Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:07

Cela faisait deux jours que j’avais dérobé la pochette magique de Claudie pour ceux qui ne connaissent ni Claudie ni l’histoire de la pochette, je leur conseille de lire " Claudie et sa pochette " avant de continuer. Deux jours durant lesquels, j’ai sucé et je m’étais empalée la chatte et le cul sur la bite de mon Maître alors que celui ci humait et reniflait le string de Claudie. Mais il regrettait que les odeurs disparaissent si vite.

 

Elle me téléphona au boulot, je la sentais stressée, angoissée. Elle me demanda rapidement si je n’avais pas trouvé sa pochette dans mon sac lorsque celui ci s’était ouvert et que j’avais tout remis dedans. Elle semblait impatiente et effrayée de la réponse. Je lui ai répondu que non mais que je n’avais pas fait attention. Elle m’a alors demandé si elle pouvait passer en fin d’après midi pour vérifier avec moi chez moi. Je lui ai répondu que oui bien évidemment.

 

J’ai immédiatement appeler mon Maître pour le prévenir. Il a trouvé cela très bien et m’a demandé de rentrer une heure plus tard. Je suis donc rentrée une heure plus tard. Il faisait une chaleur torride dans la maison. La cheminée fonctionnait à tout va, la musique également d’ailleurs. J’ai vu sur la petite table du salon deux coupes et une bouteille de champagne pratiquement vide. Mais là, j’ai été bloqué net lorsque j’ai vu Claudie en string et SG entrain de faire les mouvements de gymnastique devant mon Maître.

 

Je restais bloqué dans la pièce d’à côté et je regardais. Elle ne portait que le string et son SG et elle était en sueur. Son visage était rouge et ses grimaces me faisait comprendre qu’elle prenait son plaisir personnel comme elle en avait l’habitude au cours donc pleine. J’apprendrai plus tard qu’il avait ouvert une bouteille de champagne en m’attendant puis il était aller chercher la pochette sans qu’elle ne demande rien. Il était revenu avec, lui montrant, l’ouvrant devant elle et déposant sur la table les boules de geisha, le petit plug et son string. Elle avait été horriblement gênée. Ils avaient discuté longuement et repris du champagne. Mon mari avait réussi à ce qu’elle lui fasse une démonstration.

 

Elle reproduisait donc le cours de gym devant lui, s’exhibant et se retrouvant dans des positions des plus pornos dans cette tenue. Elle se redressa, elle avait les jambes écartées, se mordait très fort les lèvres, les yeux exorbités. Il s’approcha et passa juste un doigt sur son string au niveau du clito. Aussitôt, elle a été prise de soubresaut et elle ouvrit la bouche pour jouir très fort son corps se contractant comme une folle. Une jouissance comme rarement j’avais vécu ou vu. Elle ne devait pas avoir joui depuis longtemps du moins aussi intensément. Lorsqu’elle reprit ses esprits, il lui a dit " sors tes seins du SG et continue ". Elle a sorti sa poitrine opulente du SG et à repris ses mouvements.

 

Au bout d’un moment, je ne tenais plus excitée et jalouse je suis entrée. Elle s’est arrêtée et à essayer de se cacher avec les mains. Mais mon maître lui a interdit. Je me suis approchée, mon maître m’a demandé de lui passer mon majeur sur sa fente et son clito à travers le string. Je me suis exécutée et elle a de nouveau joui. Elle était dans un état second. Respectant les ordres de mon maître, je me suis agenouillée devant elle et je lui ai baissé le string et je l’ai donné à mon mari. Puis elle s est assise dans le fauteuil, j’étais à 4 pattes et j’ai commencé à la lécher et a jouer avec le plug dans son cul. Pendant que lui m avait retroussé la jupe, écarté le string et il m enculait tout en humant le string inondée de Claudie. Elle déclara "  plus tu lui bourre le cul profond et mieux elle léche ". Il n en fallait pas plus pour qu’il se déchaîne dans mon cul me le défonçant et ils ont joui ensemble.

 Elle s’est rhabillée laissant ses seins hors du Sg comme mon maître le souhaitait, gardant le plug et les boules en elle, passant un string que mon mari lui offrait à l instant et laissant sa culotte du jour et le string de gym. Nous l’avons raccompagné jusqu'à la porte moi à 4 pattes. Sur le pas de la porte, il lui a annoncé qu’il s’occuperait désormais d’elle. Il avait une main sous sa jupe lui pelotant les fesses, l autre lui massant les seins à travers le chemisier, ils s’embrassaient fiévreusement, elle a remonté sa jupe devant et a écarté le string, je lui donnais des petits coups de langue. Elle est rentrée chez elle.

Par Veronique - Publié dans : Claudie
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:06

C’est au travail que j’ai reçu le message. Je suis donc allée retirer mon SG et ma culotte dans les toilettes, j’étais désormais cul nu aucun dessous sous mes vêtements. J’étais affreusement gênée d’être ainsi au boulot. Je sentais l’air sur ma chatte et mes mamelles pendantes ballottées à chacun de mes pas cela était clairement visible lorsque je marchais mais également assise si grosse et pendante.

 

Je suis allée déjeuner, j’étais honteuse pour mes seins et j’avais l’impression que tout le monde savais que je n avais pas de culotte alors que je faisais très attention. Je sentais que ma chatte s’était humidifiée d’être ainsi.

 

En fin de journée, je n’avais toujours pas réaliser l’ordre. Il fallait que je me décide. Je portais des bas, une jupe, un chemisier et bien évidemment plus de dessous. Je suis allée dans le bureau du stagiaire, il n en avait plus pour longtemps chez nous. Quitte à faire une connerie autant la faire la plus courte possible. Il travaillait sur un dossier et il m’a dit que je tombais bien, il avait besoin de mes conseils.

 

L’occasion était trop belle. Je me suis penchée sur son bureau en face de lui et l’échancrure de mon chemisier s’est ouvert. Il pouvait regarder et voir mes grosses mamelles nues pendre et bouger alors que je discutais du dossier. Puis afin de mieux connaître le dossier, je lui ai pris et je me suis assise en face de lui. Tout en lisant le dossier, j’ai commencé à écarter les jambes. Il pouvait clairement voir mes cuisses gainées des bas, la dentelle et ma chatte nue. Je parlais avec lui mais je ne le regardais.

 

Lorsque j’ai eu fini, je lui ai rendu le dossier. J’ai vu sa grosse bosse sur son pantalon. Le pauvre bandait comme un taureau la dessous. J’ai fixé cette bosse et je lui ai demandé si je pouvais encore faire quelque chose pour lui. Il m’a répondu " si j’osais " et je lui a dit " mais osez " et il a regardé vers sa queue.

Je me suis levée et je suis allée fermer sa porte. " Montrez moi ce dossier " ai je dit. Il s’est levé et a dégrafé son pantalon. J’ai découvert sa belle grosse bite. Je l’ai prise en main et j’ai commencé à le branler. Il a souhaité me toucher mais j’ai refusé. Il m a demandé de voir au moins. J’ai ouvert mon chemisier , il découvrait mes grosses mamelles nues pendantes et j’ai du remonter ma jupe pour qu’il voit ma chatte et mes fesses. Je lui ai passé une main sous ses couilles toutes dures et j’ai senti qu’il allait partir. J’ai reçu ses longues giclées de foutre sur ma chatte, ma jupe. Je lui ai essuyé son gland sur ma fesse et ma main pleine de sperme sur l autre fesse.

J’ai quitté les lieux et je suis rentrée chez moi. J’avais la chatte inondée de son foutre qui me coulait le long des cuisses et sur ma raie en voiture.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:05

Je suis rentrée à la maison mais le travail n’était pas fini. Comme convenu, je me suis déshabillée et j’ai passé des bas noirs, une guêpière, un chemisier et une minijupe. Mes seins sortaient de la guêpière, ils pendaient lourdement et je n’ai pas mis de culotte. J’ai repris la voiture mon petit manteau court et ouvert, il ne fallait pas grand chose pour que l’on puisse voir mon entrejambes assise au volant et on pouvait voir la dentelle des bas. Lorsque je suis arrivée à destination, j’ai garé la voiture et je suis sortie. Je sentais l’air frais sur ma chatte et mes fesses et mes grosses mamelles ballottées à chacun de mes pas.

Je suis entrée dans ce bar et je me suis installée dans un coin. J’avais la peur au ventre et honte de ma tenue. Extrêmement gênée, j’ai commandé un verre. Il y avait un client un peu plus loin, il me regardait et moi je cherchais à voir loin, à regarder les gens dans la rue. J’avais les jambes croisées, ma minijupe laissée découvrir ma cuisse gainée du bas et la dentelle était visible.

Je sirotais mon verre. Avec le jeu des lumières on apercevait mes seins lourds et pendants sous le chemisier, il devenait translucide sous certaines lumières et ambiances et je le savais. Cela me gênait encore plus. Puis, j ai décroisé les jambes sans tirer sur ma minijupe. J’avais désormais mes deux cuisses découvertes jusqu’à la dentelle. Il fallait que j’y arrive, j’ai commencé à jouer avec mes jambes et à les écarter. Je les refermais régulièrement et les ouvrais de nouveau.

L’homme s’est approché, " vous attendez quelqu’un ? " " Non " " Je peux vous accompagner alors " " oui ", qu’elle conne je faisais je n’avais pas réfléchi à mes réponses et il était installé. Il nous a recommandé un verre. J’avais le visage en feu, horriblement gênée et une peur au ventre monstre. J’avais serré les jambes et les fesses aussi, j’étais complètement contractée.

Nous avons commencé à discuter de tout et de rien. Ces yeux quittaient souvent mon visage pour aller voir mes seins et mes jambes. Son regard était de plus en plus perçant. " Décontractez vous, imaginez que je sois encore assis là bas " m’a t il. J’ai pris sur moi et j’ai de nouveau écarté les jambes. Il pouvait désormais voir clairement ma chatte. Puis ses invitations étaient de plus en plus précises et claires et je répondait par la négative. Il me complimentait ouvertement sur mes seins et ma chatte désormais et il voulait les caresser et donner à boire à ma chatte voire mes fesses si j’étais une gourmande. Je ne tenais plus, je me suis levée et j’ai quitté le bar. Je marchais rapidement dans la rue, il n’avait pas pu me suivre , obligé de régler l’addition. J’arrivais à la voiture et je me penchais pour mettre la clé dans la serrure lorsque j’ai senti une main sous ma jupe directement sur mon cul, un doigt sur ma chatte. La porte était ouverte, je me suis retournée c’était lui. Je l’ai repoussé et j’ai grimpé dans la voiture. Il me regardait, il léchait son doigt. J’ai démarré et j’ai pris la fuite, je conduisais et je ne m’étais pas rendu compte que ma minijupe était remonté que je roulais la chatte à l’air les jartelles et les bas clairement visibles. Je suis rentrée chez moi. J avais la chatte inondée de mouille.

Par Veronique - Publié dans : Sm
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:04

Je suis désolée mais je n’ai pas eu le courage de me connecter hier soir. Vous avez reçu mon premier rapport. C’est ainsi que j’ai passé le reste de la matinée et une grande partie de l’après midi, le cul rempli de foutre et pluggé tout comme ma chatte rempli e également de foutre. Je ne savais pas comment trouver les autres ou je n en avait pas le courage. Je suis allée néanmoins à l’entrepôt et j ai réussi à me faire enculer une seconde fois. Lorsque je suis rentrée chez moi, mon mari m’a demandé que je lui raconte ma journée. J’étais debout au prés de lui lui assis à visiter mon entrejambes et à jouer avec le plug dans mon cul. Il m a juste dit qu il faudrait que j’assume vis à vis de vous et je me suis mise à ses genoux pour le sucer. Puis à 4 pattes, je lui ai présenté mes trous pour que je m empale dessus et souille sa queue et je revenais régulièrement lui nettoyer ainsi que ces couilles. Il a fini par me jouir sur le visage.

Par Veronique - Publié dans : Sm
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:02

Bonjour Maître,

 

Hier, suite à notre entretien, je suis allée retrouver mon Maître, pardon, mon mari. Je pleurnichais encore tellement mes seins me faisaient atrocement mal. Mes larmes avait abîmé mon maquillage et des traînées de rimmels avait coulé sur mes joues. Il m a demandé ce qui c’était passé et je lui ai raconté notre conversation ainsi que la punition que vous m’aviez infligé. Il m’a caressé les seins mais je ne pouvais le supporter même ses effleurements me faisaient hurler.

Il m’a dit " tu comprends pourquoi il faut obéir " et j’ai répondu " oui ". Puis il ajouta " il a eu raison de te punir ainsi " et j’ai de nouveau répondu " oui ". Il a exigé une cravate de notaire et j ai placé sa queue entre mes seins et je l ai fait jouir ainsi entre mes seins meurtris tout en pleurant de serrer mes mamelles sur sa queue. Il m a joui dessus et je n ai pas pu essuyer tellement j avais mal.

 

Ce matin, mes seins sont toujours douloureux et ont gardé quelques marques des coups de règles que vous m’avez infligé. Mais ça va mieux néanmoins. Mon maître, pardon, mon mari m’a préparé ma tenue du jour. C’est ainsi que je porte des talons aiguilles, une jupe courte avec des bas et un chemisier sans culotte ni SG comme vous le souhaitez. Le frottement du chemisier directement sur mes seins me martyrise et j en ai les larmes aux yeux. Mes mamelles lourdes et pendantes ainsi que mes tétons sont irrités à l’extrême. En plus de la tenue, je me suis placée un plug dans l’anus comme vous me l’avez ordonné.

 

A chaque pas, le plug me travaille l’anus et aussitôt que je m’assoies c’est un véritable empalement que je vis. Je suis arrivée au boulot ainsi. Comme chaque matin, je suis allée saluer mon chef. Il a pris l’habitude de me passer une main sous la jupe pour me palper, me peloter et découvrir mes dessous. Car mon " Maître habituel " accepte par décence que je porte des dessous pour aller travailler. Mais aujourd’hui pour la seconde journée , je n en porte pas.

 

" Tu as la chatte déjà humide vieille salope " m’a t il dit et il a découvert le plug " et en plus le cul pluggé, t’es vraiment qu’une grosse pute ". Il a tiré sur le chemisier, les pressions ont lâché et mes seins pendants sont apparu. " c’est quoi ça " a t il dit et j’ai répondu " une punition " " magnifique "  a t il répondu. Puis, il m a allongé sur le bureau et il m a prise la chatte. Il m a bourré comme un damné et je l’ai senti se vider en moi au plus profond. Je me suis redressée et je l ai sucé pour le nettoyer. Il n’était pas encore 9h.

 

Mais mon quota imposé de 5 queues différentes dans la journée est loin d’être atteint. De plus, mon Maître, pardon, mon mari ne peut rentrer dans ce quota. Mon chef était le coup le plus simple. Je suis allée voir un collègue très intéressé par le sexe. Assise devant lui, j’ai commencé à écarter les jambes afin qu’il découvre mes cuisses gainées des bas ainsi que ma chatte nue luisante. Nous avons discuté et il a accepté de m’enculer. Il a découvert mon gros cul pluggé et il a adoré. Il me l a retiré et j ai du prendre le plug en bouche pendant qu’il m’enculait. Il a pris tout son temps et ne m’a pas ménagé la rondelle le salaud. Il m’a défoncé le cul et il m a regardé replacer le plug dans mon cul plein de son foutre. Je l’ai sucé pour le nettoyer et le remercier. 10h14, j’avais déjà subi les assauts de 2 queues mais où trouver les trois autres ?

Par Veronique - Publié dans : Sm
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