Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 13:55

Mon mari avait pris contact avec ce couple, Robert dit Bob bel homme un peu bedonnant de 35 ans et sa femme Corinne 25 ans petit bout de femme charmante. Ce couple recherchait une femme ou un couple dont la femme acceptait les grosses queues dans son cul et qui suçait et avalait.

Mon maître a tout de suite était intéressé par ce contact et il a développé l’idée avec eux. Corinne adorait son mari mais celui ci avait une queue trop grosse pour la sodomiser de plus si elle suçait elle était incapable d avaler. Ils ont donc convenu que Bob m enculerait et que je le sucerait ensuite jusqu’à la jouissance et que j avalerai tout pendant que mon Maître prendrait la chatte de Corinne et qu’elle le sucerait mais qu’elle n avalerait pas.

Ils sont arrivés à la maison, un couple normal, mon Maître m’avait choisi ma tenue, une guêpière seins à l’air, des bas et une minijupe sans culotte évidemment et la chatte rasée intégralement. Elle portait une minijupe, des bas, un chemisier pas de SG elle avait de petits seins qui tenait bien. Nous allions très vite découvrir son string alors que j étais en face d eux jambes écartées. Nous avons bu un verre ainsi et son string s’est vite retrouvé dans la main de mon mari. J ai du poser devant eux exhibant bien ma chatte, mes mamelles pendantes, ma raie et mon cul. C’était des plus humiliant, elle se caressait la minijupe retroussée. Elle avait la chatte épilée. Bob et mon mari se caressait également à travers leur pantalon.

Corinne a proposé que nous échangions de place et que nous découvrions chacune le sexe de nos partenaires. Elle a entrepris de déshabiller mon mari alors que je faisais la même chose avec Bob.

Quelle surprise lorsque j ai baissé son caleçon. Ce n’était pas un sexe, ni une bite encore moi une grosse queue, je n avais pas de mots et je restait bouche bée devant ça. C’était un énorme tuyau avec une gosse boule au bout qui devait lui servir de gland. Elle faisait plus de 25cm de long et au moins 6 cm de diam. Je l’ai prise en main, elle était lourde et à demi molle.

J ai ouvert la bouche en grand, je le caressais et j ai pris son gland en bouche. C était énorme et je le caressais, il avait les couilles en proportion de la queue. Je le léchais sur toute la longueur et il en fallait de la salive pour mouiller cette longueur. Il a commencé à bander et ça grossissait encore en longueur et en épaisseur. Il bandait comme un cheval ce salaud et il était temps maintenant de présenter mon cul.

J étais à 4 pattes devant lui. Mon maître et Corinne se sont approchés pour le voir me prendre. Mon mari a pris Corinne en levrette, celle ci en appui sur mon dos m a écarté les fesses et j ai senti ce gros tuyau sur mon anus. Il fallait que je me détende, il a commencé à pousser, me tenant bien les hanches, il avançait doucement et j haletais comme une chienne comme une femelle en chaleur. Sa grosse queue m’écartelais le cul et m empalait centimètre par centimètre mais il n a jamais cessé d avancer. Il était enfin en entier en moi. Je sentais son gros sac de couilles sur ma chatte.

Là désormais doucement il a commencé ces va et vient, je n en pouvais déjà plus, je serrais les dents, je me mordais les lèvres.J en pleurais mais Corinne l a encouragé à me pistonner à se lâcher disant que mon Maître était entrain de lui démonter la chatte et qu elle souhaitait qu il fasse de même avec mon cul. Je regardais et je voyais bien que mon mari l a limé normalement et qu il prenait plus de plaisir à me voir enculée que de prendre sa chatte. Sur ces encouragements , bob y est allé de cœur joie et il m a défoncé le cul comme un sauvage sans ménagement et ils ont joui tous les trois en même temps. Il m a rempli le cul, j avais l impression qu il me pissait dedans tellement il y en avait.

Puis il est sorti et je l ai pris en bouche. Corinne a sucé mon Maitre. Ils étaient encore tout excité. Il m a enfin giclé en bouche, j ai été surprise et j ai eu du mal a avaler aussi vite qu il se vidait , je m étouffais, Corinne dirigeait le sexe de mon Maître vers mon visage et il m a éjaculé sur la face alors que je me noyais de foutre de Bob.

 

Le contrat avait été rempli. Mon maître n avait pas apprécié les mensonges de Corinne ni sa chatte inondée et dilatée. Nous avons donc revu Bob, le tuyau seul afin qu’il puisse continuer à m enculer et que je le suce.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 13:54

Une bonne grosse vieille truie devrait pour mon Maître être toujours nu. Son corps offert à la vue de tous et ses orifices prêt à recevoir n’importe quand et qui le veux bien. Elle doit avoir des formes, un bon gros cul, des grosses mamelles lourdes et pendantes même si à son goût elles ne sont jamais assez grosses ni assez pendantes.

 

La truie porte des dessous pour le plaisir de son Maître et que ce qu’il impose. Mais elle doit sortir, aller travailler. Il y a un minimum de décence à garder. Il en est bien conscient et le prends en compte.

C’est ainsi que le string s’est naturellement imposé bien avant la mode. Le string ne tiens pas lieu de culotte ce n’est pas son rôle une truie n’a pas le droit à la culotte ou alors fendue. Le string est juste là pour dire je n ‘ai pas la chatte à l’air il n’est qu’un prétexte. Selon sa taille et sa forme, la tenue change ainsi plus il y a de tissu et plus la jupe sera moulante afin de laisser apparaître sa forme et le dessin qu’il donne au gros cul de la truie.

Le string idéal est le suivant. Il est ficelle et il ne cache pas entièrement l’anus de la truie. Elle le porte la chatte intégralement rasée son anus n’est plus à raser les strings lui lime chaque jour ces petits poils soyeux qu’elle avait autour de la rondelle. Il rentre dans la chatte, se place entre les lèvres, lui cisaille la chatte et la raie et lui écrase le clito. Elle ne le retire pas, elle l’écarte pour faire ses besoins ou pour se faire prendre, la truie ne s’essuie jamais la chatte.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 13:47

Claudie est ma meilleure amie. Elle a 43 ans, mariée, femme sage et bonne mère de famille comme moi avant le changement définitif. Elle est blonde coiffée au carré et très gentille. Elle mesure 165cm et a plutôt des formes et une grosse poitrine. Son couple s’est comme le notre auparavant mis dans la routine si ce n est qu’elle l’accepte du moins jusqu a ce que je découvre ainsi que mon Maître ses petits secrets mais cela fera parti d’une prochaine confidence. Elle a vécu mes changements et sait pas mal de choses sur ma nouvelle vie. Elle ne comprenait pas toujours tout mais acceptait que je le vive ainsi.

 

Claudie a un fils, beau jeune homme. Je la sentais mal à l’aise ce jour là, elle semblait vouloir aborder un sujet mais avait beaucoup de mal à se lancer. Je l’ai donc aidé mais elle était gênée. Elle s’est enfin vidé ainsi son fils avait une amie depuis plusieurs mois. Celle ci avait déjà eu des copains avant lui en revanche lui avait eu des copines mais il n avait jamais connu aucune relations sexuelles. Hors, il en était frustré vis à vis d’elle et comme il était perfectionniste et qu’il voulait être bon et savoir comment et quoi elle ferait, il ne passait pas à l’acte et se renfermait au point d’en être malade d’ou l intervention de Claudie. Elle souhaitait que je lui parle et au pire que j intervienne.

 

C’est ainsi que le soir venu, je lui ai téléphoné. Nous avons discuté de tout et de rien puis j’ai abordé le souci. Il était gêné d’aborder le sujet puis il s’est décontracté et nous avons discuté longuement de tout cela. Mais il n’arrivait pas à passer au dessus de ses angoisses. C’est ainsi que RDV était pris pour le lendemain midi et que nous nous sommes rendu tous les deux au cinéma.

 

Dans la salle obscure, je portais la tenue que mon Maître m’avait donné le matin, une minijupe, des bas, un string, un SG aux bretelles lâches, un chemisier et une veste. Nous avons commencé à regarder le film mais il ne se produisait rien. J ai pris sa main et je l ai mise sur ma cuisse. Il a commencé à me caresser la cuisse et j ai écarté doucement les jambes. J’ai posé une main sur son pantalon. Son sexe était dur, il bandait fort dessous. J’ai entrepris de libérer l’oiseau mais à peine, il était sorti qu il l a tenue en pleine main, il ne tenait déjà plus. Je me suis penchée et j ai eu juste le temps d entourer son gland de mes lèvres, il jouissait déjà en abondance dans ma bouche. J ai tout reçu et j’ai avalé. Ainsi libérez de sa souffrance, j ai glissé entre ses jambes et je lui ai fait une fellation. Il a joui de nouveau. Il est si jeune et si vigoureux. Il venait de vivre sa première fellation. Le soir de retour chez moi, il est passé et je l ‘ai sucé de nouveau.

 

Il avait les clés d’un appartement d’un copain et nous nous retrouvions les jours suivants entre midi et deux pour que je l’initie ce qui ne lui empêchait pas de repasser le soir à la maison. Le jeu est devenu dangereux, il m’embrassait fougueusement et amoureusement et je ne le repoussais. Il me baisait désormais, il visitait tous mes trous et il me faisait jouir. Il m avait pris dans toutes les pièces de l’appartement et dans toutes les positions, il dominait son sujet. J acceptais tout de lui, il était si fougueux si impulsif. Il me remplissait de plaisir et de foutre avec sa bonne queue bien raide toujours bandante.

 

Un midi, il m a présenté un ami en cours avec lui et il m a expliqué qu’il avait le même problème que lui et il me demandait de le solutionner comme j avais su le faire avec lui. C’est ainsi que je suis devenue leur salope et que j’ai initié aux différentes pratiques ses amis. Ma bouche, mes seins, ma chatte et mon cul leur ont servi. J ai sucé toutes ses queues , je me suis faites défoncer la chatte et démonter le cul, ils adoraient m enculer.

Par Veronique - Publié dans : Claudie
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 13:46

Comme vous le savez mon Maître me fait raser intégralement la chatte par notre voisin et uniquement par lui le dimanche matin. Mais celui ci parti en vacances, cela faisait 5 semaines que le poil sur mon pubis repoussait. Il repoussait à vitesse grand V , dru et largement. Cela débordé de partout de mes strings. C’est ainsi que nous sommes parti en vacances.

Respectant les règles, mon Maître n’avait mis aucune culotte ni string dans mon sac. Il n y avait pas plus de SG non plus et que des minijupes ou mini robe, débardeur ou chemisier transparent. J’avais bien progressé ces deux dernières années pour notre but mais il considérait que j’étais encore loin de la bonne grosse vieille truie que nous nous étions donné comme objectif commun. Nous avions loué un bungalow dans un camp au bord des dunes et proche de la plage dans un coin tranquille.

Mon Maître avait déterminé les règles pour cette période ainsi pour sortir du camp, je portais minijupe avec un petit débardeur ou mini robe, je n avais pas de culotte et mes mamelles lourdes et pendantes ballottés à leur gré dessous parfois sortant du débardeur dans certaines positions. Mes seins, ma chatte velue et mon cul de truie étaient ainsi aisément visible du premier voyeur amateur.

Dans le camp, je portais soit ce genre de tenue soit les maillots de bain qu’il avait acheté pour l’occasion et j’ai plus souvent porté les maillots. Ils étaient des plus mini fait de triangle et de ficelle, ne tenant rien de mes mamelles et ne cachant que mes tétons et les auréoles à peine plus, quant à la culotte, le fond avait été retiré, elle me rentrait dans la peau à en marquer la chair, elle glissait sur mes fesses aussitôt que je marchais pour rejoindre ma raie gourmande et découvrir mes grosses fesses. Pour couronner le tout, mon poil dépassez de partout, le tissu ne pouvant cacher cette toison dense et large.

Enfin lorsque nous allions à la plage, je devais quitter le SG et le laisser là, nous traversions les dunes pour retrouver la plage et je ne portais que la culotte ridicule.

Ces tenues dans ces endroits étaient humiliantes, j’avais affreusement honte. Je suis vite devenue l’allumeuse, l’exhibe, la salope du camp.

Au bout de cinq jours, je me suis retrouvée avec des mains aux fesses, à la chatte, on me pelotait. Certains ont tenté leur chance et n’ayant pas le droit de dire non, j’ai commencé à branler, à sucer, à me faire mettre et à me faire enculer.

Mon Maître était ravi de ce qui m’arrivait et il adorait me voir revenir souiller de tout ce foutre , les trous plein et dégoulinant.

Par Veronique - Publié dans : Vacances
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Mercredi 13 décembre 3 13 /12 /Déc 13:45

C’était au début de mes changements. Je revenais du travail. Je me suis approchée de mon Maître et il m’a passé une main entre les jambes. Il me posa la question : " alors cette journée de truie débutante ? " Il attendait que je lui raconte mais je n’avais rien à lui dire. Evidemment il pouvait voir combien j avais mouillé mon string en ayant eu deux paires de boules de geisha dans la chatte toute la journée et je ne m étais pas essuyé après avoir fait pipi mais aucune queue ne m avait pénétré et je n en avais pas branlé non plus. Il était fort déçu. Je le décevais. Il a retiré les boules de geisha de ma chatte et me les a mise en bouche.

Il m’a juste dit " c’est peut être tes tenues imposées pas assez sexy ou toi pas assez ouverte aux autres ou les deux ". Va passer ce qui est dans le carton sur la table. J’y suis allée, il y avait la une sorte de guêpière ouverte devant en latex, un string également en latex le tout d’un rouge vif, des haut talons rouges également et une paire de bas. J ai passé le tout, la guêpière se fermait par devant avec trois petites lanières à serrer. J étais compresser dans ce carcan ainsi que dans le string.

 

Il m a demandé de déambuler devant lui et j ai pris des poses pour voir ce que cela donnait. Pour l une des rare fois, il me demanda ce que j en pensait, j’ai répondu " ça, ça, ça fait vieille pute non ? " Il acquiesça de la tête et dit " oui , en effet, je te confirme, ça fait vraiment vieille grosse pute ". " Passe t on manteau m’ordonna t il ! " J’ai obéis et j ai du marcher devant lui manteau ouvert.

Puis il m a dit comme tu ne progresses pas en tant que truie et je ne parle même de l’objectif de devenir une bonne vieille grosse truie, tu es peut être faites pour être une vieille grosse pute. Et il m ordonna de monter dans la voiture.

 

Il conduisait et j avais le manteau ouvert laissant apparaître mon corps dans cet ensemble en latex rouge sang. Il m a emmené dans le quartier des putes et il roulait doucement. Je voyais toutes ces putes bien plus belle que moi sur le trottoir. C’est là que tu veux être m a t il dit, je lui ai supplié que non, j obéirai et je progresserai. Bien a t il répondu, j aime te l entendre dire mais je veux que tu le fasses désormais, oui ai je répondu.

 

Sur la route du retour, il m a annoncé qu’a cause de moi, il se retrouvait obligé de me punir et je répondais que je comprenais. Il a pris la sortie d’une plate-forme de logistique immense. Le flot des camions n’arrêtait dans la nuit. Il s’est arrêté sur un parking ou des dizaines et des dizaines de camion étaient stationnés. Il m ‘a déclaré voici ta punition, tu vas aller proposer tes services aux camionneurs, ils ne paieront pas , c est pour essayer, t’essayer, tu en suceras trois, et trois te prendront la chatte , trois autres t’enculeront et tu en trouveras un dernier à branler sur ta poitrine et ta gueule. Sors de la vieille grosse pute et dépêches toi sinon je te laisse là.

 

C’est ainsi que je suis sortie dans cette tenue, manteau ouvert et que j’ai abordé la première cabine effrayée et terrorisée. Deux heures et demi plus tard , j étais de retour à la voiture, j’avais accompli ma punition dans sa totalité. Je revenais les trous rempli de foutre, les seins hors de la guêpière depuis la première cabine et le visage souillé de sperme. Arrivé à la maison, il m a allongé sur le ventre sur le lit, je n avais retiré que mon manteau. Il m a écarté le string pour vérifier combien j étais remplie et dilatée du cul. Il a commencé à me claquer le cul alors que je lui racontais ce qu e ja avais fait cabine après cabine, les unes après les autres sous ses claques je me dandinait en serrer les fesses et ma chatte et j ai jouie très fort alors qu il se vidait abondamment sur mon visage et ma bouche ouverte. J ai du dormir ainsi.

 

Les trois jours suivants en rentrant du travail, j ai du passer cette tenue et il m a envoyé sur ce parking. Je m y rendais seule et je proposais mes services aux camionneurs si ce n est que le nombre dont je devais m occuper augmentait chaque jour alors que le temps allouée restait identique.

Par Veronique - Publié dans : grandeplantureuse
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