Mardi 30 janvier 2 30 /01 /Jan 13:44

Cette confidence est la suite de " un chien, une chienne, un chien " et de " torture psychique ".

Babette est une salope née. Elle est extrême et adore me faire baiser par ses chiens, m humilier, me rabaisser et me considère vraiment comme une truie rien qu une vieille grosse truie. Elle est dure et adore baiser avec mon mari pardon mon maître. Ils ont les mêmes vices et se les partagent magnifiquement surtout, je pense, en ma présence.

 

Mon maître m ignorait depuis plusieurs jours. Certes, il choisissait toujours mes tenues mais de retour du travail il ne souhaitait plus connaître mon rapport ni me toucher. Il considérait que je ne progressais pas assez vite, trop lente et en plus Babette lui permettait de me passer de moi. Nous étions samedi matin, il était parti pour la matinée et m avait laissé à la maison pour faire le ménage. J étais totalement nue.

 

C est ainsi que j ai reçu le facteur. Je l ai vite eu en bouche et très rapidement il est venu m enculer sans ménagement ni autre préparation. Il s est vidé dans mon cul me lâchant des mots crus à la pelle depuis qu il était entré. J ai du le sucer pour le nettoyer et il est parti mais il demanda l heure du retour de mon maître et dit " Je vais t envoyer de la bite, vieille truie ". Quelques minutes plus tard, un homme du village arriva, je le branlais alors qu il me pelotait, me palpait, me flattait le cul et il m a pris la chatte. Il me bourrait la chatte sur la table de cuisine quand un autre homme est entré. Il est venu naturellement dans ma bouche. Je me suis faite remplir ainsi, j étais la grosse truie du village. Un peu plus tard c est un jeune qui est venu, j ai du le branler et le sucer et il m a joui sur les seins. Un autre enfin est venu, je l ai pompé et il a joui sur mon visage.

 

Lorsque mon maître est rentrée, j avais du sperme plein le visage, les seins, la bouche et le goût de queues également, ma chatte et mon cul remplie. Il m a regardait et m a déclaré " je vois que tu fais des efforts " " mais propose moi quelque chose où tu me montreras que tu progresses en tant que vieille grosse truie ". Jusqu alors, il m ordonnait parfois m invitait à essayer et j obéissais toujours mais cette fois c était à moi de proposer et montrer ce que je pouvais faire en vieille grosse truie. Je suis allée chercher le gros collier de chienne et la laisse, je les ai mis, je me suis mise à 4 pattes, tête baissée et honteuse de ce que j allais déclarer. J ai dit " je souhaite les chiens de Babette ".

 

Il m a pris en laisse et je suis allée grimper dans le coffre de la voiture à 4 pattes. Babette a été ravie de nous voir arriver et particulièrement moi, " cette vieille grosse truie dans son état naturel souillée comme j aimais l être" comme elle a précisé. Elle a sorti ses chiens et ils nous ont promené dans le jardin. J étais toujours à 4 pattes, genoux écartées, j ai pissé et déféqué devant eux ainsi. J étais dans un état second pour faire cela mais ils voulaient de la vieille grosse truie, je leur en donnais, plus de limite pour moi, du moins à ce moment là. Nous sommes rentrées, Babette et mon maître se caressaient, se branlaient. Quant à moi, j ai pris les choses en main, l un des chiens me lapait la chatte et le cul alors que j ai commencé à sucer l autre.

 

Le premier m a vite grimpé et il a trouvé ma chatte. Je continuais à sucer le second. J arrêtais parfois de sucer pour encourager le chien qui me limé. Babette et mon Maître n en croyais pas leurs oreilles. J étais si si … qu’ils ont arrêtaient de baiser et ils m ont regardé. Après avoir eu la chatte remplie et la bouche, j ai continué avec les chiens le second est venu derrière moi et je l ai placé dans mon cul. Je suçais celui qui m avait pris la chatte. Je nettoyais sa queue gluante qui sortait de ma vieille chatte de truie. J encourageais l autre à me démonter le cul. Ils ont joui ainsi et moi également.

Par Veronique - Publié dans : Chienne
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Mardi 23 janvier 2 23 /01 /Jan 14:43

La semaine lorsque j étais en repos, j allais dans la salle de musculation du village. Une petite salle où des cours étaient donnés le soir ou le week end. Mais j en profitais dans l’après midi, seule. Faisant travailler mon corps, cherchant à raffermir ce corps de vieille grosse truie. C était début juin et il faisait chaud, la campagne était magnifique à travers les baies vitrées. Comme pour le reste de mes vêtements, ma tenue de sport avait été choisi par mon mari pardon mon maître.

 

Je portais des baskets avec des socquettes, un tee shirt fin sans SG qui laissait libre mes grosses mamelles pendantes et un short. Enfin un short qui ressemblait plus à une culotte en fin lycra qu à un short mais mon maître m avait affirmé qu il l avait acheté dans le rayon des shorts féminins. Il l avait néanmoins modifié en retirant le fond du short. Je ne pouvais et en accord avec lui le portais dans cette salle que lorsque j étais seule. Il me compressait et gainait mon gros cul et il me rentrait dans la chatte, la compressant et la dessinant.

 

J avais commencé par m échauffer sur un vélo en regardant notre belle campagne. Ma chatte était écrasée sur cette selle que le lycra protégeait à peine, pire, il me travaillait le clito et la vulve. Puis, je suis allée sur les autres appareils et j’ai fait mes exercices. C est mon maître qui m écrivait mes séances. La séance se finissait par du rameur et donc j étais dessus à pousser sur mes jambes et tirer sur le manche. Je venais de commencer lorsque deux jeunes hommes sont entrés, m ont salué et ont commencé leurs exercices.

 

J étais affreusement gênée de leur présence, qu ils me découvrent ainsi en sueur, dans cette tenue, mes seins ballottant à chaque mouvement et dans ce short. Je devais vraiment faire grosse salope ou plutôt vieille grosse truie en chaleur. Mon entrejambes était mouillé et je ne doutais pas qu ils pouvaient voir mon short avec une auréole autour de ma chatte moulée. J ai néanmoins fini le travail cherchant à penser à autre chose mais je voyais bien que durant leur pose de récupération, ils me regardaient.

 

Enfin fini, j ai pris ma serviette et je suis partie, je sentais leurs yeux sur mon gros cul compressé dans le short. Je leur ai souhaité bonne après midi et ils ont répondu "  à toi aussi ". J étais dans le vestiaire fille, j étais en sueur, une bonne douche allait me faire du bien, je me suis déshabillée en retirant le short comme je m y attendais une grande auréole de mouille tachait le fond et mon clito était des plus excité et sensible.

 

Je suis allée dans les douches collectives, l eau était fraîche, un délice par ce temps et dans mon état. Je me lavais les cheveux, ils étaient plein de shampoing, j étais face au mur, je n ai rien entendu et j ai tressauté lorsque je les ai vu nu dans cette douche et me dire " il n y a pas d eau chez les mecs ! " " on peut partager les douches ?". Je ne sais pas ce qui m a pris mais j ai répondu " oui ". Ils ont fait couler l eau des douches, j en avait un de chaque côté. Alors que je me rinçais les cheveux, ils ont découvert mon corps de vieille grosse truie, nue, les seins lourds et pendants, mon gros cul et ma chatte intégralement rasée.

 

Je me suis penchée pour prendre le savon liquide et là mon regard a découvert une belle grosse queue alors que derrière moi, il devait voir ma raie s ouvrir et mon anus apparaître. Je me savonnais et j essayais de faire vite désormais mais le premier a dit " on peut s entre aider ? ", je n ai pas su quoi répondre et mon silence a valu d affirmation. Il a commencé à me savonner le ventre et de l autre main le dos et le second s y est mis également. J avais ses quatre mains entrain de me savonner partout sur le corps cela devenait des caresses et plus aucune partie de mon corps n était vierge de leurs doigts.

 

Ils m ont placé leur queue, j en avais une dans chaque main et je les masturbais désormais. Quant à eux, ils me pelotaient, me palpaient, me pinçaient doucement, me doigtaient la chatte et le cul, me branlaient. Leurs queues étaient grosses, dures et leurs couilles pleines. Je me suis penchée pour passer quelques coups de langue sur leur glands turgescents.

Celui à la plus grosse queue m a fourré la queue de son ami en bouche. Je le suçais et le pompais maintenant. Alors que la grosse queue venait derrière moi. Il a glissé sur ma vulve et m a pris en levrette mais très vite à glisser au dessus dans mon cul.

 

Cela n a pas été facile d accepter sa grosse bite dans mon cul. Mais il écartait mes fesses et poussait, me claquant les fesses parfois en me disant de le laisser entrer jusqu a la garde, que je sente ses couilles sur ma chatte trempée de vieille pute. Il a enfin réussi, il me limait désormais sans ménagement alors que je pompais son ami qui avait lui aussi une belle queue et que je caressais ses grosses couilles pleine pendant qu il me tenait par les cheveux.

 

Je les ai senti grossir et exploser ensemble l un dans ma bouche et l autre au plus profond de mon cul. Ils m ont rempli et j ai tout pris, ma chatte était trempée alors que tout le reste de nos corps sec. Nous sommes allés dans le vestiaire. Ils bandaient encore fort, celui qui venait de m enculer m a dit d attendre avant de me rhabiller, lui n avait pas eu la joie de visiter ma bouche. Il tenait sa queue à la base et il jouait à aller d un côté et de l autre. Il m a dit " viens la sucer " et j y suis allée. Elle sentait fort, toute poisseuse du sperme qu il m avait mis dans le cul. Le second est venu me prendre la chatte et ils ont de nouveau joui ainsi.

 

Nous nous sommes rhabillés, je n avais qu une petite robe à passer. Je n avais ni culotte ,ni SG à remettre mon maître m avait juste choisi cette robe. Ma chatte était inondée de ma mouille et du sperme qui dégueulait.

Nous nous sommes quittés sur le parking, j étais à pied. Ils m ont proposé de me ramener dans leur voiture, j ai répondu " non merci, j habite pas loin " la grosse queue à répondu " on sait " puis il a ajouté " T es une bonne salope " à quoi j’ai répondu " non , une vieille grosse truie qui cherche à devenir bonne " il a rétorqué " oui c est ce qui ce dit dans les alentours " " on va t y aider " " vieille grosse truie ".

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 10:36

C’était en début de soirée. J’étais nue, à 4 pattes entre les jambes de mon maître à le pomper pendant qu’il reniflait mon string du jour dans lequel je m’étais masturbais plusieurs fois. Il a pris le téléphone et il a appelé Claudie. C’est son mari qui a répondu et ils se sont salué et pris des nouvelles de l’un et de l’autre alors que je suçais toujours mon mari.

Puis il passa sa femme Claudie.

 

Là, le ton changea et donna cela :

     

  • Bonsoir ma délicieuse salope
  •  

     

  • Que portes tu ?
  •  

     

  • Sors tes seins du SG et retire immédiatement ton string
  •  

     

  • Dépêches toi
  •  

 

J imaginais que Claudie devait être bien ennuyer à s exécuter avec son mari dans la maison mais il continua alors que je le suçais toujours

 

     

  • oui c est bien, tu t es bien branlé dedans comme je l avais dis
  •  

     

  • demain tu le porteras encore et interdiction de le retirer pour faire pipi en plus
  •  

     

  • oui, tu me le donneras demain soir et je le ferai porter à ma truie
  •  

     

  • tu as rasé ta chatte comme chaque jour au bureau ?
  •  

     

  • c est bien demain tu raseras intégralement ta chatte de salope
  •  

     

  • c est un ordre si tu veux retrouver ton petit triangle rapidement
  •  

     

  • c est mieux
  •  

     

  • fourres toi le string dans la chatte jusqu a demain matin
  •  

     

  • et dépêches toi !
  •  

     

  • tu vois que tu peux !
  •  

     

  •  
  •  

Je suçais toujours et j étais des plus humiliée d entendre tout cela

 

     

  • maintenant tu vas nous inviter à dîner demain
  •  

     

  • oui demain vendredi, je sais que ton mari sera là
  •  

     

  • c est lui qui préparera le repas
  •  

     

  • tu porteras ta minirobe avec des bottes juste cela
  •  

     

  • tais toi et obéis, tu feras un grand feu dans la cheminée
  •  

     

  • durant l’apéro, je veux voir tes cuisses, un sein et ta chatte rasée intégralement
  •  

     

  • avant l’entrée, tu me suceras, je veux que tu commences le repas avec du sperme encore en bouche
  •  

     

  • entre le plat et le dessert, je te baiserai la chatte
  •  

     

  • puis avant de partir, je t enculerai
  •  

     

  • nous sommes d accord à demain
  •  

 

Il raccrocha, j’ai ouvert grand la bouche et il a joui de longue giclée au fond de ma gorge et sur mon visage. Il a s est essuyé sa queue sur mes seins et il a juste conclu "  je pense que nous allons passer une excellente soirée demain ".

Par Veronique - Publié dans : Claudie
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Vendredi 19 janvier 5 19 /01 /Jan 10:27

Mon mari pardon mon maître m avait fait porté mon petit string abricot le devant derrière durant toute la journée. Habituellement, il me choisissait toujours des culottes ou des strings qui me moulait fortement la vulve, qui m’écrasait le clito, me rentrait dans les lèvres et me cisaillait la chatte et la raie mais là de le porter ainsi cela amplifié l écrasement et tout le reste. J avais toujours ma chatte Triangle, Lisse, Velue vulgaire et obscène.

 

Il avait préparé ma tenue pour cette soirée chez Claudie et Vincent. Je portais donc ce string, des bas, des bottes, une jupe et un chemisier sans SG. Mes mamelles pendaient lourdes et ballotantes, les tétons regardant mon nombril. Il avait retiré la doublure de ma jupe, celle ci était devenue des plus translucides. J ai contesté, Vincent n était pas au courant de mon état de vieille grosse truie docile et encore moins de la relation de Claudie avec nous. Je n ai eu comme réponse qu un " ta gueule, la truie , tu portes ce que je donne " et j ai passé la tenue.

 

Nous sommes arrivé chez eux et évidemment Vincent n en croyais pas ses yeux lorsqu il m a vu. Quant à Claudie, elle portait la tenue que mon mari lui avait demandé de porter. Si elle avait reçu ses ordres , j avais également reçu les miens. Il faisait une chaleur torride, la cheminée fonctionnait à fond. Alors que nous prenions l’apéro, nous étions installés de tel sorte que Claudie pouvait remplir sa mission, montrer ses cuisses à mon maître.

 

Vincent avait préparé le repas et je l accompagnais régulièrement à la cuisine déjà parce cela faisait parti des règles et qu il était obligée sans cesse de me voir en mouvement et que Claudie pouvait montrer son sein et sa chatte intégralement rasée à mon maître.

Alors que nous allions passé à table, Claudie prétexta un problème sur son ordinateur et mon mari l accompagna dans son bureau à l étage pour voir le problème. Vincent avait lui son bureau au rez de chaussée et il ne connaissait rien à l ordi.

 

Lorsqu ils sont redescendu, Claudie avait la bouche pleine enfin moi je le savais et elle s est ruée sur son entrée. La chaleur et l alcool aidant, les discussions étaient des plus libérées et je continuais à accompagner Vincent en cuisine. Il ne se gênait plus pour me regarder, me frôler et me féliciter sur ma tenue très très sexy qui lui faisait énormément d effets. Quant à moi, j étais de moins en moins gênée à ce qu il me voit ainsi.

 

Entre le plat et le dessert, Claudie et mon maître sont remontés pour voir sui le problème informatique se résolvait, je savais que cette fois , elle allait en prendre plein la chatte. Pour ma part, j avais désormais les jambes grandes ouvertes et le chemisier ouvert devant Vincent, ma petite vengeance de truie abandonnée ou simplement la réalisation de l ordre de mon maître de m exhiber à Vincent. Je me suis rhabillée à leur descente et nous avons pris le dessert.

 

Alors que je débarrassais avec Vincent et que je l aidais à ranger et à nettoyer, il a commencé à me caresser, il n en pouvait plus et moi non plus. Ils sont remontés toujours pour leur pseudo problème d ordi moi je savais qu elle allait maintenant se sodomiser. Il était très excitée au point de m abîmer un collant, je le laissais faire, nous nous embrassions et il me pelotait, me palpait, me branlait comme un fou.

 

J ai sorti sa queue mais elle était à demi molle rien a voir avec la sensation de ses attouchements ni même sa langue fougueuse. Il s excusa, je me suis agenouillée et je l ai pris en bouche mais rien n y faisait elle restait à demi molle. Il semblait gêné, il m a demandé d attendre, il est allé dans son bureau et est revenu avec un plug. Il m a avoué que depuis des années, il ne pouvait plus bander qu avec ça dans l anus. Il m a demandé si cela me gênait, j ai répondu que non. Il a passé un coup de langue dessus et il se l ai placé. Aussitôt, il a bandé dur, très fort, une grosse queue. Je l ai pompé et il m a inonder la gorge, la bouche, me remplissant de longue giclée et en abondance. J ai tout avalé et je me suis relevée. Il a gardé le plug. Nous avons fini de ranger et il m avouait que cela faisait des années qu il ne pouvait plus que bander ainsi. Sa femme ne savait rien, il n avait jamais osé en parler à personne mais il n avait pas réussi à résister à moi et à mon exhibition. Cela faisait trop longtemps qu il se masturbait ainsi en cachette avec un plug en lui. Il savait que sa femme regrettait qu il ne la touche plus mais lui également mais il n avait pas le courage de lui dire. Je lui ai promis que cela resterait entre nous.

 

Claudie et mon mari sont redescendu, le problème d ordi était réglé en clair elle avait rempli sa mission et nous sommes rentrés chez nous. Dans la voiture, j ai du tout raconter à mon maître. Il a trouvé que je devenais une bonne vieille grosse truie, que c était un début. Il a beaucoup apprécié le secret de Vincent et a ajouté " tu te rencontres que sans cette particularité, Claudie ne serait pas ainsi avec nous, quelle chance, nous avons ". Puis, il a ouvert son pantalon et tout en conduisant, je l ai sucé. Sa queue était encore poisseuse de son sperme et de l odeur du cul de Claudie. Il m a raconté les trois montées et ce que Claudie avait fait et comment elle était excitée et avait été si bonne. Je ne voulais pas entendre mais je le devais.

Par Veronique - Publié dans : Claudie
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Mardi 16 janvier 2 16 /01 /Jan 15:46

Je rentrais du travail enfin de ma permanence. J’avais du porter la même tenue que la veille. Lorsque je suis arrivée dans la maison, Claudie était là dans le salon. Elle portais un magnifique ensemble bas, guêpière et string noir en dentelle et résille. Elle était là se dandinant et déambulant devant mon mari pardon devant mon Maître. On se bisa et nous nous sommes souhaités une bonne année. Elle précisa de nombreuses et grosses queues pour mes trous et beaucoup de foutre pour moi et d’amour et de sexe pour elle avec mon mari. Elle adorait me rappeler que désormais elle était régulièrement présente avec mon mari alors que moi je vivais avec mon maître et cela pour le plus grand plaisir de mon maître.

Ils avaient largement entamé la bouteille de champagne. Je me suis assise devant eux et j’ai pris la position que mon maître attendait désormais de moi. Claudie semblait très excitée, il est vrai que nous ne l ‘avions pas vu depuis 15 jours et le champagne devait aider.

 Il y avait une coupe deux coupes vides dont une utilisée et la troisième au deux tiers pleine. Elle l a prise, elle a écarté son string et a lâché un jet pour la remplir au grand plaisir de mon maître. Puis elle me l’a tendu et je l ai prise alors qu’elle remplissait les deux autres coupes et qu’elle en donnait une à mon maître. Mon maître a proposé un toast : " A 2007, à ma vieille grosse truie qu’on ne désespère pas de voir devenir une bonne vieille grosse truie et à ma délicieuse Claudie qui sait ce que j’aime et qui m’enivre de bonheur et de plaisirs ". C’est ainsi que nous avons bu cette coupe.

Mon string visible de tous me rentrait dans la chatte et me la cisaillait ainsi que ma raie. Ils ont commencé à discuter de ma chatte et de tout ce poil qui débordait étant donné que notre voisin était en déplacement. Mon maître attendait avec impatience que notre voisin rentre pour me faire raser intégralement comme il aimait. Quoi qu’également, il appréciait aussi tout ce poil débordant des culottes trouvant la vue de cela vulgaire et obscène comme une vieille grosse truie devait se montrer.

Quant à Claudie mon mari lui avait taillé un petit triangle sur le pubis, il lui permettait cela mais elle devait chaque jour se raser autour afin d’être toujours aussi lisse. Chose qu’elle faisait quotidiennement. Il y avait également une condition à cette permission, elle devait le faire au travail dans son bureau, porte ouverte, pour les week ends c’était dans sa véranda et lorsqu’elle partait c’était dans la nature. Elle avait accepté et elle respectait son engagement.

La discussion continuait sur l’état de ma chatte et de son foisonnement. C’est Claudie qui proposa cette solution à mon maître en attendant le retour du voisin. Mon maître était d’accord et c’est ainsi que j’ai du m installer et qu’elle a commencé à me raser. Elle a passé quelques coups de rasoir et je me suis retrouvée avec une chatte multiservice. Ainsi j’avais un petit triangle, une bande lisse de chaque côtés pour mon maître et du poil aux extrémités qui dépasserait des strings ou culottes. J’avais vraiment honte de ma chatte, oui elle est vulgaire et obscène ainsi mais je devais rester ainsi.

J’ai remis ma culotte, le poil débordé largement. Ils ont commencé à baiser et je m approchais régulièrement pour qu’ils me caressent à travers mon string tantôt pour sentir mon petit triangle tantôt à pleine main pour sentir la résille du string et le poil débordant et parfois offrant les bandent lisses. Ils ont jouie comme des fous et je les ai nettoyé ensuite.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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