartées. Il passe sa main entre mes jambes et remonte le long de mes cuisses gainées. Il me soupèse les seins de l autre main, jouant avec les tétons, les pinçant, les tirants vers le bas tout en me branlant à travers mon string.

 

Le chef : Retroussez votre jupe !

 

Je m exécute, mon gros cul zébré des jartelles apparaît ainsi que ma raie et ma chatte cisaillée par le string. Il me palpe les fesses. Il tire sur mon string et celui ci fini à mes chevilles. Il le ramasse, il le hume.

 

Le chef : Dessous !

 

C est dans cette tenue que je passe sous son bureau, je n ai pas beaucoup de place vu ma taille, je suis à genoux dessous, il avance son siége. Je sais ce que j ai à faire. Je dégrafe son pantalon, sa queue et ses grosses couilles apparaissent, il ne porte pas de slip. Je prends en bouche sa grosse queue molle et je commence à le sucer tout en lui caressant les couilles pendantes. Il téléphone à une jeune collègue et celle ci arrive quelques secondes après. Il discute avec elle pendant que je le pompe et le branle dans ma tenue des plus exhibantes. Elle ne me voit pas mais je les entends, je la connais , elle est jeune et sexy et je ne doute pas qu il en pince pour elle ce vieux salaud. Tout en discutant, je continuais à le sucer , il bandait fort je ne savais pas si c était sous ma langue et dans ma bouche ou si c était elle qui le mettait dans cet état ou les deux à la fois. Il tenait mon string dans sa main et il l amenait régulièrement à son nez tout en discutant.

 

Il l a renvoyé dans son bureau, sa grosse queue était dur et gonflé au maximum. Il m a sorti de dessous du bureau et il m a plaqué sur le bureau. J ai passé mes mains sur mes fesses et je les ai écarté exhibant mon anus à sa vue. La face et les seins contre le bureau, j offrais mon gros cul et mes cuisses gainées à ses yeux. Il a approché son gland de mon anus, je sentais son gros gland plein de ma salive tout contre et il m a enculé en une fois. Il m a baisé le cul comme un sauvage, me claquant les fesses, me maltraitant. Je serrais les dents et je subissais ses assauts violents dans mon cul. Il a fini par jouir, il m a rempli le cul de tout son sperme. Il a sorti sa queue et l a essuyé sur mes fesses et mes bas.

 

Le Chef : Retournez au travail !

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Vendredi 24 août 5 24 /08 /Août 13:04

Bizarrement, j étais la plus gênée de la situation que je vivais avec Simon. J avais honte et je me sentais coupable. La serviette installée sur le sable, j ai vite retiré la petite robe et encore plus vite mise sur le ventre. J ai senti le sperme de mes cuisses et de mon ventre imprégner la serviette. J étais morte de honte.

 

Il m a proposé de me mettre de l huile solaire et j ai accepté. Nous ne parlions pas et pratiquement jamais ensemble depuis notre arrivée et encore moins maintenant. Il a commencé par les chevilles, je sentais ses petites mains aux doigts fins m étaler et me masser les mollets et doucement remonter. Il avait matière affaire la grande plantureuse que je suis à côté de ce jeune, petit et frêle. Il avait légèrement écarté mes jambes et il devait voir ma culotte mouillé de son sperme au niveau de ma chatte. J essayais de penser à autres choses tant l humiliation me semblait grande et que je me sentais fautive.

 

Il était désormais à mes cuisses, il les malaxait et les massait, cela glissait tout seul avec l huile. Il était sur le haut de mes cuisses et ses mouvements faisaient que la culotte du maillot glissait sur mes fesses vers ma raie libérant une partie de mon cul. Il en profitait pour me huiler tout ce qui n était pas caché désormais et il me malaxait franchement les fesses augmentant la réduction de ma culotte vers ma raie. Il allait finir par faire de ma culotte un string libérant mon gros cul à sa vue et sous ses mains.

 

Il a commencé à me huiler le bas du dos tout en remontant. Il m a enjambé et est venu s asseoir sur mes cuisses au bord de mes fesses. Il faisait glisser ses mains sur mon dos. Plus il remontait et plus je sentais son corps sur mes fesses. J ai fini par sentir son sexe bandant se frotter sur mes fesses. Je ne disais toujours rien , je ne savais pas quoi faire, je le laissais faire. Il a sorti sa tige longue et fine, je la sentais désormais directement glissait sur mon cul. Il a écarté mon maillot et a placé sa queue sur ma raie bloqué avec le maillot. Il allait de haut en bas me massant le dos et se masturbant entre mes fesses. Cela glissait tout seul avec l huile qu il avait récupéré sur sa bite des passages sur mes fesses. Je l ai senti jouir sur ma raie, le sperme couler le long de ma raie, inondant mon anus et ma chatte.

 

Sans un mot ni de lui ni de moi, il s est essuyé dans le maillot et a remis partiellement la culotte sur mes fesses. Il est parti se promener me laissant allonger, la chatte, la raie, l anus plein de foutre sous ma culotte. J ai passé une main sur mon cul, la culotte mise ainsi laisser apparaître les deux tiers de mes grosses fesses mais je l ai laissé ainsi. J ai glissé une main dans ma culotte et je me suis caressée avec tout ce sperme, j ai joui très fort, augmentant l inondation de ma culotte trempée de partout.

 

Il est revenu un peu plus tard et il m a proposé de me huiler la face. Je me suis retourner en signe d acceptation. Il découvrait mes grosses mamelles flasques tel des flans s écraser sur ma poitrine. Il m a huilé les jambes, arrivé à l entrejambes , il a recommencé sa façon de malaxer pour que ma culotte rentre dans ma vulve et qu il puisse me huiler tout ce qui n était pas couvert. Il est venu s asseoir sur mes cuisses, je sentais de nouveau ses couilles et sa bite sur ma chatte et mon clito. Il me huilait maintenant le ventre et bientôt les seins.

 

Il me malaxait les seins tout en se frottant sur ma chatte. Je ne pouvais pas retenir quelques petits râles. Il s est avancé, a sorti sa queue et il la faisait aller entre mes mamelles tout en les malaxant et les déformant pour couvrir sa bite et se masturber dedans. Il a joui, j ai été surprise, j en ai pris plein le visage, j ai ouvert la bouche, je recevais de longues giclées sur la gorge, la bouche et ma face. Il a avancé sa tige et je lui ai lapé son gland visqueux de quelques coups de langues. Je ne me suis pas essuyée. J ai laissé ma culotte comme je l avais et nous sommes retournés au chalet à pied à travers la forêt , mes mamelles pendantes et ballontantes sans un mot.

 

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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