Mardi 19 décembre 2 19 /12 /Déc 11:14

Suite au service que j’avais rendu à Claudie (lire service à Claudie), mon Maître avait apprécié cette période que j’avais passé avec ces jeunes. Il trouvait que cela faisait très pute qu’une femme comme moi de 45 ans branle, suce, se fasse peloter, baiser et enculer par des jeunes novices. Cela l’excitait qu’une truie comme moi s’offre à ces jeunes corps d’apollon et à l’âme si pur du moins avant d’être passé sur moi. Il ne manquait pas de me rappeler que je pouvais être leur mère voire une grand mère et que la saloperie ce n’était pas eu mais moi.

 

C’est ainsi qu’il en a invité à la maison. Alors que mon Maître était absent ou caché dans une pièce adjacente, je les recevais dans le plus simple accoutrement, nue entièrement ou alors juste avec une paire de bas. J’étais si honteuse d’ouvrir la porte à ses inconnus dans cette tenue. Puis, je posais devant eux, exhibant mon corps de truie et leur demandant ce qu’il souhaitait.

 

Il me pelotait alors que je les déshabillais. Il me palpait, visitait mon corps comme de la marchandise. Enfin nu, je découvrais leur queue raide, si dur déjà, il était jeune et vigoureux. Pour l un, je m agenouillais et je le suçais à fond, il se vidait au fond de ma gorge me tenant la tête, m étouffant de sa queue et me noyant de foutre.

 

Pour un autre, je le pompais et je le faisais jouir sur mon visage et mes seins restant ainsi lorsqu’il était parti.

 

Un autre voulait que je le suce avant de venir m enfourcher sa queue dans la chatte et le chevaucher pendant qu’il jouait avec mes seins.

 

Pour le dernier, il aimait me prendre à 4 pattes juste passer sa queue dans ma chatte pas encore mouillée mais assez pour qu’il m encule.

 

C’est ainsi que je recevais les jeunes invités de mon maître et que je leur vidais les couilles. Ils avaient mon adresse et n’attendais plus d’être invité pour passer à la maison de même que je les rencontrais parfois en ville et que je ne pouvais rien leur refuser. Je me suis retrouvée à sucer, à me faire peloter, à me gicler dessus, baiser et parfois enculer dans des lieux des plus sordides et à la va vite. Cela pour le plus grand plaisir de mon Maître.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mardi 19 décembre 2 19 /12 /Déc 10:12

Suite à l’achat des cravaches , nous nous sommes rendu chez elle. Elle habitait une maison dans un village pas très loin de chez nous d’ailleurs. J’étais complètement nue sous mon manteau juste ce gros collier de chienne, cette laisse et une paire de bottes. Il sonna et elle ouvra. " Je vous attendait " dit elle. On la découvrait en bottes haut talon, bas, body jartelles en cuir, une lanière séparant ses magnifiques fesses et une poitrine superbement mis en valeur dans ce body. Nous sommes allés dans le salon. Il m a fait retiré mon manteau.

Elle " j’avais dit juste un collier et une laisse non ?"

Lui "  Oui pourquoi "

Elle " Alors pourquoi le manteau et les bottes " " c’est vous qui n’avait pas compris ou elle qui n’a pas voulu ? "

Lui "c’est moi excusez moi, nous débutons " et j’ai retiré mes bottes

Elle : OK

Elle : c’est quoi pour vous ça et elle montra

Lui : ma femme

Elle : non je veux dire là maintenant quand vous êtes Maître ? Une salope, votre salope ? Votre soumise ? Votre chienne ? c’est quoi pour vous ?

Lui : une truie

Elle : ça lui va bien

Lui : une vieille grosse truie que je veux voir devenir une bonne vieille grosse truie

Elle : une vieille grosse truie, je n en doute pas ! Bonne il faut voir.

 

Elle servit un whisky à mon maître et une coupe à elle. Elle s’assis et lui demanda "  une truie c’est pas à 4 pattes normalement ? " Il me tira sur la laisse et je me suis mise à 4 pattes. Elle a demandé à ce qu’il me fasse marcher devant elle pour qu’elle voit la grosse truie qu’il avait à lui présenter. Puis elle l’invita à s asseoir et ils discutaient alors que je continuais à déambuler devant eux avilie et dans cette position dégradante. Ils se sont mis d accord que pour cette première séance SM, il m’offrait à elle totalement et qu’il regarderait pour apprendre. Elle lui avait demandé si il y avait des limites et il lui avait répondu aucune pour cette fois. Il était trop excité de découvrir cette pratique. Elle lui servit un whisky et lui donna la bouteille alors qu’elle se servait une nouvelle coupe et qu’elle l a bu d’un coup. Elle attrapa la laisse et me tira d’un coup sec en me disant allez viens la truie.

 

Elle se pencha et me serra plus fort le collier. Aussitôt qu’elle tirait sur la chaîne je ne pouvais plus respirer. Mon mari pardon mon maître nous suivez. Elle nous emmena dans une pièce au fond de la maison. Cela ressemblait à la salle des tortures, il y avait des chaînes, des croix en bois de toutes formes et dans tous les sens. Il y avait également une chaise avec un gros god fixé dessus. Elle m amena devant et m’ordonna de m’asseoir dessus. Je me suis relevée, j’ai enjambé la chaise, je me baissais et j’écartais ma vulve pour avoir le god bien en face de ma chatte. J’ai reçu un aller retour de gifle " tu ne te touches pas sans mon ordre ! à t elle hurlait, les bras le long du corps et tu t assoies et une nouvelle paire de gifle. Je me suis abaissée mais je ne m empalais pas assez vite sur ce god et je recevais une volée de gifles pendant ce temps. Je serrais les dents et retenais les larmes. J’étais enfin assise la chatte empalée sur le god.

 

Elle proposa à mon maître de l’aider et il accepta. Elle passa deux sangles autour de la chaise et de mes cuisses au niveau des genoux et du haut de mes cuisses. Je ne faisais plus qu ‘un avec la chaise. Il y avait une petite manivelle sur le côté et elle lui demanda de la faire fonctionner. Un god remontait traversant le trou de la chaise et venant buter sur ma raie. C’est bloqué répondit il et elle me gifla de nouveau répondit mais non c’est cette grosse truie qui n’a pas encore le cul ouvert. Toi tu force sur la manivelle et elle elle va se trémousser comme elle sait si bien le faire et ouvrir son cul. Je me trémoussais comme je pouvais essayant de présenter mon anus au mieux de ce god qui me forcé le passage. Ca y est c est plus facile dit il, elle me gifla de nouveau et ordonna à mon maître de remonter la manivelle le plus vite possible. C’est ce qu’il a fait et je me suis faites enculer d’un coup. Je n en pouvait déjà plus. Là, elle a pris son temps est à continuer à me gifler jusqu a ce que je pleure à chaude larmes. Mon maquillage coulait et je ne pouvais plus retenir mes pleures.

 

Puis elle a commencé à me cravacher les cuisses, les seins, la chatte. Elle m a libérez de la chaise mise à 4 pattes et à utiliser différentes cravaches sur tout mon corps. Mon maître a joui très fort devant elle et elle m a rendu à lui ainsi. Ce n’était qu’une première rencontre.

Par Veronique - Publié dans : Sm
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:10

Nous étions en congés ce lundi là. Comme tous les jours n’ont travaillé, je ne portais pas de Sg ni de culotte cela m’était interdit. Il m’avait emmené avec lui dans cette grande surface dédiée aux sports et aux loisirs. Je portais un collant avec une minijupe des plus courte, des bottes, un chemisier et une petite veste. Il n’y avait pas grand monde que ce soit en client ou en vendeur. Le lundi à cette heure cela devait être normal. Nous nous sommes rendu dans le rayon équitation et là mon maître regardait et appréciait les différentes cravaches. J’en était honteuse d’être avec lui alors que je savais que c’était pour moi et non pour un cheval qu il cherchait une cravache.

 

Il en a pris une et la tordait, la faisait aller dans l’air. Il me tapota mon gros cul avec et la fit glisser entre mes jambes me tapota la chatte. J’étais affreusement gênée. Une vendeuse passa au bout de l’allée alors que j’étais dans cette position, elle m a vu avec la cravache entre les jambes mais elle continua son chemin. Il m’a fait mettre à 4 pattes, j avais la minijupe remontée sur mes grosses fesses et il me cravacha quelques coups. J’ai bondi et me suis remise debout lorsque j’ai vu de nouveau la vendeuse me regarder. Cette fois, elle avait tourné dans l’allée et s’approchait de nous. Elle devait avoir entre 20 et 25 ans.

 

Elle regarda mon Maître et lui dit simplement " puis je vous conseiller ? " et lui de répondre " oui volontiers ". Mon visage était écarlate.

Puis elle continua " c’est pour elle si j’ai bien compris "

lui " oui en effet "

elle " c’est un premier achat "

lui " oui "

elle me regardant à peine " vous l’avez depuis longtemps "

lui " en mariage oui mais en soumise depuis quelques mois seulement "

elle " elle progresse bien "

lui " lentement "

elle " la cravache va l’aider, je n en doute pas "

 

et là elle partit dans des explications : cravache standard à claquette plus ou moins large, la largeur faisant du bruit mais moins mal, tige plus ou moins flexible, taille de la tige, la cravache de dressage longue, fine et étroite faisant bien plus mal… Elle lui demanda comment étaient mes seins et il me demanda d’ouvrir ma veste. " Oui je vois assez lourd " dit elle et lui " oui lourds et pendants de vrai mamelles ". Elle a choisi deux cravaches et dit je vous conseille celles – ci. Il les a pris et elle nous accompagnait dans les allées vers les caisses.

 

Elle déclara à mon Maître " vous débutez dans le Sm ? " " oui répondit il ".

Elle : " je suis moi même une maîtresse "

Lui " ah "

Elle " si vous souhaitez que nous lui donnions une leçon ensemble et je vous montrerai comment utiliser les cravaches "

Lui " oui volontiers "

Elle " Tenez voici mon adresse, disons ce soir à 19h "

Lui " oui comment dois je l’amener "

Elle " juste un gros collier de chienne et une laisse, c’est tout " " vous avez ça ? "

Lui " oui, oui et bien à ce soir et merci "

Par Veronique - Publié dans : Sm
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:08

En cet fin d’après midi, je rentrais chez moi du travail contente que nous soyons vendredi et en week-end. A la maison, il y avait mon mari pardon mon Maître, notre voisin qui me rasait la chatte chaque dimanche matin et deux inconnus, deux hommes. J’ai très vite compris qu’ils étaient là pour moi. J’ai dû me déshabiller entièrement. J’apparaissais intégralement nue devant ces hommes, plantureuse, mes mamelles lourdes et pendantes, mon gros cul ainsi que ma chatte velue dû à l’absence de notre voisin plusieurs week-end.

 

L’un des hommes me donna un string, ce string afin que je le passe et m’exhibe devant eux. Il me rentrait dans la chatte, entre les lèvres et dans la raie profondément il me faisait un peu mal. Mon poil dépassait de chaque côté. La décision a été prise de me raser, je comprenais la présence de notre voisin dans cette rencontre avec ces inconnus. Ainsi il s’était mis d’accord sur un scénario avec mon Maître. Mon maître et notre voisin voulait me raser intégralement mais les deux hommes préféraient un petit triangle de poil sur mon pubis avec le clito bien dégagé. Je pensais que le choix de mon Maître allait prévaloir mais c’est lui qui accepta de revenir sur son envie et laissa l’honneur de la décision aux invités.

 

C’est ainsi que notre voisin m’a rasé la chatte me laissant un triangle de poil sur le pubis le clito bien dégagé comme souhaité par les deux hommes. Puis, j’ai du remettre le string et la tenue choisi par eux alors que notre voisin nous quittait. Là, j’ai servi à boire et j’ai dû prendre une multitude de pose devant eux et me déshabiller restant qu’en string. Ils avaient sorti leur queue et j’ai commencé à en sucer un. J’avais la bouche grande ouverte lorsqu’il m’a lâché ses longs jets de sperme au fond de la gorge. Mon Maître avait sorti sa queue, il bandait dur du spectacle et il se caressait doucement alors que je prenais la seconde queue en bouche. J’entendais le premier discuter avec mon Maître alors que je pompais le second.

 

Je venais d’avaler tout le foutre du second et je m’essuyais la bouche d’un revers de

main lorsque j’ai tourné la tête et découvert mon Maître. Il était à genoux, le pantalon baissé, ses poignets menottés dans le dos à ses chevilles, une boule à lanière le bâillonnée et il bandait dur sa queue était raide et droite. Le premier m’a attrapé et il m’a dit que les règles avaient changé. Ils n’allaient pas se contenter de mes exhibes et d’une pipe mais qu’ils allaient me baiser tant que mon mari banderait.

 

Ils ont commencé à me peloter, me palper, me claquer les fesses, la chatte, les seins et ils écartèrent le string pour me prendre les trous. Ils m’ont baisé ainsi longuement sans ménagement mon Maître ne débandait pas et lorsqu’ils souhaitaient récupérer ils me travaillaient les trous avec des gods de différentes tailles, ils me martyrisaient le corps et lorsqu’ils rebandaient ils me reprenaient les trous et me baisaient sauvagement me bourrant et me remplissant de leur foutre.

 

Tout à coup, on a vu mon maître jouir sa queue bandante lâchée de longues giclées de foutre dans l’air qui venait s’écraser sur le carrelage. Puis il débanda enfin, enfin j’étais sauvée et les deux se sont calmés. Ils m’ont obligé d’aller lécher à 4 pattes le foutre sur le carrelage, je passais de grand coup de langue dessus pour faire disparaître le sperme puis ils m ont obligé à nettoyer le gland poisseux de mon Maître. Aussitôt que je l’ai eu dans la bouche, il a rebandait et j’ai retourner me faire baiser par eux et les gods. C’est eux qui ont abandonné, ils m ont amené à la queue de mon Maître, j’ai du le branler tout en lui comprimant très fort les couilles, j’obéissais aux ordres des deux hommes et il m a joui sur le visage.

 

Ils nous ont laissé ainsi et ils sont partis. Cela avait duré plus de 3h. J’ai retiré le bâillon, j’ai découvert des larmes sur les joues de mon Maître. Je n’ai rien dit. J’ai libéré ses poignets et ses chevilles et j’ai commencé à lui caresser les couilles que je venais de lui écraser fortement. Je les ai lécher et prise en bouche pour les gober doucement. Il a commencé à pisser sur mes seins, sur mon ventre m inondant le string, je sentais son urine sur ma chatte et couler le long de ma raie. Il est venu se finir dans ma bouche la remplissant à raz bord et me mettant de nouveau ses couilles en bouche. J ai avalé et j ai repris les caresses de ma langue sur cette paire de couille en bouche alors qu’avec une cravache, il me frappait la chatte, la raie, les fesses et les cuisses. Plus j’étais douce avec ces couilles et plus il frappait fort. Il se vengeait sur moi, se vidait de la haine qu’il avait pour eux.

Par Veronique - Publié dans : Sm
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 14:07

Si vous avez lu " Service à Claudie " ou  " Aimer le sperme à quel point ", vous connaissez Claudie ma meilleure amie sinon je vous invite à les lire avant de continuer. La première Claudie s’est dans un " service… ", c’est ainsi qu’elle était avant que mon maître l’aide et la prenne en main pour devenir aujourd’hui celle de " Aimer le… ". C’est cette évolution que je viens vous confesser.

 

Nous allons chaque semaine une fois à la gym et une fois à la piscine. C’est de la gym que tout est parti. Nous nous changeons avec les autres femmes dans le vestiaire collectif. J’avais remarqué que Claudie allait au toilette avant chaque séance ce qui pouvait être normal mais elle avait toujours une petite pochette avec elle qu’elle venait remettre dans son sac durant la séance. De retour du cours, elle reprenait la pochette et repassait au toilette.

 

Curieuse, un jour j’ai traîné et j étais la dernière dans le vestiaire. Je suis allée dans son sac et j’ai ouvert la pochette. Il y avait une culotte, sa culotte portée de la journée cela ne faisait aucun doute. Claudie ne portait elle pas de culotte pour la séance ? J’étais surprise et amusée de la part de Claudie la femme fidèle et délaissée, bonne mère de famille, sage et douce mais je souhaitais en avoir le cœur net. J’ai rejoins le groupe et le cours commença.

 

Durant les exercices, je l’observais mais je ne pouvais pas voir à travers son short large et épais si elle ne portait pas de culotte. Je continuais à la regarder, la prof ne nous faisait pas de cadeau dans les exercices mais je trouvais que Claudie souffrait plus ou du moins grimaçait très fort, son visage se marquait et rougissait. Elle se mordait les lèvres par moment. Après la séance, de retour au vestiaire, Claudie pris sa pochette et alla au toilette. " Elle va remettre sa culotte cette cochonne " pensais je.

Elle se déshabilla et avait sa culotte sur elle, je n’ai pu retenir un sourire. Elle alla à la douche mais je voulais avoir confirmation, j’étais trop curieuse mais elle me surprenais sur ce coup là. Je suis allée dans son sac et j’ai ouvert la pochette, je pensais la trouver vide mais qu’elle n’a pas été ma surprise de découvrir dedans une paire de boules de geisha, un petit plug et un string.

 

Claudie, elle que je connaissais toujours avec de joli dessous mais sage culotte, SG, elle la mère exemplaire, la femme fidèle malgré que son mari la délaissait, elle se plaçait une paire de boules de geisha, un plug dans l’anus et portait un string (qu’elle ne devait pas laver entre les séances d’après ce que je voyais) pour faire sa gym en groupe. Je comprenais mieux ses grimaces et les raisons de se mordrent les lèvres. Tout en faisant du sport, elle prenait son pied.

 

De retour à la maison, j’en ai parlé à mon Maître. Il a été agréablement surpris et très excité. J’ai eu pour mission de dérober cette pochette. C’est ainsi que la semaine suivante alors qu’elle me ramenait en voiture à la maison après la gym, mon sac s’est ouvert mes affaires sont tombées et lorsque j’ai tout remis dedans, il y avait en plus sa pochette. Je l’ai présenté aussitôt rentrée à mon Maître, il l’a ouvert comme un trésor. Il a pris le string et l’a humé immédiatement. J’ai dû le sucer longuement alors qu’il avait le visage dans le string et qu’il prenait de grande inspiration dedans. Il a joui très fort et j ai dû m empaler plusieurs fois la chatte et le cul sur sa queue durant la soirée alors qu’il reniflait ce string et pensait très fort à haute voix à Claudie cette cochonne.

Par Veronique - Publié dans : Claudie
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